Simple coïncidence ?
J’adore cette couverture : j’ai gardé le recueil rien que pour elle, alors que j’ai les épisodes dans une autre édition.
Jim
Punisher version peluche, chez Funko :
Jim
Frank Castle semble avoir eu les honneurs d’une série de trading cards (quatre-vingt-dix, quand même), intitulée « Marvel Punisher War Journal », en 1992.
J’ai bien l’impression qu’il n’y a pas d’inédit, seulement des reprises d’images diverses (couvertures, cases, illustrations) recolorisées pour l’occasion.
Jim
Je découvre l’existence d’une autre série de trading cards intitulée « Marvel The Punisher: The Whole Tough Tale », chez Comics Image en 1988 (j’ai quelques cartes de cette époque, j’imagine sans mal qu’elles sont cartonnés mat, sans vernis).
Là aussi, elles semblent reprendre des images (recolorisées, assez mal, pour l’occasion) issues des comics.
Jim
Vraiment, le Jim Lee de l’époque, qui était encore en pleine transformation, qui n’avait pas encore fixé son style (en gros, qui n’était pas encore illustratif), je suis super fan.
Dans les mêmes eaux, il avait fait une couverture de Quasar que j’aime toujours autant. Ce qu’il n’avait pas encore en maîtrise, il le compensait en atmosphère.
Jim
En 1990, l’éditeur de trading cards Comics Image sort une collection consacrée à Jim Lee. Contrairement à la célèbre collection dont on a parlé ailleurs, il s’agit ici, pour l’essentiel (il y a quelques images que je ne reconnais pas, mais j’en ai identifié quand même beaucoup) d’illustrations provenant souvent de couverture (d’Alpha Flight, de Punisher War Journal…).
Bien entendu, si la collection célèbre le dessinateur (visiblement déjà suffisamment bankable pour justifier ce genre d’édition, même s’il est encore au début de sa carrière), un personnage figure en bonne place dans la liste de quarante-cinq cartes, le justicier expéditif auquel son nom est associé durablement.
Les cartes présentaient la particularité d’afficher, au recto, non pas un texte explicatif ou un commentaire mais une partie d’une image plus grande, incitant les fans à collectionner afin de compléter l’illustration, qui reprend un autre dessin célèbre de Jim Lee, celui opposant deux héros particulièrement populaires à l’époque, deux justiciers mal embouchés dont il a signé quelques belles pages :
Jim
J ai retrouvé de vieille chroniques sur Xbee de 2004
Ennis/Robertson/Palmer
8€99
Ennis nous raconte les derniers jours de Castle au Viet Nam.
On decouvre un personnage deja froid, psychopate…
La ou d autre avaient places le conflit comme une raison de plus pour le faire basculer (meme s a l epoque il n etait pas le punisher(ex grant dans big nothing))
Pour une fois ce n est pas Punisher le narrateur mais un soldat sous ses ordres qui attend la quille.
Ennis est toujours aussi bon pour les comics de guerre et nous montrer l’horreur de l etre humain.
Par contre, je suis un peu decui par ce recit qui n amene pas grand chose sauf le fait que castle a surement toujours ete un psychopate (meme avant la guerre) ce qui est, je trouve pas forcement mieux…Palmer que j adore, ne convient pas trop à Robertson dont il gomme le trait specifique.
Ce n est pas laid mais c est la aussi decevant…Mais bon, meme decevant cela reste un bon moment de lecture.
12/20
Celle-ci a longtemps été utilisée en publicité pour la librairie Déesse, dans Scarce.
Jim
Trop délire : j’ai jamais vu ça ! Génial !
Jim
J ai du commander un truc chez eux vers 89 ou 90
Daté de fin février 1992, mais surtout fin novembre 1991, Punisher #55 est écrit par Mike Baron, dessiné par Hugh Haynes et encré par Jimmy Palmiotti. Il s’agit de la troisième partie d’une saga intitulée « The Final Days ».
Mais d’un point de vue historique, c’est la couverture qui compte. Car elle est dessinée par Joe Quesada, qui signe ici son premier travail pour Marvel. C’est aussi la première collaboration entre le dessinateur et celui qui sera longtemps son encreur attitré, Jimmy Palmiotti.
(D’après Quesada lui-même, c’est la première collaboration publiée : mais le tandem aurait travaillé sur la couverture de Ghost Rider #21 juste avant, daté de janvier 1992).
Le récit « The Final Days » voit le héros affronter Jigsaw une nouvelle fois mais vaut surtout pour sa révélation finale : désireux de changer de tête, Frank découvre que le traitement auquel il est soumis va lui permettre de le faire littéralement, puisqu’il devient noir. L’affaire ne durera que deux mois, le traitement finissant par perdre de son effet (ce qui ne l’empêchera pas de croiser le chemin de Luke Cage entre-temps). à ma connaissance, c’est la dernière saga d’envergure pour Baron sur le titre, qui accueillera bientôt Chuck Dixon ou le tandem Abnett & Lanning.
Jim
Punisher #55 est écrit par Mike Baron, dessiné par Hugh Haynes et encré par Jimmy Palmiotti. Il s’agit de la troisième partie d’une saga intitulée « The Final Days ».
Mais d’un point de vue historique, c’est la couverture qui compte. Car elle est dessinée par Joe Quesada
Joe Quesada dessine ensuite la couverture de Punisher #60, daté d’avril 1992, cette fois-ci avec un encrage du légendaire Al Williamson.
Jim
Punisher vol 4 #1-4 : Le purgatoire
Franck Castle s’est suicidé, mais le voilà de nouveau dans les rues à punir les méchants. Lui-même ne se rappelle plus comment il est mort, ni pourquoi, il sait juste que maintenant il possède des armes qui sortent de nulle part et bien meilleures que les siennes auparavant. Par la suite, Pupu découvre l’existence des anges et leur implication dans les derniers jours de sa vie, tout comme l’implication des démons dans de vieux évènements de sa vie. Il rencontre même Gabriel, son ange gardien (et ex-armurier du paradis, j’avoue c’est facile, mais, bon) et décide de faire un bout de chemin avec lui, mais même les anges ne sont pas toujours aussi bons qu’ils paraissent.
Le parti pris des scénaristes est de placer le Punisher dans un autre contexte que celui de la rue. Christopher Golden et Tom Sniegosky font revenir d’entre les morts Castle. Ce dernier possède des armes spéciales et il veut savoir ce qui lui est arrivé. Cette recherche va lui faire rencontrer de vieilles connaissances comme des nouvelles et surtout lever une partie de son passé. Bon, autant le dire, malgré le fait que la mini soit bien écrite, personne n’accroche à cette version angélique du Punisher. La série est la plus faible de la prmeière salve Marvel Knight et les auteurs sont remerciés à la fin du premier arc. Dommage car certaines planches sont jolies comme celle où on voit notre justicier, tel un zombie, avec du sang plein la bouche.
Bernie Whrigtson est ici encré par Jimmy Palmiotti qui, loin de laisser une grande marge de manoeuvre au dessinateur, rajoute son style en surplus, ce qui amène une perte de finesse du trait de l’auteur. Les dessins deviennent un peu vieillots et le tout, quoique pas mauvais, ne transpire pas l’excellence graphique (surtout en comparaison avec Inhumans ou DD).