Mais quels sont ces tests ? Qui les décide ? Qui les juge ?
Je pense que tu te fourvoies dans l’approche. L’idée n’est pas de juger le féminisme de l’autrice violemment attaquée par Vivès. Car quoi, si elle n’est pas féministe, il était légitime à balancer de telles horreurs sur elle et ses proches ?
Vivès se lance dans une diatribe violente parce qu’il ne supporte pas qu’elle évoque la charge mentale, qui est une réalité. Et il s’abandonne à des propos abjects en ligne, digne su harcèlement.
Attention à ne pas juger de la « qualité » de la victime, je pense.
Tout comme ne percevoir cette situation que dans cet ensemble.
JK Rowling est supprimée de son œuvre pour des propos jugés transphobes, qu’elle maintient et qu’elle argumente.
Vivès est un bourrin violent et obsédé, qui a eu un comportement en ligne dégueulasse et livre certaines œuvres au fond dérangeant. Ce n’est pas la même situation.
JK Rowling me semble recevoir un traitement basé sur une pensée globale agressive mais bien-fondée, qu’elle s’est mise à dos par dogmatisme personnel et refus d’être souple.
Vivès reçoit un retour basé sur une gêne générale de ses comportements directs contre autrui, et ensuite d’un questionnement légitime sur le fond de certaines œuvres.
Je trouve dangereux de les confondre.