Tellement crédible qu’elle est le sujet d’une émission de M Bobine…en 2018
Et qualifier They Shall Not Grow Old de broutille, franchement. Je suis pas fan de ce doc mais j’aurais beaucoup de mal à décrire ce travail titanesque de broutille.
Les scenes d actions sont en effet efficaces mais difficile de savoir ce qui est du à eux vu le mode de production des films marvel.
Rien de ce qu ils ont fait en dehors du mcu ne vaut le coup, de ce que j ai pu voir.
Moi, je ne connais pas ce qu’ils ont fait avant. J’ai souvent vu leur nom associé à Community, mais comme je n’ai jamais vu un seul épisode (et que, à vue de nez, ça ne m’intéresse pas), je n’ai pas d’opinion. Je dirais même que, en apprenant qu’ils allaient faire un Captain America alors qu’ils venaient d’une sitcom, j’ai eu un a priori négatif.
Et de ce qu’ils ont fait après, je n’ai vu que le premier Tyler Rake, où ils sont scénaristes et producteurs, mais pas réalisateurs.
Donc en soi, je dirais que j’ai vu leurs quatre films pour ce qu’ils sont, sans a priori positif.
En même temps, en quatre films, ils ont démontré qu’ils savent gérer les grosses machines sans se faire écraser (contrairement à un Kenneth Branagh ou à un Alan Taylor, ou d’autres). Ce qui n’est pas le cas de tous. C’est quand même pas mal, comme bilan. Et comme CV.
Jim
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Et puis bon, c’est le résultat qui compte. S’ils sont bien entourés pour CES films et qu’ils managent bien, tant que le résultat est là, qu’importe ce qu’ils ont fait avant et après.
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Leur participation (pré-Winter Soldier) à plusieurs séries tv tout de même (Arrested Development ou encore certains épisodes portés sur l’action de Community, aka le rituel des épisodes « paintball »).
Et la serie sur prime ripp off du shield, toute bidon, ce n est pas eux ?
Un a priori souvent partagé à l’époque et aujourd’hui.
Et pourtant voila deux sitcom qui sortent du lot de par leurs réalisations (dont les Russo sont partie prenante donc) et leurs capacités à construire des épisodes unitaires d’une efficacité à tout épreuve dont le deuxième effet kiss-cool est de s’inclure subliment dans un tout (la saison en soi, voire la série en entier).
Ce qui est très rare pour ce type de série (encore plus pour AR vu son époque) et qui font qu’elles sortent toutes les deux du lots
Et Darkman ? Pourquoi personne ne parle jamais de Darkman ? 
Tori.
Lui, j’aimerais bien le revoir.
Comme Dick Tracy que je n’ai vu qu’une fois, au cinéma.
c’était pas un film ?
Tiens, on parlait des opinions qui changent avec le temps (et la maturité, et la culture, et tout ça…). Voilà un bon exemple : Dick Tracy, je l’ai vu au cinéma à sa sortie, donc à vingt ans, et je n’ai pas aimé, j’ai trouvé ça long, maniéré… Alors qu’en fait, il me manquait les références : la connaissance du strip d’origine, que je ne connaissais à peu de choses près que de nom, mais aussi les références (par exemple à Hopper, dont le Nighthawks est clairement cité…) et tellement d’autres choses. Et puis je l’ai revu des années plus tard, et je l’ai nettement mieux apprécié, parce qu’entre-temps, j’avais lu quelques morceaux du strip, que j’avais découvert Hopper, que j’avais vu aussi d’autres films de Warren Beatty. Et le délire pop du cinéaste m’est apparu différemment.
Jim
C’est marrant… j’avais 11 ans et j’ai adoré.
Et j’y connaissais rien (bon, je lisais des strips, genre Guy L’Eclair, Mandrake, le Fantôme du Bengale, … mais pas de Tracy)
Ouais, je l’ai vu peut-être trop tard, j’aurais sans doute été davantage émerveillé par le déluge de couleurs pop si j’avais eu dix ans de moins.
Jim
Et les tronches.
Oui, ça ça m’amusait, d’essayer de reconnaître les acteurs sous les maquillages.
Jim
Il parle de Citadel.
Le chainon manquant entre les Evil Dead et les Spider-Man. Il y a même un plan recyclé de Darkman dans le premier Spider-Man, là où Darkman et Spider-Man 2 partagent des points communs via les figures tragiques Westlake et Octavius, de même que le caméo d’un John Landis masqué à l’hôpital (en compagnie de Jenny Agutter). Sans oublier le quasi-même décor final chez Darkman et Spider-Man 3.
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Peut être Raimi aurait dû copier sur ses vieux films, ca aurait plus plu à nemo
ah oui c’était super naze.
Les autres, je ne sais pas mais pour ma part je ne le cite pas car il représente, justement, un exception dans l’approche que j’expliquais. D’où son aspect peut-être à part dans sa filmo (ainsi que son échec)
C’est une autre caractéristique de son cinéma. Les deux trilogies pilier de sa filmographie sont quand même des films qui sont des variations d’une même histoire. Le plus flagran étant Evil Dead II.
A revoir, a réévaluer à l’aune de ce qui fut fait ensuite. Le « clone » du Batman de Burton le plus fascinant du lot en terme esthétique. Pas fan de certaines choses (Madonna, le cabotinage de Pacino) mais le reste c’est un vrai régal