Dernières lectures mangas

Au Café Kichijoji 1:

Mitaka Yuuichi, le gérant du café Kichijoji rassemble tout son petit personnel (5 garçons) pour leur apprendre qu’une journaliste va venir les interviewer pour une rubrique « guide des cafés » dans son magazine. Cependant, chacun des employés a son caractère et, ensemble, ils sont difficilement contrôlables :

  • Kurihara Tarou, le chef d’équipe, est un maniaque du nettoyage ;
  • Ichinomiya Jun ne supporte pas que l’on fasse allusion à sa beauté féminine et peut devenir très violent ;
  • Ookubo Maki est un fêtard et un dragueur ;
  • Tokumi Shuuta élève ses deux hamsters dans un taudis ;
  • Minagawa Hifumi, chef en cuisine, est un adepte de la magie noire.

Sympathique, mais j’avoue que je m’attendais à mieux. Les différentes histoires mettant en scène ces garçons de café excentriques sont agréables et font souvent sourire, notamment grâce à leurs personnalités. Maki et Toku font des ravages dans la catégorie débilité, mais la palme revient à Minagawa, adepte de pratiques vaudous ! Par contre, je trouve Jun et Taro assez quelconques.
Le coup de crayon est très agréable, à la fois précis et épuré. Globalement, il fait bien ressortir le côté idiot de Maki et Toku, et le caractère particulier de Minagawa. Mais à côté, je trouve qu’il ne va pas assez loin quand on a affaire à des passages censés être déjantés.
A lire pour se détendre, mais ça ne vaut pas ce bon vieil Azumanga Daioh :slight_smile:

13/20

Bokurano 1:

Pendant les vacances d’été, un groupe de 8 garçons et 7 filles s’aventure dans une grotte. Au fond de celle-ci un homme étrange, nommé Kokopelli, leur propose de participer à un jeu : détruire 15 robots gigantesques venus détruire la terre.
Mais le jeu fait remonter à la surface les névroses des 15 enfants, et à mesure que les secrets enfouis resurgissent, la frontière entre fiction et réalité se fissure…

Et bien, je ne regrette pas mon achat ! Voici un scénario intéressant ! L’auteur y utilise le classique combat contre des robots géants, dans le but d’analyser, sans prendre parti, les personnalités de ces 15 enfants. On remarque rapidement que ceux-ci (surtout deux dans ce tome) peuvent se montrer plus torturés ou immoraux qu’il n’y paraît. Et en mettant en avant l’image souvent idéale et erronée que les enfants se font de leurs parents, Mohiro Kitoh nous montre de manière subtile les côtés sombres de l’être humain.
Le coup de crayon très épuré sert fort bien le scénario. Aucune réelle violence physique n’est à noter, mais de la violence psychologique, oui, même si ce volume d’introduction reste assez calme sur ce point. Mais on ne peut s’empêcher de se dire que ce titre mérite sa mention « Pour public averti ».
La suite promet d’être on ne peut plus intéressante, suite aux évènements et aux révélation de ce premier volume.

16/20

Kurokami 2:

Ce second volume confirme le potentiel de la série. Le scénario suit son cours et on en apprend plus sur diverses choses. Le principal combat de ce volume permet d’en apprendre plus sur les conditions du pacte qui unit mototsumitama et être humain, et met aussi en avant les revers d’un tel pacte.
Visuellement, le titre remplit son rôle. Les combats sont dynamiques, même si je trouve le sang très mal fait. Et Kuro a vraiment une bonne bouille ^^
Enfin, un petit mot sur les trois dernières pages du tome, qui sont tout simplement atroces, immondes, ignobles O____O Et pour le coup, fallait vraiment oser…
Allez, deux mois à attendre pour lire la suite.

15/20

A choisir t’aurai franchement du lire le roman avant. Nettement mieu, un poil plus profond un poil moins gratuit… En ayant comparé les 2 je dois dire que chaque fois que le manga se détache du roman il y perd… Mais bon t’as passé un bon moment devant le manga donc ya rien à dire. Petite note en passant le film à pas grand chose à voir avec le roman et le manga, c’est très différent et pas si mal au final (mais gaffe le 1er pas le 2eme qui sent les égouts)

Pour l’anime comics de DBZ… Mon dieu et dire qu’il y à un moment en retrouvant de vieux club dorothé magasine je m’étais demandé comment je pouvais regarder des truc pareil… Voilà qu’ils l’éditent :mrgreen:

2 messages ont été fusionnés à un sujet existant : FLY t.1-37 / DRAGON QUEST - LA QUÊTE DE DAÏ t.1-37 / DRAGON QUEST - THE ADVENTURE OF DAI t.1-11 (Riku Sanjô / Kôji Inada)

Un message a été fusionné à un sujet existant : L’HABITANT DE L’INFINI t.1-30 (Hiroaki Samura)

Un message a été fusionné à un sujet existant : MONSTER t.1-9 (Naoki Urasawa)

I"s (prononcé Aïze et non Isse) : série en 15 tomes - ancienne édition - du célèbre Katsura, que l’on ne présente plus. Ayant lu Video Girl Aï, forcément, il est impossible de ne pas faire la comparaison. Plus drôle que VGA, il y a cependant deux points qui m’ont paru inférieur. Tout d’abord, et Katsura l’explique lui-même, ici, on n’a quasi exclusivement le point de vue du personnage principal. Les autres (les filles donc) ne vivent que grâce au personnage principal. VGA lui permettait au lecteur de mieux comprendre les autres personnages. Bien entendu, d’un côté, cela permet une plus grande ambiguïté encore, le lecteur ne sachant pas vraiment sur quel pied danser avec Iori et les autres personnages féminins. Mais cela a surtout pour grand défaut une trop grande monotonie. Monsieur l’inversé (le personnage principal fait souvent l’inverse de ce qu’il voudrait) en devient vite lourd, et en fait, toutes ses gaffes sont lourdes à la fin. En gros, on a envie de lui foutre des claques. Soit il réfléchit trop et n’agit pas. Soit il agit, mais là, il agit mal. En somme, c’est un crétin. Et le pire, c’est qu’il l’est du début à la fin :mrgreen: Ce couillon n’évolue pas d’un poil, alors qu’il se passe trois ans. Et en plus, comme je vis moi-même une relation limite proche de ce que vis le personnage principal, ça m’a encore plus énervé, mais bon, là, ça vous regarde pas :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

