Tu réponds à la question.
« on » veut voir ses suites pour ressentir la même choses qu’a l’époque (qu’on l’ai vécu ou pas d’ailleurs). En vain. Le sentiment nostalgique tel qu’il est conditionné aujourd’hui est une plaie.
C’est exactement ce que j’ai pensé. Ca fait vraiment intrigue ajoutée tardivement au scénario.
Sinon concernant le film, j’y suis allé à reculons pour amener les enfants et au final, j’ai été positivement surpris. J’ai passé un bon moment.
« On » veut aussi voir en Live Action les dessins animés de notre enfance.
Ah ?
Moi pas.
Tori.
Ha cette horreur ! Je crois n’avoir vu que le Livre de la Jungle de Favreau, et à part l’intérêt technique, quel l’enfer !
J’attends la version live de Wattoo Wattoo.
Tori.
J’avais le même « on » que Lord : l’évocation d’un apparent goût du public actuel, pas forcément vrai pour autant.
Disney a parié ces dernières années sur l’envie des trentenaires et quadras actuels d’amener leurs enfants voir en Live l’adaptation des dessins animés des années 90. Il faut admettre que, pour la plupart, les chiffres leur ont donné raison, malgré une baisse qualitative sur les derniers films.
Totalement. C’est ce qui est désespérant quelque part. De voir à quel point ça marche, à quel point ce besoin de retrouver ces sensations cela est puissant. Ca en dis beaucoup sur le monde.
Parce que si la convocation de la nostalgie d’une époque c’est pas nouveau (Happy Days dans les années 70 par exemple), c’est surtout l’importance que cela a pris (au détriment du reste) et la faible valeur artistique rajouté que cela à pris.
Marrant je me faisait récemment la réflexion que déjà l’édition spéciale de Star Wars participé déjà à cela (et dans un registre plus perso, Blues Brothers 2000). Ca toujours eu lieu (fin 90 on était dans le revival disco) mais je trouve qu’on est dans une dimension beaucoup plus industriel de la chose. Forcément ca marche, donc on reproduit la recette à fond.
Ah, oui, je comprends ce que vous voulez dire.
Tori.
Et on ne produit quasi plus que ça.
Ce qui mène à la lassitude, et à un rejet. Et un flou, jusqu’à la prochaine mode venue d’une production de niche, qui sera ensuite reproduite industriellement.
Après je sais pas trop si c’est si important que cela sur l’ensemble de la production ricaine même si c’est clairement médiatiquement important (du moins mis en avant) parce que fondamentalement c’est de la niche que de refaire/resuivre les vieux trucs connus
La vraie question : avant ou après la suite d’Edward aux mains d’argent ?
Ca dait combien de films de Burton que Burton fait en identique ?
Edward aux mains d’or ?
Et sa préquelle, Edward aux mains de bronze ?
Je ne sais pas. Je crois que les derniers vus sont Alice et Dark Shadow et son X-Men/Harry Potter. . J’ai compris que le gars n’avait plus le feu…
Kesseussé ?
Le film avec Eva Green qui dirige une école pour jeunes surdoués dotés de pouvoirs surnaturels…
Un truc tout naze, tout aseptisé, sans âme… Alors que sur le papier, ça pouvait faire un bon Burton s’il n’était pas mort en 2001.
Dumbo ?
#1erdegré ?