Je viens de regarder le dernier episode de Magnum PI (premonitions en 2 parties/ ja dore cette série) et le neveu de Magnum lui prete un Teenage Mutant Ninja Turtle (j ai pas d images).
Je pense aussi qu a un moment dans son appartement sur sa petite table (il cache des papiers avec) on aperçoit un comics où j ai cru voir le bouclier de Captain America
[quote=« Le Doc »]
(Adventures in babysitting), première réalisation de Chris Columbus (scénariste des Gremlins)
Et pour en revenir à Gremlins (1984), le héros du film, Billy, est un très bon dessinateur et un grand lecteur de comics (on peut discerner ci-dessous un House of Mystery de DC et un Conan de Marvel)…
http://www.cine-sanctuary.com/public/sanctuary/img/comics_4/comics4.1/Mogwai_birth.PNG[/quote]
Billy n’a pas perdu sa passion du comics quand il est parti travailler dans la tour Clamp. Dans Gremlins 2 On découvre dans son petit bureau un exemplaire de Batman & The Outsiders.
http://img15.hostingpics.net/pics/939431vlcsnap4526090409h25m08s533.png
Cela m’a tout l’air de correspondre au second numéro de la série.
D’un univers de comics l’autre [size=80](du coup je ne sais pas si c’est le meilleur topic pour poster ça, mais comme c’est à l’écran, ça me semble plus approprié que le topic Easter Eggs)[/size] : dans le 6e épisode de Riverdale, sorti la semaine dernière, Archie Andrews répète devant son miroir… entre deux couvertures géantes de la gamme Rebirth de DC en guise de posters.
Tu es bien à la bonne place…
Et en parlant de chambre…on retourne dans les années 80 avec la chambre d’un des gosses du Monster Squad. Celle-ci ne manque pas de posters, donc ceux du Punisher, de Wolverine et des personnages de Comico.
Il en jette ce poster de Leonardi (tout comme celui qu’il a fait avec Spidey). http://www.bdgest.com/forum/images/smilies/srespect.gif
Vendredi 13 Chapitre VI : Jason Le Mort-Vivant :
Le comic-book visible sur cette image est un numéro de Power Man & Iron Fist. On peut reconnaître le vilain El Aguila, apparu pour la première fois dans le #58.
http://www.cine-sanctuary.com/public/sanctuary/img/comics_3/comics3.1/2g4m.jpg
Une page à peine éclairée et tu trouves la référence !
Tu es trop fort Doc !!
[quote=« Old Tiger »]Une page à peine éclairée et tu trouves la référence !
Tu es trop fort Doc !![/quote]
Parce que le petit dans le film, c’est le Doc !
Héhéhé…j’ai quand même vérifié avant sur la toile si c’était bien un numéro de Power Man & Iron Fist comme je le supposais. C’est marrant, quand j’ai revu le film il y a peu, j’ai tout de suite reconnu El Aguila (alors que c’est quand même un vilain très obscur)…et comme on peut voir Luke Cage sur l’image…
Et j’aime bien aussi la comparaison entre les lectures des gamins du camp de vacances :
http://www.cine-sanctuary.com/public/sanctuary/img/comics_3/comics3.1/2g4m.jpg
http://www.cine-sanctuary.com/public/sanctuary/img/horror/horreur1/f13p6-no-exit.jpg
et celle de la monitrice :
http://www.cine-sanctuary.com/public/sanctuary/img/horror/horreur1/f13p6-men-at-play.jpg
Faudrait presque lister les films concernés dans le premier post …
Sinon, je ne suis pas doué pour trouver les images sur le net, mais dans Last Days of Summer (2014), l’ado file vers le rayon de comic-books de la grande surface du coin (ce qui confirme que le film tente de respecter la période où il se déroule, puisque ça ne doit plus trop se trouver, si j’ai bien compris), tout en passant préalablement devant des Vogue … bref, j’ai cru voir un Changeling, un Batman, Legion des Super-Héros … que du DC !