Bref, j’ai noté 7/10 VGA, je vais en faire de même pour I"s, sachant que leur qualité sont différentes. Normalement, je devrai plutôt mettre 6/10 à I"s, mais grâce à son humour et sa très bonne ambiance, après réflexion, je me dis que cela compense ses défauts. Il ne mérite cependant pas plus que 7, même si Katsura est un « as » dans l’art de créer des situations amoureuses à trois (voire plus).

Prochaine série en vue : Katsu, du célèbre Adachi. Et je vous le dis de suite, c’est du bon.

2 messages ont été fusionnés à un sujet existant : EYE SHIELD 21 t.1-37 (Riichiro Inagaki / Yusuke Murata)

XXX Holic 11 : Décidément XXX Holic est pour moi une série incontournable. Ce 11ème tome le confirme.
Tout d’abord, je me fourvoie peut être mais j’ai noté une légère amélioration graphique depuis le 10ème volume. On verra si cela s’accentue dans le 12ème !
Pour ce qui est du scénario, c’est du bon, du très bon ! L’histoire avance, lentement mais sûrement, sans s’emballer. On apprend beaucoup de choses en rapport avec Tsubasa Reservoir Chronicle, notamment sur le « vrai » Shaolan, qui serait d’une manière ou d’une autre lié à Watanuki. Les scénaristes de Clamp distillent avec parcimonie nombre d’indices, peut être des fausses pistes, pour retenir toute notre attention. Et c’est réussi : notre curiosité est piquée, on veut savoir ce qu’il se trame, que ce soit du côté de Yukô et Watanuki que du côté de Shaolan, Kurogane et les autres.
L’humour, lui est toujours aussi rafraîchissant et efficace. En effet Yukô qui prend son rôle d’alcoolique très à cœur (bien aidée par Mokona il faut dire) et l’amitié entre Doméki et Watanuki toujours aussi peu assumée par ce dernier. Mais XXX Holic c’est drôle aussi et surtout grâce à toutes les idées de Clamp pour égayer leur univers : la présence de « Tampopo », du renard en tube et autres animaux fantastiques qui font des apparitions plus ou moins prolongées.
Encore une fois bravo à Clamp pour ce volume plus que satisfaisant.

18/20

Shiba Inu : Shiba Inu est un recueil de six nouvelles imaginées et illustrées par Masanori Morita, l’auteur de Racaille Blues et Rookies. Alors que ses deux œuvres principales brillaient par leur humour détonnant et leurs bastons « furyos », Shiba Inu s’ancre incontestablement dans un registre plus mature et surtout plus tragique. Et bien que ce ne soit pas son style de prédilection, Masanori Morita s’en sort avec brio.
Etant donné l’hétérogénéité des nouvelles, que ce soit pour la qualité ou pour la taille, il est mieux de faire une petite chronique pour chaque histoire.

A message to you, Rudy : Une toute petite nouvelle, puisqu’elle de fait moins de dix pages. Mais cette brièveté ne l’empêche pas d’être l’une des meilleures du One Shot.
Toute en couleur, elle nous raconte le blues d’un tueur en série, d’une manière particulièrement poignante. Morita réussit le tour de force de nous attrister du sort d’un personnage que l’on a vu que quelques pages !
Les dessins sont, quant à eux, magnifiques. Le grand format du volume et la colorisation mettent parfaitement en valeur le trait de Morita qui, apparemment, ne s’épanouissait pas complètement dans les petites cases de Rookies.
Je mets sans aucune hésitation un bon 17/20 pour cette histoire.

All the way down : Morita explore, en seulement cinq pages, le côté obscure de la boxe, un milieu où règne la corruption et la mafia. Et, perdu dans cet univers, un ancien alcoolique, criblé de dettes, qui a perdu sa femme et son enfant… Enfant qu’il revoit dans le public, alors qu’il est en plein combat, qu’il est censé perdre contre rémunération. Pour impressionner son fils, pour expier sa faute, cet homme va perdre la vie.
Encore une fois, l’émotion est au rendez vous, grâce à la justesse du mangaka, qui n’en fait ni trop, ni pas assez. Chapeau l’artiste !
17/20

Shiba Inu : La nouvelle la plus longue du recueil, qui s’étale d’ailleurs sur deux chapitres. C’est indubitablement la meilleure des six !
Une histoire bouleversante, relatant l’histoire de Mikio et Masamune, un duo comique depuis le lycée. Cependant, Mikio déclare brusquement son envie d’arrêter sa carrière d’humoriste sans donner de raison particulière …
Dotée d’une mise en scène quasi cinématographique, Shiba Inu réunit tous les ingrédients du chef d’œuvre : de l’humour, de l’amitié, et surtout du tragique. La fin est extrêmement bien pensée et réalisée, et les plus sensibles d’entre nous verseront sûrement une petite larme. Donc préparez un paquet de mouchoir pour ne pas abîmer le papier !
19/20

