(W) Simon Spurrier (A) Sergio Davila, Seans Parsons, Arif Prianto (CA) Iban Coello
THE MIGHTY THOR VS. THE BLACK KNIGHT!
• Dane Whitman wields the magical Ebony Blade as the BLACK KNIGHT!
• He needs ELSA BLOODSTONE’s help if he’s going to stop an enemy’s murderous hunt for the EBONY ARTIFACTS.
• But the EBONY CHALICE lies beyond this world in a wasteland of dangerous fantasies and predatory magic.
• Their battle in the present will reveal dangerous secrets of the past as THE MIGHTY THOR duels the first Black Knight at Camelot!
• The Chalice’s power, like the Ebony Blade’s, comes at a terrible cost…is Dane willing to pay it?!
Rated T+
In Shops: May 19, 2021
SRP: $3.99
Ooooh, pas mal.
Si Spurrier livre ici un épisode qu’on peut aisément définir comme une transition : même s’il s’y passe plusieurs choses, on a des passages « obligés » dans ce genre de saga de révélations… mais ce n’est pas grave. Ca se lit bien, c’est fluide, les apports à la franchise sont pertinents et… et si mon pressentiment est bon, Si Spurrier prépare un sacré choc pour le personnage.
Pour mon personnage, disons-le clairement !
Ici, Elsa Bloodstone aiguille Dane pour qu’il utilise l’Epée d’Ebène comme « boussole » pour retrouver les autres artefacts d’Ebène, dont ce calice tant voulu Mordred, qui a déjà la dague et le bouclier. Eux deux et Jacks, qui se révèle orpheline d’une mère morte jeune et d’un père inconnu, vont dans une dimension mystique, que Jacks reconnaît dans son étude des mythes. Ca se bagarre avec Mordred, Elsa explique qu’elle est ici pour s’emparer de la Pierre de Sang qui anime l’allié de Mordred, pour ramener son père ; un sale con, comme elle dit, mais hé, la famille, quoi. Le hibou de Merlin guide Jacks dans des visions du passé, avec notamment un duel inédit jeune Thor VS Black Knight / Sir Percy qui, enragé par les provocations du jeune Asgardien, parvient à… le battre, littéralement ; mais se perd dans un massacre des alliés de Thor, à qui Merlin altérera les souvenirs. Si Spurrier acte ainsi que ce n’est pas le sang versé qui accroît la puissance de l’Epée d’Ebène et la malédiction, mais le volume de noirceur du porteur, qui augmente au fil du temps.
Le concept est bon, légitime dans la franchise, et permet aussi une illustration pratique : la dimension mystique fait voir à Mordred et Dane ce qu’ils veulent le plus, pour les piéger. Mordred voit Arthur le reconnaître comme son fils et héritier, tandis que Dane voit Circé qui veut le retrouver, Cap’ qui veut le réintégrer en Avenger et même en chef… et Ashima.
Ce mystérieux perso’ a déjà été évoqué au début de la mini-série, et on voit que c’est ici une jeune femme, a priori afro-américaine, qui dit à Dane qu’il n’est pas responsable, qu’il n’aurait rien pu faire. Elsa provoque un élément pour « ramener » Dane, en lui explosant la tête alors qu’il tient l’épée, ce qui permet de le ressusciter. Il reprend sa forme de « Dark Black Knight », repousse l’ennemi et Mordred s’enfuit. Mais Dane veut en comprendre plus, et va boire dans le Calice d’Ebène… ce qui semble le plan de Mordred.
Bon ! C’est bien, tout ça !
Si Spurrier me plaît beaucoup ici, autant avec cet apport sur la franchise avec le fait que les Black Knights s’enfoncent non pas à cause du sang versé mais la noirceur qui se développe après les épreuves. C’est logique et pertinent.
L’affrontement avec Mordred est bon, Elsa Bloodstone met une bonne ambiance, Dane est bien traité, Jacks est un bon élément pour « justifier » les révélations, et… et… et je le sens venir, quand même.
