Les DC sortent le mardi…
Ce n est pas lee weeks, ça !?!
Ah oui ?
J ignorais totalement
Weeks s’occupe d’un autre segment (avec moins de monde).
Post trompeur dans sa formulation, donc.
Ne te laisse pas embêter par le jeune…
Jim
Ahah c’est Sandoval xD
Ta fourberie n aura point fonctionné, vile faquin.
Tiens, on dirait du Weeks.
Du Tweeks plutot xD
A deux doigts près.
Coupés fins
Written by: Phillip Kennedy Johnson, Dan Jurgens, Leah Williams.
Art by: Rafa Sandoval, Lee Weeks, Marguerite Sauvage.
Covers by: Steve Beach, Clayton Henry, Marcelo Maiolo, Rafa Sandoval, Matt Herms, Lee Weeks, Jorge Fornes, Khary Randolph.
Description: Metallo attacks! The crown jewel of Superman’s new Metropolis is in ruins, and the increasingly violent Blue Earth movement is keeping the entire Super-Family on their toes. Meanwhile, Metallo’s powerful new body is evolving in unforeseen, horrific ways. As Metallo’s life and sanity continue to unravel, he sets out to capture the only person who can help him: John Henry Irons. It’s Steel versus Metallo as the new era of Action Comics continues!
Pages: 48.
Price: $4.99 (Variant, $5.99).
Available: February 28.
Merci bendis.
Hm ?
Cela suit les orientations de bendis sur sup avec une grosse extension de la superman family jusqu’à la reprise de son classique « house of »
ah j’ai pas encore lu les 2 derniers tomes
La relance, le nouveau mouvement autour de la SuperFamily (même si bien impulsé par Brian Michael Bendis précédemment) se poursuit. Et c’est bien. Mais je dois admettre que… après le Superman #1 de Joshua Williamson, le rendu ici paraît plus pauvre et moins emballant.
On commence avec le segment principal, sur Clark et sa SuperFamily. L’inauguration de l’immeuble SteelWorks est interrompue par Metallo, qui tabasse Conner et semble répondre à Luthor (alors que Lex est en prison et "rangé, pour aider Superman). Superman parvient à le stopper, et à l’envoyer dans l’Espace. Conner bougonne chez lui, la SuperFamily échange tendrement et prévoit des suites, en rappelant l’origine de Metallo (et en la liant au run de Morrison durant le New 52). Des éléments évoquent un lien avec Warworld, notamment les Unmades, ces guerriers morts et ressuscités par techno-magie obscure. Le mouvement Blue Earth rejette les extraterrestres et leur aide, et Metallo revient sur Terre après avoir discuté avec sa soeur, a priori menacée et qui lui demande de tuer toute la SuperFamily. Metallo, qui en fait ne « parle » pas avec Luthor qui est innocent, récupère des militants Blue Earth pour créer sa MetalFamily…
C’est bien, mais ça n’a pas le souffle, la classe et la réussite du Superman #1 de Williamson. Ici, je rencontre beaucoup de frustrations, en fait. Frustration de voir que cette bonne idée de transmission de technologie Warworld soit interrompue par de bêtes bagarres avec Metallo. Frustration que la SuperFamily fasse uniquement tapisserie, avec Kenan qui ne fait que grogner, Jon et Kara qui papotent dans leur coin. Frustration que Phillip Kennedy Johnson n’ait pas plus d’espace pour développer encore plus Clark et les jumeaux, même s’il fait un bon travail dessus (la discussion sur l’identité de Clark, le fait que la petite soit obligée de dormir avec des cordes de drap autour des mains comme sur Warworld…). Frustration que tout aille si vite, car il y a trop à raconter.
C’est bien, ça se lit bien, et Rafa Sandoval propose des planches très jolies, très dynamiques, très inspirées. Mais ça reste frustrant.
On enchaîne avec le chapitre de flashback secret sur la période Lois & Clark, quand Jon était enfant et la famille « cachée ». Jon rencontre une mystérieuse princesse extraterrestre qui cherche « le Kryptonien », et est poursuivie par des félons robotiques tout en ne comprenant pas la démocratie humaine. Jon appelle son père à l’aide, alors que Doombreaker vient solliciter Lois pour là aussi de l’aide.
C’est bien, mais c’est peu, quand même. Dan Jurgens se perd dans un trop long dialogue sur la forme du pouvoir politique sur Terre, et sa princesse n’a rien d’enivrant pour l’instant. Le retour de Doombreaker n’est pas emballant.
Reste ce beau panel d’appel à l’aide de Jon… et les très beaux et bons dessins de Lee Weeks, toujours au top. Mais c’est peu.
Enfin, on achève avec Power Girl (et Omen) qui accueille une nouvelle patiente pour ses pouvoirs psychiques : Supergirl ! Les relations entre les deux doubles / Variantes sont difficiles, mais Kara a besoin de Karen car elle ne parle qu’en Kryptonien. Hop, voyage psychique pour la libérer de son complexe de perfection, et les lier un peu plus.
C’est moins bavard et lourd que la première partie, mais ça reste… troublant. Leah Williams tient plutôt bien la relation Karen / Kara, et ça se lit là aussi plutôt bien. Mais je reste circonspect sur cette idée de donner des pouvoirs télépathiques à Power Girl, et d’en faire une sorte de super psy proactive.
Bon, Marguerite Sauvage livre de très jolies planches, vraiment très agréables à l’oeil. C’est top.
Un bon numéro, mais en-deçà de la « concurrence » dans la franchise, et quand même frustrant sur plusieurs points.