Gang Age : Cette nouvelle nous narre les efforts désespérés de 3 écoliers pour garder leur professeur préférée dans leur école. A la fois drôle et touchante, l’histoire contraste avec la première partie du volume du fait de son dénouement heureux.
Le niveau graphique est un cran en dessous de celui des trois premières nouvelles, sûrement parce qu’elles sont plus récentes.
Cependant cette histoire n’apporte pas grand chose au recueil, elle est beaucoup plus banale que ses prédécesseurs. Mais cela reste du Morita, donc c’est quand même très bon !
15/20

Desert : Une nouvelle fois une histoire centrée sur la boxe, mais cette fois avec le point de vue de l’arbitre.
En effet, Ashihara, arbitre professionnel, a perdu confiance en son jugement depuis qu’un boxeur est mort sur son ring.
C’est grâce à un ami, au frère du défunt et à son amour pour sa profession qu’il va réussir à remonter la pente et retrouver goût à l’arbitrage.
Une belle histoire où l’auteur renoue avec ses premiers amours : l’importance de la motivation, la confiance en soi et aussi la beauté du sport.
Une belle leçon de vie qui mérite bien 17/20.

Les tueurs rient aussi : A la base ne faisant pas parti de Shina Inu, « Les tueurs rient aussi » a été rajoutée lors de la réédition de luxe. Et c’est tant mieux, cette petite nouvelle est plutôt agréable à lire.
Au niveau des dessins, c’est moyen, vu que c’est la première œuvre de l’auteur, donc sa plus ancienne.
Le scénario, sans casser des briques, arrive à nous amuser, et à nous émouvoir sur la fin. On s’attache très vite au personnage principal, Eijiro, qui essaye de convaincre un parrain de la mafia de le laisser sortir avec sa sœur ! Vous l’aurez compris, c’est une histoire peu réaliste et humoristique. Et c’est plutôt réussi.
16/20

Après nous avoir fortement ému avec ses trois premières nouvelles, Masanori Morita nous refait sourire, voire même rire, avec les trois dernières. Un savant mélange entre humour et émotion qui fait de Shiba Inu une œuvre indispensable pour toutes mangathèques qui se respecte.
Ma note sera donc la moyenne des six, soit 17/20.

Note : 17/20

Tokko 1 à 3 : j’ai adoré, dommage que ce ne soit pas fini, car franchement ce manga m’a bien plus.

Zetman 8 : l’histoire continue et passionne toujours autant, dommage que cela soit si long entre deux tomes.

Magara : ce one-shot m’a vraiment bluffé, par son style et son histoire, je le conseille franchement. J’ai aimé aussi la dernière page (avec un souvenir de V7 du site :wink: )

young GTO 24 : étant fan de la série, je sais que je suis pas objectif, mais je me marre touours autant.

Pour répondre à la critique de metro sur Shiba Inu, je suis en très grosse partie d’accord sur tout ce que tu as dit^^
Bon en même temps c’est du Masanori Morita, auteur dont je suis depuis peu un grand fan grâce à Racaille Blues et donc c’était facile pour moi d’apprécier^^

Mais outre mon point de vue peu objectif je dois avouer que ce One Shot est vraiment excellent et les nouvelles transcrive vraiment très bien les émotions et ce que l’auteur veut faire passer en si peu de pages, c’est vraiment excellent même si j’ai un plus pour les nouvelles tristes (les trois premières) puis Desert. Bref Shibe Inu est vraiment une très belle oeuvre et un très bon receuil pour moi aussi :slight_smile:

Au Café Kichijoji 2:

Dans la continuité du premier tome. C’est plutôt rafraichissant, surtout grâce à Minagawa, Maki et Toku (et ses deux hamsters) ^^ Sans ces trois-là, je n’aimerais pas, vu que je trouve les autres persos assez fades.
Le dessin, bien qu’agréable, ne fait à mon goût pas assez ressortir les sentiments des personnages. Un travail plus élaboré sur les expressions aurait été sympa.
Et le dernier chapitre de ce tome était franchement laborieux :confused: Tout comme la narration de l’ensemble de l’oeuvre. Les gags ne sont pas toujours très bien amenés, c’est parfois un peu poussif.
J’hésite entre 11/20 et 12/20… à cause du faible nombre de pages (120 pages seulement :confused: ) ce sera un petit 11/20.

Full Ahead ! Coco 1 à 7:

Avec pour sujet de base les pirates, il est sûr que ce manga est souvent comparé à One piece. A tort, vu que les deux oeuvres n’ont pas grand chose en commun. Full Ahead ! Coco est beaucoup plus axé sur le monde de la piraterie, avec batailles, chasses au trésor, etc…
J’avoue que j’ai eu énormément de mal à terminer le premier volume. Mais petit à petit, je me suis laissé entraîner dans une histoire plutôt sympathique. On découvre peu à peu une belle palette de personnages qui révèlent leurs secrets lentement… peut-être trop lentement d’ailleurs, car au final, on ne sait toujours pas grand chose des différents personnages après 7 volumes. On a juste quelques bribes du passé de certains persos (j’ai hâte d’en savoir plus sur Dead :slight_smile:). La série faisant 30 tomes, l’auteur devrait largement avoir le temps de développer tout ça, en espérant justement que la longueur de son manga ne devienne pas une lacune. Ca pourrait devenir très répétitif…
J’aime bien le coup de crayon précis et dynamique de l’auteur, et le chara design colle bien au monde de la piraterie :slight_smile:
Le monde qu’a créé le mangaka me semble cohérent, les monstres ainsi que les différentes îles ont tous des particularités. Seul bémol: les méthatériums. Je ne suis pour le moment pas fan de l’incursion de ces animaux fantastiques dans la série, mais je dois dire que je trouve le concept très intéressant. A voir par la suite.
En bref, Full Ahead ! Coco est plutôt une bonne surprise pour moi, un petit divertissement sympathique qui, je l’espère, ne s’essoufflera pas.

