ACTION COMICS #1051-1060 (collectif)

ACTION COMICS #1053

UNMADE

“No livin’ thing’s supposed to have power like this. No matter how blue your eyes are or how pretty your face is, you’re just as much a monster as me.”

War rages on between Metropolis’s two men of steel, Superman and Metallo! As Metallo’s new body continues to evolve in unexpected and nightmarish ways, the voice of his “operating system” has been changing too, testing the limits of his sanity. Finally, when his alien tech takes on a life of its own and infects the most violent members of the Blue Earth movement, the resultant abominations target Superman’s greatest strength and greatest weakness: his family! Introducing the first appearance of the Necrohive!

CREATIVE TEAM

  • Writer: Dan Jurgens; Phillip Kennedy Johnson; Leah Williams
  • Artist(s): Marguerite Sauvage; Rafa Sandoval; Lee Weeks
  • Colorist(s): Elizabeth Breitweiser; Matt Herms
  • Letterer(s): Dave Sharpe; Rob Leigh; Becca Carey
  • Cover Artist: Steve Beach
  • Variant Cover Artist(s): Rafa Sandoval; Lee Weeks; Matt Herms; Steve Beach; Eleonora Carlini; Lucio Parrillo; Nathan Szerdy; Will Jack
  • Editor: Paul Kaminski; Brittany Holzherr
  • Assistant Editor: Jillian Grant
  • Format: Ongoing
  • Cover Price/Page Count: $4.99/48-pages

Et il parait qu’il a tout un saucisson de Toth dans la remise.

(Je ne te dis pas, ce gueuleton de malade).

Plutôt pas mal, même si les segments annexes sont quand même maladroits.

L’histoire principale avance doucement mais efficacement. Les victimes de Metallo transformées en cyborgs s’en prennent à John Henry Irons, « traître » pour travailler avec les extraterrestres. La SuperFamily aide mais Supergirl est lourdement touchée par de la Kryptonite. Clark interroge Lex, qui tique et semble vouloir aider quand il apprend que Corben entend des voix. John continue ses manigances et « parle » avec sa soeur, mais l’entité révèle avoir enlevé ladite soeur et la menace du pire si Metallo ne tue pas les Supers. En parallèle, Jon ressent de la jalousie de voir ses parents élever les jumeaux, plus un « manque » du fait des années perdues durant sa disparition dans le Multivers. Jon va quand même de l’avant, mais l’un des jumeaux attaque en ville !
C’est bien. J’apprécie énormément de voir l’évolution de la ville et des projets de technologie extraterrestre, et je trouve que Phillip Kennedy Johnson gère mieux la SuperFamily, avec Kenan qui parle (enfin) et trouve un peu de personnalité. La réaction de Jon est légitime et touchante, et l’ensemble fonctionne bien. Je ne suis pas « passionné » par l’intrigue Metallo, mais ça fait le job.
Graphiquement, Rafa Sandoval livre de très belles planches, avec beaucoup de dynamisme et de jolies choses.

Le segment Lois & Clark montre Doombreaker qui cherche le fragment de Doomsday, caché par le jeune Jon. Clark repousse l’ennemi, qui disparaît alors que le couple cherche son fils… enlevé par un extraterrestre avec une princesse d’un autre monde. Jon essaye de les faire évader, mais le vaisseau tombe.
Bon, bon, bon… c’est sympa’ mais très limité. Dan Jurgens se perd et me perd clairement dans une intrigue classique et sans grand intérêt, qui ne semble aller nulle part. Lee Weeks est bon, moins que d’autres fois, mais c’est quand même joli.