Je le sens venir que Jacks, c’est la fille cachée que Dane aurait eue avec cette mystérieuse Ashima. Comment, pourquoi, je ne sais pas - mais je le sens venir, et je me dis que ça peut être une bonne idée. Autant pour relancer la franchise du perso’, que pour « cadrer » ce Dane qui continue d’osciller entre le pitre, le bouffon paumé, et le super-héros classe. Il le dit lui-même, ses problèmes viennent de lui, de son manque de confiance. Une telle révélation pourrait le forcer à grandir, à aller de l’avant.
C’est cool, j’aime. D’autant que Sergio Davila livre des planches superbes, autant dynamiques que très jolies, avec de belles images et une bonne narration.
Vivement la suite ! Je veux la suite ! Donnez-moi la suite !
Cool.
Oui, mais c’est une illusion. 
Ah quand même.
Aperçu du #4 :
BLACK KNIGHT: CURSE OF THE EBONY BLADE #4
Written by: Simon Spurrier.
Art by: Sergio Davila.
Cover by: Iban Coello.
Description: Dane Whitman wields the magical Ebony Blade as the Black Knight! Dane will need to master the Ebony Chalice as well to stop the murderous new foe. But like the blade, the powers of the chalice come with a terrible cost. Dane, monster hunter Elsa Bloodstone and Arthurian scholar Jacks must face the dark truths of the Black Knight’s legacy AND the enemy at the very site of the first Black Knight’s birth.Does Dane have the strength to finish the fight that began long ago at Camelot by King Arthur, Merlin and Sir Percy?!
Pages: 32.
Price: $3.99.
In stores: June 30.
Allez, je reviens avec mes avis !
Grosse déception.
Si Spurrier se perd dans un épisode long, qui fait du surplace. On apprend que Merlin a orchestré la chute de Camelot, car il ne supportait pas que son « rêve » puisse être gêné, troublé ou amoindri par la réalité et les relations humaines. Mouais. On part donc sur une « révélation » qui n’en est pas une, car Merlin est régulièrement montré comme trouble, manipulateur, pas « forcément » bon.
En dehors de ça, c’est long et lent. Dane Whitman est encore neuneu, Mordred fronce les sourcils mais il ne se passe pas grand-chose. Bon, Dane semble mourir d’un coup porté par Mordred sans qu’il s’en défende et Jacks est confirmée comme liée à lui car elle est anéantie en tenant l’Epée d’Ebène, et Mordred rappelle même que « olala seule une héritière de Sir Percy pourra revenir de ça, hahaha ».
Je suis déçu, parce que ça fait du surplace, parce que Si Spurrier ne maîtrise pas vraiment sa continuité (Sir Percy a un fils ? depuis quand ? et l’héritier Chrononaut, mmh ?), parce que son Dane neuneu me lasse, parce que les ficelles sont grosses. Sergio Davila livre de très belles planches, mais tout ça laisse un mauvais goût.
D’autant que le destin de Dane a tout de la sale surprise finale, et ça ne va pas me plaire.
Coeur brisé !
C est que la passion de benni pour dane est communicative, et qu on voudrait le voir enfin content !
Clin d’œil
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Je sais pas. C’est une sorte de Graal, une série d’épisodes sans fin ! 
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Roh, mais non. 
Je suis à la moitié des plus de 1000 pages de ceci, et je suis ravi. 
Par contre, c’est sûr que si je demande une oeuvre efficace et dynamique avec un auteur qui connaît sa continuité, ça semble compliqué en 2021…
Tu m’étonnes.
Jim
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Ce ne serait pas circe et crystal qui sont à ton goût en fait ?
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Magdalene voyons !
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Oh les coquins !
C’est vrai que c’est une chouette période.
Steve Lightle (RIP) :
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BLACK KNIGHT: CURSE OF THE EBONY BLADE #5
Written by: Simon Spurrier.
Art by: Sergio Davila.
Cover by: Iban Coello.
Description: The Black Knight’s ancient enemy has forged the Ebony Crown – a weapon with the magical might to dwarf even the Ebony Blade. The end is within reach. No more suffering. No more pain. All Dane has to do…is let go. But he can’t give in to the darkness. Not if there’s any chance of ending the blood feud started in Camelot long ago. Dane must fight. One last desperate battle. But he might not be the world’s last hope. There is another. Her name is Jacks, she’s @#$% off, and she will change the Black Knight forever.
Pages: 32.
Price: $3.99.
In stores: July 28.
Ne foirez pas tout, les mecs.