14/20

Reiko the zombie shop 1 à 6:

Une bonne petite série :slight_smile: Le côté gore est ici vraiment sympa, souvent détaillé et crade, mais aussi amusant dans la façon qu’a l’auteur de représenter les choses :slight_smile: J’aime beaucoup les touches d’humour macabre du mangaka: les dessins (comme dit juste avant), les morts idiotes (genre le créateur du robot à tout faire dans le tome 4 ^^), le fait que les cadavres soient considérés comme de la chair juste bonne à être envoyée au combat, certaines répliques, et la personnalité de Reiko (ne pense qu’a l’argent qu’elle peut se faire, sacrifie ses amies, etc… dommage qu’elle perde petit à petit cet aspect qui faisait d’elle le parfait anti-héros). Les clins d’oeil sont bien sympa aussi, ainsi que le regard cynique qu’a parfois le mangaka sur la société (toujours ce fameux robot à tout faire qui pète un câble dans le tome 4… décidément, j’ai beaucoup aimé l’absurdité et le côté satirique de ce chapitre).
Le dessin est parfois irrégulier et la qualité des histoires est assez variable, mais bon, mon intérêt pour ce manga grandit petit à petit, en même temps que la poitrine de Yurikawa :mrgreen:

15/20

il y a bien longtemps que j’avais rien lu…
plus envie, un passage à vide, là je me suis un peu « forcé » à lire pour ne pas prendre trop de retard, et en fait c’est avec plaisir que je me suis plongé dans ce merveilleux univers qu’est celui des mangas.

yureka vol.26 : les complots, aliiances, et traîtrises sont une fois de plus bien présentes dans ce volume.
ajoutez à ça un lotto qu’on retrouve -enfin- identique à ses 1ère apparitions (au niveau caractère et réactions), un dessin toujours aussi agréable, des combats à foison, et on obtient un très bon manhwa qui a eu un gros passage à vide pendant plusieurs volumes mais qui est bien remonté à un très bon niveau sur les derniers volumes parus.
seuls points noirs : le rythme de parution, bien trop lent, et la faible présence de yureka, alors que la relation qu’elle avait avec lotto au début était bien terrible à suivre, tout comme chacun de ses combats et la découverte de ses capacités.

zetman vol.8 : inutile de s’attarder sur les dessins qui sont toujours aussi magnifiques, les scènes d’action toujours aussi bien faites et dynamiques, les demoiselles toujours aussi sexy, le chara-design toujours aussi accrocheur.
l’histoire quant à elle avance peu, même si de nouveaux rebondissements se préparent, des alliances se profilent, une nouvelle faction fait doucement son apparition et nous promet bien des péripéties.
toujours un régal.

gintama vol.8 : toujours aussi surpris par ce manga.
un gros bordel organisé depuis le début de la série, aucun fil conducteur, et pourtant toujours aussi accrocheur.
ce manga possède un « je-ne-sais-quoi » qui fait qu’une fois qu’on a plongé le nez dedans, on se laisse envahir par l’univers, porté par des personnages tous aussi fous les uns que les autres, mais oh combien charismatiques malgré tout.
à signaler une chose assez rare dans cette série : en début de volume, plusieurs chapitres forment une seule et même histoire qui tourne autour de kagura et des relations qu’elle a tissé avec notre fine équipe.
à signaler également que le dernier chapitre nous laisse sur notre faim et laisse présager également d’une courte histoire sur plusieurs chapitres, histoire qui s’annonce déjà homérique, y a qu’à voir la gueule des ninjas et leur entraînement.
ajoutez à cela quelques bonnes crises de rire, et vous obtenez un ovni dans le paysage manga actuel.

mär oméga vol.2 : je m’attarde pas dessus, car à part l’apparition et le design des nouvelles formes de babbo, pour moi il n’y a vraiment pas grand-chose d’intéressant dans ce volume.
le dessin est certes sympathique, revoir certains personnages de la 1ère série aussi, mais bon…
je maintiens que cette série est d’un niveau inférieur à l’originale, ça se sent, et heureusement qu’il n’y a que 4 volumes .

mxzero vol.4 : encore et toujours des quiproquos (moi qui ait horreur de ce genre d’artifice), mais malgré tout ce manga arrive à conserver son capital sympathie grâce à une bonne petite ambiance, des dessins toujours aussi agréables, et l’arrivée d’un nouveau personnage (lucy) apporte déjà un peu de renouveau bienvenu.
sauf que le niveau de taiga en magie n’augmente pas du tout, mais alors pas du tout, qu’il ne sert pas du tout de sa magic plate dans ce volume 4, et qu’à priori la série prend au volume 10 ou 11 (voir news associée dans « actualités japonaises »).
donc on a fait presque la moitié de la série, et en 4 volumes taiga est passé de « pas de magie du tout » à « magie à peine une fois par volume », le tout à un niveau super relatif.
donc faire passer taiga de mx0 à gold plate en 6 volumes, je suis curieux de voir comment l’auteur va s’en sortir, à moins que la gold plate ne soit pas l’objectif final de ce que l’auteur compte donner à taiga.