Le chapitre Power Girl me laisse dubitatif. PG entre dans l’esprit de Jon car il y a des attaques mentales sur la SuperFamily, et son don pour les langue est utile. La relation est difficile, PG se sent et agit comme le mouton noir de la famille. Jon veut l’aider, puis la guide pour même se choisir un nom autre que Karen Starr, en qui elle ne se reconnaît plus. PG devient « Paige » et découvre que l’ennemi est Johnny Sorrow.
Surprenant. Leah Williams gère bien, je trouve, le lien difficile entre PG et la SuperFamily, et la révélation finale intrigue. Mais je reste dubitatif sur cette idée de faire de PG un personnage psychique.
Graphiquement, Marguerite Sauvage livre encore de très belles planches, même si les visages sont moins léchés parfois.

Un bon épisode, même si ça manque d’emballement quand même.

Written by: Phillip Kennedy Johnson, Dan Jurgens, Dorado Quick.

Art by: Rafa Sandoval, Dan Jurgens, Yasmin Flores Montanez.

Covers by: Steve Beach, Rafa Sandoval, David Talaski, Yasmin Flores Montanez, Ibrahim Moustafa.

Description: As Superman and Natasha Irons race to save Steel from the newly transformed Metallo, the Super-Twins are lost – and alone – against the nightmarish threat of the Necrohive! How will Lois and the House of El find them? Plus, learn the shocking identity of the mysterious « ghost in the machine » behind Metallo’s transformation as he and Superman face each other in an epic rematch for the ages! Plus: A new era for John Henry Irons begins in « Steel Forged » part 1! And Dan Jurgens explores the not-too-distant-past world of « Lois and Clark 2 » in a bold new interlude!

Pages: 48.

Price: $4.99 (Variant, $5.99).

Available: April 25.

Pas mal, pas mal. La série tient difficilement sa qualité graphique, mais le scénario reste plutôt bon dans l’ensemble.

Le segment principal reste tenu par Phillip Kennedy Johnson, qui enchaîne sa saga bien centrée sur l’action et, aussi, la gestion de l’intégration des Super-Twins dans la SuperFamily. La p’tite semble attaquer des civils, alors que Jon devait la surveiller, mais il s’avère que ce sont des drones / possédés par Metallo. Jon se fait avoir, Metallo attaque lui-même et enlève les deux jumeaux. Jon veut les retrouver, Superman refuse et le laisse gérer la masse ennemie, et va retrouver les gamins. Grosse bagarre avec Metallo, Clark utilise le fait que le coeur de Metallo, certes alimenté en Kryptonite, est créé en matériel Genesis de Warworld, qui booste ses pouvoirs ; grosse claque, donc, et Metallo vaincu. Superman propose d’aider à retrouver sa soeur, Corben accepte mais ne gère plus ses drones. Ailleurs, le responsable de la manipulation se révèle à ladite soeur, et c’est le retour de Cyborg Superman.
C’est bien, oui. Je reste un peu déçu de cette grosse orientation « action », mais ça fonctionne. Johnson gère bien sa p’tite saga, la révélation est assez prévisible mais fonctionne bien. Clark est fort, mais surtout bon et humain, et c’est agréable à lire. Jon est peut-être trop caractérisé « enfantin », mais ça a du sens aussi avec son histoire personnelle. C’est prenant et bien fichu.
Dommage, d’une part, que le reste de la SuperFamily fasse tapisserie - et que Stephen Segovia ne soit déjà plus là. Max Raynor livre une prestation correcte, solide, mais sans rondeur et sans douceur. Efficace, sans plus.

Le segment sur Lois & Clark et la jeunesse de Jon est réalisé par Dan Jurgens au scénario et dessins, avec l’aide de Norm Rapmund. Moui. Jon et l’extraterrestre s’aident, se présentent ; elle donne une belle histoire justifiant sa demande d’aide, qui est brisée par la fin où elle se révèle « méchante » alors que Superman affronte Doombreaker.
Mouais, hein. Jurgens est toujours solide et classique aux dessins, mais son histoire est quand même bien maladroite et un rien lourde dans son classicisme. Gros mouais.

