Fini les 2 TPB de Gillis et j ai retrouve ce qu en a dit Photonik…
Les moments plus faibles où je me suis dit que tout « était trop serieux, le mal des 80-90’s » mais qui s estompe vite devant la suite que propose Gillis et qui avait besoin de ces numeros pour faire avancer les pions…
Vraiment un bon run…
J aime bien Warner mais je pense quand même qu avec una utre partie graphique, on se souviendrait mieux de ce run.
La maison du Midwest de l enfance de Strange on la retrouvera dans le court run de Dematteis à la fin de sorcerer supreme!
Tant que j’y suis, je viens polluer le trid : si certains d’entre-vous sont à Angoulème dimanche prochain 31 janvier à 11H00, je donne une conférence sur « Dr. Strange et les magiciens des comics », c’est au conservatoire Georges Brassens (à quelques encablures de la bulle New York)
Cool, bien content que ça t’ait plu…
Tiens, ça ne m’étonne pas que De Matteis ait rebondi sur des idées de Gillis : les deux compères ont co-écrit les Défenseurs, un temps.
Je vois ce que tu veux dire pour ce feeling un brin « cafardeux » typique de la fin des années 80 ; c’est vrai que le début du run a vraiment cette tonalité. Mais comme tu le signales, Gillis utilise en fait cette mise en place pour « réenchanter » le titre.
Je serais moins sévère que toi sur la partie graphique mais tu n’en as pas moins raison : avec un Michael Golden par exemple, on tenait un classique absolu.
Parce qu’il est question d’entités d’origine extra-dimensionnelle de repos sur terre ou ailleurs : ça relève de la SF, même si l’écriture de Lovecraft tire le tout ailleurs.
Pour Barry Windsor-Smith, j’aurais plutôt misé sur une mutation plus précoce. Certains épisodes qu’il a signé pour « Avengers » le voyait déjà délaisser la très forte empreinte kirbyesque ; ça ressemblait déjà plus à du Giffen d’aujourd’hui non plus.
Les débuts du Doc Strange dans Marvel Premier, également signés Windsor-Smith, à peu près contemporains de ses débuts sur « Conan », étaient également dans la veine déjà « classique » du dessinateur.
j’ai le run de bws sur conan. Je connais pas son trait avant.
Ce qui est sur, c’est qu’entre les premiers épisodes de conan et ceux autours du 20 (peut être meme avant) au moment de son départ, ça n’a quasi plus rien à voir
Mais de rien.
Pour le temps, pas tant que ça en fait ; c’est surtout lire qui prend du temps. La documentation, ça va vite, et l’écriture, c’est un premier jet, sauf pour l’orthographe.
Pour les épisodes de Englehart et Brunner, entre les « Marvel Masterworks », les « Essential » et les TPB comme « A Separate Reality », tout ça est compilé, ouais.
Oui, c’est un bon exemple du Windsor-Smith première manière. A l’époque de « Conan » et Marvel Premiere, il n’en est déjà plus là il me semble.
SI je préfère bien sûr le Windsor-Smith plus fin et « classique », je ne déteste pas son style « Kirby-like » ; c’était du fanboyisme total à la base, mais le dessinateur en a tiré des effets intéressants.
Oui, la bible c’est de la SF, bien sûr. Que veux-tu que ce soit d’autre ?
Borgès disait bien : « La religion est une branche de la littérature fantastique ». Pas mieux.
Ah mais je ne nie pas que son style ait évolué durant sa prestation sur « Conan », ta démonstration est très parlante. Je disais juste que son style d’avant était ENCORE plus kyrbien. Si tu zieutes ses X-Men de la fin des sixties…