Bouh, ça n’en finit pas, ce voyage temporel.
Ici, Jason Aaron se concentre sur la Starbrand, qui vieillit dès qu’elle utilise trop ses pouvoirs. Elle est ainsi passée de bébé à enfant puis désormais ado’. Evidemment, les Avengers ne veulent pas l’emmener dans leur périple temporel, pour stopper Mephisto d’anéantir leurs prédécesseurs méconnus. Elle n’en fait qu’à sa tête et, après quelques échanges avec un T-Rex Starbrand (!) seul survivant de la fin de son espèce, décide d’attaquer quand même Mephisto. Cela aboutit à ce qu’elle soit désormais entièrement vieille, alors que les Avengrs arrivent enfin à la Préhistoire.
Ca aurait pu être bien, mais ça ne l’est pas. L’idée sur cette Starbrand n’est pas originale, mais pourrait fonctionner si Jason Aaron avait réussi à créer de l’empathie et de l’intérêt pour elle ; c’est raté, pour moi. Le périple temporel est lourd et long, les Avengers méconnus de l’Histoire me soûlent, et l’ensemble est lourd.
Graphiquement, Ivan Fiorelli est un clone de Javier Garron, et les styles me semblent délavés et sans attrait.
Pitié, que ça finisse ou, au moins, qu’on ait quelque chose de pas naze à lire.