Enfin, point de chapitre Power Girl ici, mais une saga sur Steel ! C’est cool de changer.
Ici, Steel affronte un super-vilain lambda et moyen, souffre, se remémore son origine, se reprend, subit les piques de sa nièce « meilleure » que lui, puis révèle son identité à la conférence de presse de Steelworks, où il veut s’engager pour agir et qu’on puisse compter sur lui.
Bon. Dorado Quick lance sa micro-saga sur des bases très balisées, mais efficaces. Quiconque connaît Steel va un peu s’ennuyer, mais c’est aussi bien de revenir aux fondamentaux. A voir la suite, on ne peut juger ici un démarrage prudent.
Graphiquement, Yasmin Flores Montanez livre des planches solides, assez douces mais pas forcément prenantes. Du job de pro’, sans plus.

Un bon épisode global, même si le graphisme peine et que les histoires restent agréables mais tâtonnent un peu.

Je me régale également avec ce titre Action Comics et l’autre, Superman. Des années que l’on attendait ce genre de retour aux sources. Un truc lisible et que l’on prend plaisir à suivre mensuellement.
Et ce n’était certainement pas le cas ces dernières années.
La dernière fois que j’ai pris plaisir à suivre un titre Sup, ça remonte à la maxi série de Morrison.

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Tu n’avais pas aimé la saga Warworld et avant Bendis ?

Pas lu Warlord. Le run de JrJr m’a brulé les yeux. Bendis + Reis, j’ai trouvé ça chiant, sans saveurs, artificiels, comme les œuvres récentes de Bendis, qui pond plus des histoires de Bendis, plutôt que des histoires qui concernent les séries qu’il visite.
Peut-être un regain d’intérêt avec le run de Tomasi/Gleason. Oui, c’était au dessus du lot, je le concède.

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Written by: Phillip Kennedy Johnson, Dan Jurgens, Dorado Quick.

Art by: Rafa Sandoval, Lee Weeks, Yasmin Flores Montanez.

Covers by: Sebastian Fiumara, Rafa Sandoval, David Talaski, Al Barrionuevo, Bernard Chang.

Description: Superman’s true enemy has been revealed: the Cyborg Superman, Hank Henshaw! Everything the Super-Family has built stands on a knife’s edge, and Superman and Metallo become the unlikeliest of allies as they hunt for Metallo’s missing sister. Can they prevent the inevitable devolution of Metallo’s mind and body long enough to save his sister from Henshaw’s monstrous plans?

Pages: 48.

Price: $4.99 (Variant, $5.99).

Available: May 23.

Très agréable numéro. Les auteurs sont plus en jambe, s’en sortent bien, et forment un ensemble très sympathique à lire, et encore plus à retrouver.

Le segment principal sur Superman vise aussi la SuperFamily, et Phillip Kennedy Johnson s’en sort bien. On voit ainsi les Supes gérer la menace des troupes de Metallo mais en fait de Cyborg-Superman, puis les Supes se séparent : certains gèrent l’armée ennemie, les autres réactivent l’Eradicator pour qu’il traque Cyborg-Superman, qui a des bouts de Kryptonien en lui. Quelques éléments sur « comment est-il là », et les voilà avec Metallo dans un débarras de Lexcorp, où ils affrontent Cyborg-Superman. Metallo évoque son lien avec sa soeur, mais découvre qu’elle a déjà été changée…
C’est bien, oui. Phillip Kennedy Johnson gère bien la SuperFamily, avec de plus en plus d’interactions et de bonnes interactions. Le duo Kennan / Conner est assez cool comme jeunes blancs-becs, Kara a une bonne stature, et les jumeaux sont bien écrits en lien avec Metallo, qui explique un joli lien fraternel. Le reste est relativement attendu mais bien réussi, d’autant que Rafa Sandoval propose de très bonnes et belles planches.
Un bon moment, sur cette jolie SuperFamily qui, en soi, me rappelle Dragon Ball Z avec Son Goku et ses copains.

