C’est quand même dingue le nombre d’apports et de pistes lancées par Moore et reprises par les autres scénaristes, à l’instar de ce qu’il a fait sur Captain Britain (même si techniquement Claremont était là avant sur le titre).
Je relisais encore récemment une de ses oeuvres méconnues à mon sens qui gagnerai à être redécouverte, un annual du justicier de Gotham qui délivre un portrait touchant du personnage de Clayface (le troisième du nom).