Ah, ce serait plus logique, oui.
Tori.
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Thor #71/573 (2003) :
« And if i can just draw your attention to the three blokes in the bottom right corner.
You’re welcome. »
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J’avais déjà lu la mention de la présence de Fury et Murdock, mais pas de Fatalis !
(plus des auteurs, non ?)
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Dans Adventures of Superman #448, réalisé par Jerry Ordway, Lois Lane est interrompue dans sa lecture par l’arrivée de José Delgado, tout content de lui montrer les résultats de son opération chirurgicale (non, je ne donnerai pas de détails, vous n’avez qu’à lire la série).
Et que lit-elle ? Fear Book, de John Byrne, le roman qu’il a négocié auprès de Warner Books dans le cadre de son contrat chez DC au milieu des années 1980.
À cette époque, Byrne est déjà retourné chez Marvel animer les séries des Vengeurs, mais ses amis, parmi lesquels comptent Ordway ainsi que Mike Carlin le responsable éditorial, n’hésitent pas à faire un clin d’œil à leur ancien collègue, qui a contribué à initier les intrigues sur lesquelles ils travaillent dans ces épisodes.
Fear Book a connu une traduction chez J’Ai Lu, sous le titre Le Livre de la peur, quelques années plus tard.
Jim
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Je me rappelle bien de cette couverture…mais je n’ai pas pris le bouquin à l’époque, pas assez de sous…^^
Il n’est pas méga génial : une histoire d’horreur dans un petit village (ou une zone pavillonnaire, je ne sais plus), avec son lot de scènes sanglantes, et une grosse explication à la fin comme dans ses pires Fantastic Four.
Sympathique mais anecdotique.
Jim
Byrne sans des dessins, ca doit pas être super digeste
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Ca manque de fibre.
L’aventure de Fear Book dans les comics de Superman ne s’arrête pas là. Dans Superman #49, premier chapitre de la saga « Krisis of the Krimson Kryptonite », Lois et Clark, qui ont entamé une relation plus avancée, découvrent une petite pile du roman que le premier vient de signer. Seul problème, il s’agit d’une pile d’invendus soldés :
Alors certes, Clark Kent est soldé, oui, mais au même titre que Stephen King ou John Byrne… Et dire qu’elle a payé plein pot pour le roman de celui-ci.
Dans la même planche, Jerry Ordway s’amuse à donner une énième variation humoristique sur la révélation de l’identité du héros :
Jim
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