On enchaîne avec la partie sur Lois & Clark, où Jon a été enlevé par la princesse extraterrestre finalement pas du tout gentille. On a une grosse bagarre Clark VS Doombreaker, et c’est surtout l’occasion de jolies planches de Lee Weeks. Cela reste très classique, mais pas désagréable ici, avec ce twist attendu mais efficace sur l’ennemie.
Rien de neuf, rien de fou, mais c’est joli. M’enfin, on peut espérer mieux de Dan Jurgens quand même.

Enfin, on achève avec le segment sur Steel qui présente ici à la Mairie de Metropolis un programme pour « adapter » la technologie et l’architecture pour qu’elles résistent aux super-attaques, avec également des robots de Steelworks pour protéger les gens. Une jolie présentation, avec Natasha et Superboy en démonstration. C’est bien, sauf que Mr Terrific vient lui dire que ça ne va pas aller.
Un segment réussi, Dorado Quick est plutôt bon dans la présentation et Yasmin Flores Montanez propose des planches très claires et solides.

Un numéro fort agréable et prenant, cool !

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Written by: Phillip Kennedy Johnson, Dan Jurgens, Dorado Quick.

Art by: Rafa Sandoval, Lee Weeks, Yasmin Flores Montanez.

Covers by: Steve Beach, Rafa Sandoval, David Talaski, Juanjo Lopez, Otto Schmidt, M.L. Sanapo.

Description: A shocking new character makes a debut as the thrill-packed « Speeding Bullets » concludes! Superman and Metallo must reluctantly join forces to stop the Cyborg Superman. With Tracy Corben’s life (or at least her humanity) hanging in the balance, the Super-Family fights to keep Metropolis standing. Meanwhile, Lois and the staff of the Daily Planet set out to uncover the mysterious leader – and shocking origin – of Blue Earth!

Pages: 48.

Price: $4.99 (Variant, $5.99).

Available: June 27.

Solide et agréable, avec clairement le segment principal au-dessus des autres.

Phillip Kennedy Johnson et Rafa Sandoval achèvent leur saga inaugurale sur cette réorientation, efficacement avec une belle émotion, même s’ils sacrifient pour cela l’opposant. En effet, Cyborg-Superman tombe ici fort facilement, certes pris à parti par une bonne partie de la SupFam, mais surtout « massacré » par Metallo, qui s’acharne quand Henshaw s’en prend à sa soeur, déjà transformée en cyborg. Le calme revient, ça s’apaise, mais la soeur Corben est désormais « comme lui », et le vit mal même s’il veut l’aider. Clark ose croire en John, alors que la SupFam est liée.
C’est efficace et agréable. Johnson fait sauter un peu trop facilement Cyborg-Superman, mais il livre surtout de beaux moments d’émotion entre John et sa soeur. L’ensemble est prenant, bondissant et sympathique, surtout avec des dessins inspirés et fort jolis de Sandoval.
Rien d’original mais du bel ouvrage.

On enchaîne avec Dan Jurgens et Lee Weeks sur le segment « oublié » de l’époque Lois & Clark, avec Jon jeune. Ouais, bof. Jon est enlevé et emprisonné, Clark vient essayer de le libérer mais doit négocier avec la monarque méchante, puis les gens, alors que Jon essaye de se signaler mais se fait du mal.
Ca se lit, mais ça se survole, surtout. Jurgens n’est pas inspiré, et Weeks n’est pas loin du minimum, a priori pas emporté non plus par l’ensemble. Un petit gâchis, quand même.

Enfin, on achève l’épisode avec la fin du segment sur Steel, qui ici est confronté amicalement par Mr Terrific puis tabasse publiquement et en civil un super-vilain, avant que le conseil municipal confirme le contrat de rénovation urbaine à Steelworks.
C’est gentillet. Dorado Quick gère bien mais ne brille pas, son scénario est convenu mais son John Henry Irons est plutôt agréable à suivre. Yasmin Flores Montanez propose des planches agréables, très claires, et très fluides, même si ça reste très classique.