kurohime vol.10 : le 2ème cycle prend fin dans une ambiance bien moins torturée et bien moins émouvante que dans les volumes précédents, les combats étant très présents dans ce volume (y compris pour kurohime qui arrive à se servir de sa magie grâce à une pirouette de l’auteur à la fin du volume précédent) la mise au pied du mur pour kurohime concernant le choix entre « la puissance » et « l’amour » passe au second plan, ce que je trouve dommage.
en fin de volume, la 1ère partie (sur 2) d’une courte histoire nous racontant ce qu’il s’est directement passé après que kurohime ait été privée de ses pouvoirs par les dieux, plutôt sympa…
par contre, le 3ème cycle qui s’annonce me fait un peu peur (le retour dans le passé) car c’est souvent un exercice périlleux et rempli de quiproquos et problèmes du genre « faut que je fasse ça mais si je le fais ça chamboulera tout l’espace-temps, donc il faut que j’agisse mais sans rien changer à l’histoire, et bla bla bla », et personnellement je suis pas fan de ce genre de truc.
dans rave ça c’était pas trop mal passé car c’était assez court, et surtout cette partie se concluait en beauté sur une scène très triste et pleine d’émotion, en espérant qu’il en soit de même pour kurohime sur la durée, et que ça se finisse également en beauté (les retrouvailles avec zero ???).
bref, je suis impatient pour la suite, mais également inquiet.

d.gray-man vol.10 : enfin le retour d’allen dans la mélée !!! même s’il participe relativement peu…
l’histoire avance lentement, même si les derniers chapitres laissent présager une accélération dans les futurs volumes, les combats se succèdent et sont (et c’est bien dommage) un peu brouillons, le graphisme est toujours aussi somptueux, et je ne peux m’empêcher de penser que la fin de la série est proche.
2 petite questions malgré tout :
-ou est passé timcanpy ?
-en fin de volume, on apprend la mort d’un de nos combattants, mais est-ce que ce sera une vraie mort, ou une fausse annonce comme trop souvent dans les mangas ? (je ne souhaite la mort d’aucun personnage en particulier, mais la mort de certains protagonistes au combat permettrait de rendre les combats plus « réalistes », au lieu d’avoir tout le monde qui s’en sort tout le temps, et je parle pas de d.gray-man en particulier, mais des mangas en général).
à suivre dans le volume 11…

tensai familly compagny 2: chouette manga le tome deux parle essentiellement da la mère du héros qui a donné sa démition,le héros quand a lui veut toujours aller au USA mais petit a petit il decouvre qu’il n’y a pas que ça qui compte

Peace maker kurogan 3: le dessin est toujours aussi beau et l’histoire aussi palpitante de gros rebondissement m’a fait vibrer durant toutes la lecture de ce tome
j’attend le suivant avec impatience

Ha mon ptit okita tu me manque déjà :wink:

J’avoue que peace maker est vraiment bien je n’en suis qu’au premier mais j’achèterais très bientôt la suite!

Si t’as commencé par Keishicho 24 tu risques d’être déçu par tous les autres parce qu’il paraît que c’est son meilleur.

Genshiken 5 : Un excellent tome, peut être même le meilleur des 5 parus en France à ce jour.
Un tome charnière, qui apporte un vent de fraîcheur plus que bienvenu !
Plusieurs choses sont à l’origine de cette nouveauté :
Pour la première fois depuis le premier volume, Sasahara endosse enfin le rôle de personnage principal, devenant le deuxième président du Genshiken. Grâce à ce statut inédit, c’est un nouveau Sasahara que l’on découvre, presque charismatique, qui prend son courage à deux mains et fait face à toutes les tâches qui incombent à sa position.
Ensuite, les deux nouveaux membres apparus depuis la fin du 4ème tome prennent aussi plus d’importance. Surtout Ogiué, qui déteste le Yaoï, au grand dam d’Ohno, qui décide de l’initier coûte que coûte au style.
Dans la seconde partie du volume, tous les membres s’activent pour produire un fanzine qui sera présenté dans un stand au Comifest, homologue japonais de la Japan Expo, mais en beaucoup mieux. Au programme, une bonne dose de rire et de fraîcheur !
Au bout de 5 tomes, Genshiken continue de nous surprendre et de nous divertir, en se renouvelant au bon moment. Chapeau bas au mangaka !

Note : 18/20

Manhole 1 : Dernière œuvre en date de Tetsuya Tsutsui (si l’on excepte la nouvelle « Collector » disponible depuis décembre sur le site internet de Ki-oon), Manhole est un thriller captivant, qui soutient parfaitement la comparaison avec Duds Hunt et Reset, les deux premiers mangas de l’auteur, qui avaient déjà placé la barre très haute.
Et pourtant, le spectre de l’échec menaçait fortement la série. Alors que Duds Hunt et Reset se ressemblaient assez (ayant pour thématique les dangers que représente Internet), Manhole diffère de ses prédécesseurs sur de nombreux points.
D’abord, Duds Hunt et Reset sont tous deux des One Shots alors que pour Manhole Tsutsui s’adonne à une exercice auquel il ne s’était jamais essayé auparavant, développant son récit sur 3 tomes.
Enfin, Manhole s’éloigne du domaine de prédilection de l’auteur, délaissant le « virtuel » pour s’intéresser aux dangers biologiques (ou plus exactement parasitologiques -merci à Blacksheep pour ces précisions-).
Et contre toute attente, ces deux côtés novateurs font toute la force du manga.
En effet, on reprochait à Duds Hunt et Reset de ne pas être assez aboutis et d’avoir une fin trop précipitée. Avec Manhole, Tsutsui a retenu la leçon et prend bien le temps de poser les bases de son scénario et de définir le cadre spatio-temporel du récit. Cela permet au lecteur de s’immerger totalement dans le sombre univers de ce fabuleux manga.
Effectivement, Manhole puise sa force scénaristique dans son atmosphère froide et glauque, la patte graphique du mangaka illustrant avec un réalisme saisissant le gore et le répulsant.
C’est la plus grande réussite du titre : dès le premier tome, l’ambiance angoissante de Manhole nous fait froid dans le dos, perturbant le lecteur jusqu’à lui donner l’impression d’être sous la menace biologique à touts moments, d’autant plus qu’à l’instar de celui d’Emerging, le scénario de Manhole se base sur des maladies réelles (la filariose existe, même si ses symptômes sont moins graves dans la réalité).
Une immersion totale en aucun cas altérée par l’édition irréprochable de Ki-oon. Le papier est souple et ferme, l’impression est impeccable. Et malgré une lecture attentive, je n’ai décelé aucune faute d’orthographe ou de syntaxe.
En bref, le jeune éditeur a été parfaitement inspiré lorsqu’il a décider de miser gros sur cet auteur de génie qu’est Tsutsui. Manhole est un policier haletant de suspens et d’angoisse, dont une adaptation animée serait, à mon avis, bienvenue.