Love and Rockets (2/2) :
Les références au magnum opus des frères Hernandez apparaissent parfois là où on ne les attend pas, en l’occurence dans le cadre de l’adaptation exemplaire qu’est Batman: The Animated Series.
Au début de l’épisode « Birds of a Feather », Oswald Cobblepot aka le Pingouin (doublé par Paul « Phantom of the Paradise » Williams) sort de prison et entre dans un bus pénitentiaire, dont l’intérieur ne paraît pas très accueillant.
Il y a parmi les passagers une jeune femme à l’allure plutôt familière (en tout cas pour les fans de L&R tels que Jack! ou votre serviteur), avec ses cheveux courts et son long manteau noir.
Ce personnage est bien sûr une référence claire qui renvoie à la punkette Hopey, un des personages principaux qui gravitent autour de la figure centrale qu’est la gironde Maggie. Ce caméo inattendu est une initiative de Ronnie Del Carmen, un fan de longue date de la série qui s’est chargé du storyboard de l’épisode en question.
Cet épisode de Batman TAS contient également des références plus axées sur la mythologie propre au chevalier noir, renvoyant à certains des auteurs marquants de la franchise.
C’est ainsi que les noms des scénaristes Steve Englehart et Mike W. Barr apparaissent sur des panneaux alors que le personnage de Pierce Chapman s’apprête à délivrer la rançon au Pingouin afin de libérer Veronica Vreeland.
Cette référence est loin d’être anodine, puisque elle témoigne de l’influence des comics-books des années 70 et 80 sur la série, qui a pioché abondamment dans la continuité du Batman pré-Crisis (tout en arrivant à rendre hommage aux versions diamétralement différentes dans leur tonalité de Frank Miller et Dick Sprang, et cela par le biais de la multiplication des points de vue, à la manière de « Rashômon »).
Il n’est donc pas étonnant de retrouver dans le générique de la série des scénaristes phares des années 70, qu’il s’agisse de Marv Wolfman, Gerry Conway, Elliot S. Maggin, Lein Wein, et même Steve Gerber, pour certains des épisode les plus barrés de la seconde série « The New Batman Adventures » (lui qui avait justement travaillé dans le domaine de l’animation lors des années 80, sur Transformers, G.I. Joe et Thundarr/Arok le barbare).
Bruce Timm, Paul Dini et leurs collaborateurs avaient également souhaité adapter certaines histoires provenant du run de Doug Moench (l’introduction du personnage de Nocturna fut un temps envisagée), mais cela n’a pas abouti, en dépit de son inclusion dans une série d’exception, qui n’hésitait pourtant pas à explorer un registre assez sombre.
La période des débuts du « Timmverse » a également été l’occasion d’adapter des classiques issues des décennies précédentes, tel le « Laughing Fish » d’Englehart ou encore les premières apparitions de Ra’s al Ghul dans le cadre du show, supervisées par Dennis O’Neil, le créateur du personnage et auteur d’un cycle resté dans les annales du titre.
L’utilisation récurrente de certains personnages (Rupert Thorne, Leslie Thompkins, Killer Croc, Harvey Dent, Hamilton Hill, Harvey Bullock) atteste également de l’influence de cette période méconnue du lectorat français.
Pour ceux qui voudraient en savoir plus, Jim a évoqué cela dans son billet sur le Batou de Conway :
[quote=« Jim Lainé »]
En ce moment, pour des raisons professionnelles, je relis le Modern Masters #3 consacré à Bruce Timm. Dans l’entretien, les deux interlocuteurs évoquent la volonté de l’équipe d’adapter l’histoire de Nocturna (tout le soap avec Dick Grayson et les vampires, que Sagédition a plutôt flingué en présentant les histoires dans le désordre). Ils envisageaient de faire un double épisode, afin de condenser les meilleurs moments de la vaste saga. Mais la chaîne a refusé dès que le mot « vampires » a été prononcé.
Quoi qu’il en soit, c’est encore la preuve que la période Conway / Moench a été une source d’inspiration première pour la série. Ça me semblait évident l’année dernière quand j’ai tapé ce billet, mais là, c’est frappant.
