Il l’a déjà écrit, ça doit lui être resté.
(comme sa « révélation » de Tony adopté, que la franchise traîne comme un boulet)
Je le préférerais ici que sur un troisième volume de JSA, oui.
Il l’a déjà écrit, ça doit lui être resté.
(comme sa « révélation » de Tony adopté, que la franchise traîne comme un boulet)
Je le préférerais ici que sur un troisième volume de JSA, oui.
Ben là… je suis pas d accord… ce st a peu prés tout ce qui a été écrit d interessant sur Stark. La periode où il collabore avec son frere était pleine de promesse… par exemple.
Contrairement à beaucoup, Fraction (que j aime sur certains projets comme defenders, Iron Fist (qui est plus de lui que de Brubaker… dapres Brubaker, Thor) m a littéralement ennuyé sur Iron man (j aime plus ses xmen qui avait des points interessants)… alors que Gillen j aimais pas completement mais au moins y avait des idées ci et là
Je la verrais bien sur les gardiens (en terme de tonalité), une série moins « high-profile » qu’avant (même si il y a un autre film à venir pour raviver leur popularité).
Oui, la ville gérée par les Stark était cool. Et Arno, comme défini par Gillen, était sympathique.
Mais…
Depuis, Arno a été abandonné puis repris en méchant très méchant par un Dan Slott très peu inspiré sur la fin de sa prestation. Brian Michael Bendis avait même eu la politesse de reprendre ça, pour essayer de cadrer ; et c’en était plutôt bien sorti.
Mais, rétrospectivement, dire que Tony n’est pas le fils d’Howard (surtout) et Maria, c’est ridicule, sans grand intérêt et même très con.
Je voudrais Howard Mackie sur les Vengeurs.
Fusillez cet homme ! Gardes !
C’est ça ou Terry Kavanagh.
Ce serait bien aussi que Jason Aaron écrive les Vengeurs. Après ses Wolverine & the X-Men, ce serait la suite logique.
Heu…
On est en quelle année là ?
Ca ne me dérange pas.
Je suis plus ennuyé par les parents trouvé par Bendis qui sont des clichés ambulant…
Ca aurait été plus interessant de le lier a une famille en difficulté et peut etre de faire un parallèle avec le gamin qu’il avait sauvé du froid à sa periode SDF
Je sais pas…
Mais le fait d etre adopté ne me gène pas car on ne fait pas grand chose de ses parents de toute façon…
Jim
Le père en est un. La mère est un peu mieux, notamment parce que Bendis écrit bien l’amour maternel contrarié de celle qui a laissé son enfant.
Il a été bon là-dessus.
Un peu trop Hardware de Milestone, non ?
C’est certain.
Mais le principe me dérange. Car j’aime l’idée que Tony s’acharne à être un Howard meilleur, différent ; ce qui implique de lutter contre les mêmes démons, de s’y abandonner, mais d’en ressortir. Je pense à l’alcoolisme, mais aussi l’égocentrisme, le virilisme, la violence physique et verbale.
Certes, l’on peut dire, et l’on aurait raison, que cela fonctionne aussi avec l’éducation donnée par Howard ; oui. Mais j’aime l’idée que Tony soit en lutte perpétuelle contre lui-même, son « sang », sa nature profonde héritée d’Howard.
Je dis pas que Bendis n en a pas fait quelques trucs de bien mais franchement Star du Rock /Espionne…
C est un peu comme les parents de Parker… c est un peu une idée romanesque…
L’idée ne me gênait pas dans le sens où Tony semblait très bien vivre le truc. Et où le scénario nous le présentait comme l’enfant sur lequel tous les espoirs de ses parents, mais aussi tout leur amour, se reportait. Ça en faisait un fils de plein droit, un fils normal.
Ce qui m’a ennuyé, c’est qu’il parte à la recherche de sa généalogie biologique. Cela trahissait un manque, une faiblesse, qui, de mémoire, me semblait assez absente de la prestation de Gillen. Retrouver sa mère, c’est encore une idée à la con de Bendis, ou bien je confonds ?
Alors Slott intègre cette mère biologique de manière fluide, marrante, elle devient un personnage avec une identité propre (et finit par faire de l’ombre au couple officiel), mais sérieux, l’idée de base était inutile.
Jim
Visiblement à part Captain Marvel, elle n’aurais pas d’autres projets à venir chez Marvel.
Hmm…
On parle bien de comic books de super-héros à suivre, là, non ?
Genre, Dallas et Dynasty, mais avec des pouvoirs et des collants ?
Jim
Ouais, c’est un peu abusé.
Mais, dans l’idée, ça m’a fait marrer - et, surtout, je me suis concentré sur la bonne gestion des émotions.
Oui, c’est quasiment du Dumas.
C’est une idée de Bendis, oui. Mais ça ne me choque pas. Je pense même que les deux versions sont possibles.
En premier, l’on peut « accepter » de se savoir adopté, car l’on a été aimé, accompagné, forgé sans même ressentir cette différence.
Mais, avec le temps… avec le temps, et les épreuves, je ne peux m’empêcher de me dire que, oui, l’on doit sûrement s’interroger. Qui suis-je ? D’où je viens ? Est-ce que mes failles viennent de moi, de l’éducation d’Howard, ou d’autres ?
Pour le coup, ce changement ne me gêne pas. C’est ne jamais chercher et s’interroger qui m’aurait paru complètement incohérent, et inhumain.
Surtout pour un écorché vif comme Tony.
L’idée de Tony adopté ?
Joan collins en collants ? hmm
Tandis que le retour de la mère d’Harry Osborn (chez Slott) a été totalement ignoré…
Mais l’un n’empêche pas l’autre : il peut très bien lutter contre les mêmes démons sans être du même sang. Au contraire même, ça nourrit la caractérisation, car Howard reste le modèle de Tony, ce qui permet de renforcer Howard en « idole », ce qui peut, selon les récits, rendre Tony aveugle à certaines choses. En plus, ça le met en position de challenger, d’outsider, à tous les sens du terme.
Jim