Oui, il y a de ça.
Je reprendrai une formule que Jim a utilisé pour Palmer sur Gene Colan :
Pour moi, Glynis Oliver, c’est un peu la même chose. Il y avait peut être des contraintes de temps, et procéder avec des applats de couleurs en faisait gagner j’imagine, mais il faut réussir à ne pas faire passer cette technique pour de la paresse, mais comme un outil narratif supplémentaire.
Je trouve qu’il faut du culot pour imposer cette couleur pour une 1ere page :
Et la 1ere case ici :
c’est simple, efficace, et encore une fois, les différents plans sont tout de suite bien marqués. C’est tout con, mais je suis complètement fan de cette approche. C’est au service du dessin et de la narration.