Les vestes Avengers, c’est cool.
Clin d’œil à la silver centurion.
Mouais. C’était bien artificiel. Ça n’a pas empêché le titre d’être génial à l’époque hein . Mais je préfère les pyjamas qui ne s’embrassent pas de gadgets inutiles.
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Stylée la DANVERS !
Y a un classouille, ouais.
Les vestes, ça me permettait de me dire que je pouvais en être un aussi. 
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Je comprends. Quand je mettais une chemise ouverte sur mes épaules, j’étais Lou Ferrigno en mode fou furieux sur mon lit.
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Oui ca se lit mais on est encore aux presentations au bout de 60 pages.
C est sympa mais… faudrait raconter un truc
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Ah moi je trouve qu’on est au #3 et on a déjà deux aventures.
C’est Fred, tu sais …
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Ben non on a l annonce d une menace, deja annoncée dans timeless, sur le 1 et 2 (avec presentation de la compo avengers)
Et la on te detaille un peu les membres de la menace sauf le chef…
Apres c est sympa mais en 3 numeros t as pas appris grand chose et tu as peu d action
Pour l instant la difference avec aaron m apparait pas sauf que c est mackay sui ecrit et pas lui
Je lisais des plaintes sur la duree et l inertie du tournoi phenix…
C est un peu pareil la
Sauf que je trouve mackay moins bon ecrivain…
Zpres on peut prefere mackay mais de la a pas voir les memes problrmes qu ll y a
L arc celeste horde etait un peu plus avancé au 3…
Mais ensuite ca se ressemble (sauf que la menace fait plus black order)
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Bah si. C’est bien toi cause.
Je te repondais pas en fait
Ah … je sens comme une petite brise passer…
Non
(La je te reponds)
Ouf. J’ai failli aller chercher une petite laine…
Je crois que Timeless 1 n’était qu’un portrait de Kang par un tiers, et c’est bien dans Timeless 2 qui est un prologue à ce run.
En soi, Timeless 2 fonctionne comme le #0, notamment sur les #1-2. Là, je vois ça comme la deuxième phase, certes de la même histoire, mais ça avance.
Ce n’est pas formidable, mais j’aime l’approche.
Je trouve que Jason Aaron était plus grandiloquent dans son approche, plus dans l’esbroufe (finalement).
Après, tout dépendra de la fin des story-arcs de Jed McKay : c’est sur les fins d’intrigue qu’Aaron pèchait.
Je lui trouve un aspect morrisonien.
Juste un aspect.