Note : 17/20

Rave Tomes 12 à 31

En fait, je ne me souviens plus si mon précédent message sur rave allait jusqu’au 12 ou jusqu’au 14, bref c’est pas grave
Ce que je garde de Rave en tout cas de la deuxième partie de ma lecture, c’est vraiment la fin, on va dire les 6/8 derniers tomes vraiment excellents ! Globalement j’ai vraiment apprécié cette série, il y a eu quelques passages mou, mais je pense qu’il n’y a pas un manga en autant de volumes ou cela ne soit pas le cas : il y avait cette partie sur le vaisseau casino qui durait un tome ou on sentait que l’auteur cherchait comment faire la suite, il y a le moment du concours de danse encore que celui-ci passe pas mal et est au moins plus original qu’un tournoi de baston, le gang des grossfess, j’ai pas accroché du tout, mais heureusement ils ne sont pas revenus sur le devant de la scene depuis un moment deja.
Bref, énormément de personnages, tous sont tres attachants, on prend vraiment plaisir à tous les retrouver , même celui qui dit « poyo » tout le temps, et pourtant celui-la au debut , j’avais peur qu’il me fatigue vite !
On voyage aussi beaucoup, pas mal d’humour, de détente, bref, je pense que c’est du tres bon shonen qui me reconcilie avec le genre et qui , alors que je ne l’ai jamais lu, me fait penser que les autres pirates la, me plairaient beaucoup !
En tout cas, j’attends la fin avec impatience, ainsi que la nouvelle série de l’auteur qui est enfin annoncé en France

Coq de Combat Tomes 01 à 19

Un bon manga sur les arts martiaux, finalement c’est quoi ? tout simplement un manga où à la fin de chaque tome, on ne peut s’empêcher de lire la suite, et où à la fin, on se dit " demain, je fais des pompes tous les matins, et je me mets au karaté " ! Comment ? euh, non je l’ai pas fait … la flegme, puis j’étais en vacances quoi …
Alors oui, c’est violent, gore, immoral mais finalement pas autant que l’on pourrait croire, puisque le Karaté est à l’origine un art pour tuer et pas seulement se défendre, et qu’il était commun pour les grands maitres de provoquer des duels dans les rues avec les bandits de grand chemin
On note clairement que ce manga n’aurait pas du durer aussi longtemps, puisque à la fin du combat le plus important qui je pense devait être la fin prévue et qui doit quand meme durer trois tomes ( un peu long pour moi ca ) , on a un nouveau combat « illégal » entre les deux mêmes personnages ( la, on peut dire que je ne spoile pas du tout, je reste tres vague ) , partie un peu redondante, meme si finalement, il pourrait s’agir de la vrai fin initiale de l’œuvre, une nouvelle histoire quand le « hero » ( ou l’anti-héro ) part découvrir un autre art ( une excellente partie, trop courte, et dans laquelle on aurait aimé que la disciple reste en vie et s’enfuit avec notre vilain garcon , pour enfin arriver sur une nouvelle histoire vraiment originale dans laquelle pour l’instant Ryô n’est pas encore apparu ou presque. Le nouveau personnage principal est un danseur célébre qui un soir regarde le fameux combat et se sent appelé par Ryô et part à sa recherche afin de savoir qui il est, et tombe fasciné dans le monde des arts martiaux. Malgré sa constitution, il apparait qu’il a un don car il arrive à reproduire immédiatement tous les coups qu’il reçoit.
Le combat entre celui-ci et Ryo commence donc petit à petit à s’organiser !

Homunculus Tomes 01 à 08

J’ai acheté cette série d’un coup, il n’y a pas trop trop longtemps, persuadé qu’elle devait faire partie de ma collection. J’aurais du me renseigner avant … Quelle deception, j’aurais du mettre l’argent dans autre chose …
Pourtant, j’ai vraiment accroché sur les trois premiers tomes, cet homme qui vit dans sa voiture, qui est il, que fait il la , pourquoi et comment a t’il encore une voiture dont il peut payer l’essence, est-ce un sdf ou non ? Et que lui veut cet etudiant en médecine dont le look est pour le moins ravageur …
L’apparition des homuncules est aussi tres interessante, tres originale, de même que son premier « combat » pour supprimer l’un d’eux, avec le Yakuza. Mais à partir de l’etudiante qui apparait au depart sous forme de sable , la j’ai laché prise, trois tomes la dessus, on a l’impression de pas avancer , pour une conclusion que je trouve beaucoup moins fine qu’avec le yakuza Ok, la jeune fille elle se sent vivante et se sent exister gràce à son sang, et le fait d’en gouter la maintient puis la sauve, c’est la preuve qu’elle existe, ok , c’est freudien, mais de la à faire trois tomes …… trois tomes de délires qui m’ont un peu rappelé Ultra Heaven, et c’est pas un compliment …
Bref, nous voila déja au tome 07 puis au tome 08 avec l’analyse de l’homunculus de l’etudiant en médecine … Oui, et alors ?
En fait rien, ce doit être top subtil pour moi, tout cela …