Un bon numéro global, bien mené par sa locomotive, qui n’avance que sur des territoires déjà connus, mais le fait bien.

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DC propose un one-shot intriguant sur Doomsday, mais aussi sur l’Enfer. Dan Watters enchaîne après un segment assez faible de Lazarus Planet, où Doomsday revenait de l’Enfer où il a été plongé après sa destruction dans Dark Crisis, mais y était renvoyé par le sacrifice d’un homme transformé par la Pluie de Lazare.
Et c’est plutôt surprenant et bon !

On continue ici sur Doomsday, donc. Martian Manhunter, ayant aidé l’homme mystérieux alors, « reçoit » un message psychique en Kryptonien, qu’il envoie en rêve à Supergirl. Celle-ci cauchemarde sur Doomsday dans les flammes, en parle à un Clark toujours marqué par l’épreuve de jadis. J’Onn vient la voir, confie l’avoir choisie elle pour épargner Superman, et plonge dans son esprit… mais ils sont alors pris dans le piège. Ils sont en effet amenés en Enfer, attirés par ce message transmis par The First of the Fallen. Ce dernier n’aime guère les réussites de Doomsday qui marave tout le monde en Enfer, au point que les damnés « croient » en lui et il emmagasine une puissance capable de le faire sortir. Il convainc Supergirl de mettre une armure maudite pour affronter Doomsday, mais… elle échoue. J’Onn tente d’en appeler à l’Espoir des damnés pour stopper Doomsday… mais ils n’en ont plus. Ils ont cependant encore un attachement à la Terre, et se sacrifient pour former tous une porte fermée pour stopper Doomsday. Supergirl et J’Onn retournent sur Terre, The First of the Fallen a gagné mais Doomsday rôde encore.
C’est bien, ça. Dan Watters est plutôt bon dans ce chapitre efficace, avec une bonne gestion du traumatisme de Superman, et une plongée intéressante en Enfer. Son utilisation du manipulateur surprend, car je n’ai pas l’habitude de le voir en dehors de Vertigo, mais ça rend bien et son intervention contre Doomsday est bonne ; bien qu’il fasse clairement Mephisto-bis. Supergirl et J’Onn sont bons dans leurs rôles, la gestion des damnés est aussi bonne.
Surtout, c’est magnifique : Eddy Barrows livre des planches superbes, très inspirées et puissantes, avec de superbes ambiances.

On finit sur la deuxième conséquence : l’homme mystérieux qui a renvoyé Doomsday, mais erre aussi en Enfer. Il est poursuivi et maltraité par des démons, mais se « lâche » et révèle des pouvoirs qui en font… Bloodwynd ! Il se libère, libère des âmes, les fait protéger et continue de rôder en Enfer.
C’est pas mal, aussi. Je ne connais pas Bloodwynd hormis quelques vagues éléments de Wikipédia, mais Dan Watters s’en sort bien avec un récit convenu mais efficace. C’est moins prenant que l’intrigue principale, et moins joli car Adriano Lucas n’est pas très fort, même si ça reste lisible et solide.
Accessoire mais sympathique.

Un one-shot dont je n’attendais rien, qui promet une suite dans Action Comics… et j’ai hâte de voir ça !

J’aime vraiment beaucoup les crayonnés de Barrows.





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Il est très bon oui. Sur des projets un peu trop « annexes », ça me surprend.

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Et ses encrages sont excellents aussi

Oui

Sauf qu’ici il n’est pas encré et je viens de voir le résultat final avec les couleurs, c’ est ignoble. On veut gagner du temps en sautant l’étape de l’encrage mais c’est une partie essentielle pour mettre en valeur et embellir des crayonnés.

T’as une photo des pages ? Des fois ils font ce choix pas pour gagner du temps mais par choix artistique