AKIRA TORIYAMA ET DRAGON BALL (William Audureau)

Tiens, marrant, je suis en train de lire le bouquin d’Audureau consacré à Toriyama, et apparemment, c’était un peu une nouveauté, à l’époque. En tout cas, d’après l’auteur, c’était vécu comme un blasphème par la rédaction, qui était largement contre : Torishima, le responsable éditorial, estimait que l’identification du lecteur se faisait si le héros était ado, pas adulte. Mais Toriyama a imposé l’idée (genre, « si on ne le fait pas, j’arrête ») et ça semble avoir marché, parce que la série est devenue encore plus populaire (ce qui semblait impossible).

Jim