Pareil, Homunculus m’a énormément déçu: un excellent début, mais après je trouve que ça devient vraiment malsain, il y a pas besoin d’expliquer la psychologie des personnages en passant par (attention, ceci peut choquer les âmes sensibles, vous êtes prévenu(e)s :confused: ) le gars qui se plaît à gouter son sperme, à traiter les femmes comme de la merde…
Bref, l’auteur est parti dans un délire perso, c’est franchement dommage, d’autant que les graphismes étaient sympas…

Full Metal Alchemist tomes 1 à 7 : excellent début!!! un très bon shonen bien parti pour l’instant, les sentiments sont là, et l’auteure ne fait pas dans la dentelle. Certains passages peuvent assez poignants, se rapprochant d’un seinen, bref, un shonen vraiment original, le tout servi par la célèbre formule de Lavoisier « rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » (mon côté chimiste aime :smiley: ). En bref, j’attends impatiemment de lire le tome 8, et conseille cette série a tot ceux qui veulent sortir des « shonen classiques » (si vous ne l’avez pas encore commencé, je sais que je m’y prend tard :stuck_out_tongue: )

Fullmetal alchemist 16: très bon tome même si j’ai l’impression que l’on tourne en rond, un nouveau voyage pour les frères elric commence vers le nord ou ils vont rencontrer la soeur ainé d’armstrong et son tempérament bouillant ainsi que l’arrivé d’un nouvel homuculus le prochain tome promet d’être plus mouvementé que le numero 15 et 16

16/20

akari 3: la série continue sa route et de nouveau rebondissement sème le trouble chez notre jeune héroïne la série reste sur un même pieds et on ne s’ennuie pas, de nouveau perso arrive dans l’histoire et l’on voit pour la premiere fois le père de Minato

17/20

hanayori dango 30: tsukushi est sous le choc domyoji la envoyé baladée a ce moment arrive rui, dans ce tome de nouveaux rebondissements, de nouvelles questions et encore plein de coeur qui paplpitte a la fin car l’auteur a l’art et la manière de nous laissé avec ce gout de trop peu qui nous fait tenir tant bien que mal jusqu’au prochain tome, alors pour cette série et ce tome en particulier je mets

18/20

brothers 3: avant dernier tome pour cette série du dessinateur de MPD psycho et Madara alors là je me pose la question de savoir si les trois protagonistes vous continuer a vivre ensemble comme si de rien était ou si l’un des deux frère allait ce decider a lui dire ce qu’il ressent ou bien alors si ils allaient enfin revoir leur mère tant de supposition qui trouveront réponse dans le tome 4 le dernier de cette série qui a sut retenir mon attention grace au sujet qui pour moi est un sujet sensible comme il y en a beaucoup ce que j’ai aimé dans cette série c’est qu’on ne tombe pas dans le genre de forbbiden love ou bien secret sweetheart ici il n’y a que des interogations sans jamais passer a l’acte il n’y a pas de scénario qui tourne en rond on va au plus profond du sujet pour en ressortir avec une histoire humain et sensible d’ado qui ce sentent paumé et qui malgré tout cherchent des réponses a cette amours qu’il eprouvent pour leur soeur

16/20

En ce qui concerne les dernières nouvelles séries sorties (quelques-unes, avec un peu de retard :blush: )

Blood+ 1 : Tout d’abord, n’ayant pas vu l’anime (à part les OAV de Blood the last vampire), je ne m’aventurerais pas à comparer avec le manga . Et c’est aussi le premier manga traitant de vampires que je lis, comme ça, aucune comparaison ou convergence vers un autre titre possible .
Voilà pour le blabla 3615jracontemavie .
Concernant l’édition de glénat, elle est de bonne facture, mais pas de quoi s’extasier non plus, mis à part deux pages couleurs au début, le papier me paraît un poil trop léger (tournez pas trop vite les pages, hein) . C’est juste une petite précision .
Ce premier tome, nous présente Saya, jeune lycéenne amnésique (elle ne se rappelle d’aucun évènement qui date de plus d’un an), son environnement familial et aussi nous narre une légère partie de son passé . En effet, quand je dis légère, c’est que notre héroîne va vite se retrouver confrontée à des évènements plutôt troublants pour une lycéenne (rencontre avec des mouses, quel terme étrange…), peut-être un chouia trop vite, car à peine on apprend à connaître son présent, qu’on passe aussitôt à l’action . Mais rien de bien génant, on se repère assez vite . Les dessins sont sympas, rien de transcendant; néanmoins, j’ai eu un peu de mal à distinguer ce qu’on voyait exactement lors des scènes de combats . Pareil que pour la vitesse de narration, on s’accoutume .
Ce premier tome soulève de nombreuses questions, malgré le fait que quelques bribes du passé de Saya nous soient dévoilées, ce qui laisse présager une suite des plus intéressantes, en espérant que le plaisir de lecture soit exponentiel .
Oui, j’ai bien aimé ce premier tome, c’est même la nouvelle série (dans les dernières sorties récemment) que j’ai essayé qui m’a le plus accroché, et qui me donne envie de découvrir la suite .
Je recommande à tous ceux qui sont un tant soit peu intéressés par l’univers, cette série mérite d’être découverte .