Jim[/quote]
[quote=« Marko »]img11.hostingpics.net/pics/915400BarrEnglehart.jpg
Cet épisode de Batman TAS contient également des références plus axées sur la mythologie propre au chevalier noir, renvoyant à certains des auteurs marquants de la franchise.
C’est ainsi que les noms des scénaristes Steve Englehart et Mike W. Barr apparaissent sur des panneaux alors que le personnage de Pierce Chapman s’apprête à délivrer la rançon au Pingouin afin de libérer Veronica Vreeland.
Cette référence est loin d’être anodine, puisque elle témoigne de l’influence des comics-books des années 70 et 80 sur la série, qui a pioché abondamment dans la continuité du Batman pré-Crisis …][/quote]
J’ignore totalement si c’est Batman: The Animated Series a été la première à utiliser le procédé, ou s’il faut remonter plus loin encore, mais cela semble en tout cas une tradition bien établie dans les adaptations de l’univers DC à l’écran. Parmi les exemples récents, Arrow, The Flash et Gotham font notamment un usage particulièrement répété de ce procédé : les cités dans lesquelles les persos évoluent sont apparemment blindées de rues aux noms tels que « O’Neil » ou « Infantino », hommage rendu aux auteurs ayant contribué de façon significative aux aventures « papier » des héros, ou créé le vilain de la semaine…
Orange is the new black s3ep1 : The Authoritative Calvin and Hobbes
Lors d’un flashback, lecture de strips entre une mère et sa fille !
Pas que chez DC : Dans le film Ant-Man, il y a l’hôtel Milgrom :
Tori.
[quote=« Oncle Hermes »]
J’ignore totalement si c’est Batman: The Animated Series a été la première à utiliser le procédé, ou s’il faut remonter plus loin encore, mais cela semble en tout cas une tradition bien établie dans les adaptations de l’univers DC à l’écran.[/quote]
Si l’on en croit Timm lui-même, le genre super-héros était en telle déshérence à la télévision à l’époque, qu’il est bien possible que ce soit Batman TAS qui ait imposé le truc, puisqu’il n’y avait rien de réellement sérieux en la matière dans la décennie qui a précédé. Faudrait quand même revoir / réécouter le premier Batman de Burton, des fois que…
De même, il faudrait revoir la série Flash de 1990. De mémoire, il y avait des références de cet ordre (nom de rue, d’immeuble…). Or, elle a débuté en septembre 1990, soit deux ans avant Batman TAS. Là encore, tout cela provient de souvenirs flous : faudrait rejeter un œil pour être sûr.
En BD, le procédé, ai-je l’impression, semble remonter aux travaux de Miller. Il me semble qu’il y a des références de ce type dans le Dark Knight ou dans Year One. Pareil, faudrait relire, là, à brûle-pourpoint, je ne jurerais de rien.
Je me demande si Conway, justement, ne joue pas ce jeu. L’un de ses premiers épisodes, avec Don Newton, sur le Chevalier Noir est un hommage à peine déguisé au Spirit d’Eisner (après vérif, c’est Detective #497), donc je ne serais pas étonné outre mesure si j’apprenais qu’il a baptisé un square, une rue ou un immeuble d’un nom connu de nos services.
Quoi qu’il en soit, le procédé semble s’être imposé dans les années 1980, ce qui n’a rien d’étonnant, somme toute…
Jim
Dans les années 70, Morgan Freeman était l’un des acteurs réguliers de l’émission pour la jeunesse The Electric Company. Parmi les nombreux sketchs qui composaient le programme, il y avait une pastille consacrée à Spider-Man, les Spidey Super Stories (déclinées par Marvel en comic-book, dont certains épisodes ont été traduit en France dans Spidey).
Voici Spidey Meets the Yeti (avec Morgan Freeman en policier) :
Une emission de France O avec X. Fournier
Ah marrant, je viens de le regarder.
Assez anecdotique, il faut dire. Mais sympa.
Jim