Anne Freaks 1 : Aïe, ça fait mal . Acheter les yeux fermès, ca ne réussit pas toujours . Ayant beaucoup aimé Détenu042 (et je ne suis pas la seule), c’est tout naturellement que j’ai voulu acquérir cette nouvelle série, et je n’ai pas été déçue du voyage! (dans le mauvais sens du terme aussi :confused: )
Sur le rabat de couverture, l’auteure, dans un petit mot, nous demande de faire preuve d’indulgence vis-à-vis de cette série, faisant ses premiers pas dans un univers plus thrilleresque . C’est vrai que le synopsis m’a donné envie, et puis je me suis dis, même si le détenu042 faisait un peu marchmallow, l’auteure arrivait à donner du charme à sa série avec une ambiance particulière (difficile à décrire quand on a aimé) .
Mais le problème dans Anne Freaks, mis à part le plaisir de retrouver ce style de dessin fin et détaillé, je n’arrive pas du tout à accrocher . C’est justement là qu’il y a un hic : le dessin ne rend pas assez bien le côté mauvais des persos, mais aurais plus tendance à les humaniser . Même si les décors sont plutôt froids, les persos ne semblent pas convenir à leurs rôles; le héros (j’ai oublié son nom), d’une banalité coutumière, enterre sa mère; mais il fait ça d’une facon si désinvolte, que ca peine vraiment à convaincre . Pareil pour la fille et l’autre garçon qu’il rencontre par la suite, ils ne paraissent pas assez « dénués d’humanité » alors qu’ils ont commis des actes odieux . Ca ne colle pas avec leurs apparences, leurs comportements, et leurs dialogues .
Je suis décue de ce premier tome, mais peut-être j’essaierais de trouver la suite en occasion (seulement), afin de voir si la série évolue (ca va être difficile en 4 tomes, mais bon)

Witch Hunter 1 : Allez hop, un peu d’univers de magie/sorcellerie . Trouvé d’occasion pas longtemps après sa sortie (c’est qu’il a du plaire à son acheteur! :mrgreen: ), je me suis laissée tenter . Oui, oui, je me laisses facilement tenter (enfin quand le portefeuille le permet) . Je ne vais pas revenir sur l’histoire, le résumé de la fiche le fait très bien .
Je commence par le plus agréable : les dessins . Je les ai trouvés bons, les persos sont bien travaillés, le décor aussi … après ça fait un moment que je l’ai lu, donc je ne m’étalerai pas sur le sujet, de peur de me ramasser .
Côté scénario : n’ayant jamais lu de manga de sorcières, c’est tout nouveau tout beau, mais ça ne m’a pas plus accroché que la moyenne . Alors que je n’ai jamais lu ce genre d’histoire, j’ai comme trouvé un air de déjà vu . C’est sûrement dû au style narratif, et puis à la relation soeur sorcière et frère chasseur, que je n’ai pas trouvé assez convaincant . Sympa, sans plus, j’essaierais peut-être la suite d’occasion si jamais je tombe dessus .
A part ceux qui sont humoristiques, j’ai vraiment du mal avec les shonens :confused: . C’est ça aussi quand on l’habitude des seinens, surtout après avoir lu du monster/20th CB/Akira, le reste paraît bien fade…

Alive, last evolution 1 : (A ne pas confondre avec Alive de Tsutomu Takahashi, c’est pour cela que je précise le last evolution) . Trouvé en même temps que WH (donc d’occasion, lui aussi dans un temps relativement court après sa parution, donc on peut se poser des questions), celui-ci m’a plus accroché que le précédent cité . L’histoire, plutôt étrange et inquiétante, méritait un détour, et j’étais assez contente de le trouver d’occasion (j’hésitais à le prendre neuf) . Cette série de suicides et de meurtrescommandités par on ne sait quelle puissance cosmique, nous plonge dans un univers remplis de doutes et de questions (qu’est-ce qui se passe, qui est derrière tout ça, et surtout pourquoi) . Partant d’un endroit commun remplis de gens communs, l’évolution vers une histoire dérangeante est assez accrocheur, le tout servi par un dessin simpliste mais assez stylé et très sympa . Par rapport à Anne Freaks, même si l’ami du héros cause des meurtres sans le vouloir vraiment, les héros, paraissent plus convaincants et désorientés . Qui ne le serait pas, franchement .
Donc, pour résumer, j’ai été agréablement surprise par cette lecture, je me pencherais sûrement sur la suite . Mais Blood+ passera avant :stuck_out_tongue:

Love & Collage 1 et 2: Comme j’ai beaucoup aimé Midori Days, je me suis dit « tiens pourquoi pas essayer celui-là, l’histoire peut être marrante » . Et j’ai bien fait d’utiliser le mot « peut » . Pour moi, ce serait même plus du style « peuh! » . Et j’ai quand même acheter le deuxième . L’histoire d’un garçon d’un garçon, qui se retrouve entourée des filles qui chacune ont un partie du corps particulière que le héros adore (quelle chance, quand même! :unamused: ), même si l’originalité est là, le côté perversion (encore plus accentué dans le deuxième tome), ne me plaît guère . Bon, c’est peut-être plus destiné à un public masculin . C’est sûr qu’à côté, Midori, ca fait plus mixte .
Si on enlève le côté pervers (même si le héros, sous ses airs de pervers, possède un bon fond … :baille:), il ne reste pas grand chose, ormis le ton humoristique des autres personnages (remarquez, j’aime beaucoup la fille ninja à la voix d’or ^^), pas assez présent, c’est dommage .
Oh, il y a aussi des scènes un peu plus tristes (c’est vrai quoi, faut varier un peu quand même!) .
Enfin voilà, un peu décue par ce titre; peut-être le continuerais-je d’occasion, je n’en sais trop rien … (en espérant que le côté humoristique des héroïnes s’implique un peu plus) .