T’y accèdes en cliquant sur les titres et une fois dedans si jamais ça fonctionne pas directement il faut tester en cliquant sur le « s25… » sous la video
Oui bien sur, c’est subjectif comme les Docteurs, mais j’adore la relation Ace/Docteur melé de chamaillerie et tendresse.
Oh merci beaucoup !!
Là aussi, je ne l’ai pas vu venir cet fin d’épisode.
Ha ben quand je disais qu’ils savaient ménager leur surprise sur cette saison
Le double final promet d’être épique
(Même si je pense que ce qu’on a vu en post générique cache autre chose)
Ah, je l’attendais, cet épisode sur l’Interstellar Song Contest (qui a pris le relais du concours de l’Eurovision, mais semble dans sa continuité, puisqu’on en utilise le même présentateur, qu’on cite Waterloo et Rise like a Phoenix, qu’il y a toujours le système de votes et, même, que le français est une des deux langues officielles de l’événement)…
Et il est plutôt sympa.
Il convoque le passé, que ce soit par son final ou par les flashes que le Doctor a (et Carol Ann Ford qui revient dans son rôle ! ).
Un petit bémol : les quelques personnes qui se retrouvent bloquées par les événements sont comme par hasard celles ayant les capacités pour résoudre les problèmes…
Ah, et le Docteur dit qu’il y a de la glace dans son cœur… Dans un seul, du coup ? Le gauche, le droit ?
Bon, et le coup de la fin, encore une bi-régénération ? Sérieusement ? Ça n’a pas l’air si exceptionnel, finalement…
Ah, et dans cet épisode, ce n’est pas le Docteur qui verse une larme…
Tori.
Très bon épisode ! The Interstellar Song Contest de Juno Dawson est le dernier chapitre avant la double intrigue finale et, si la scène « post générique » la prépare pleinement, l’essentiel de cette présente histoire m’a bien plu.
Déjà, la série prend bien cette copie assumée de l’Eurovision, et y intégrer une Belinda étonnamment mais efficacement à fond et un Docteur presque en retrait au début, c’est une bonne idée. Et l’épisode tape très fort et très vite, avec une attaque terroriste brutale au rendu visuel épatant, avec un fond déchirant mais compréhensible. Et ça s’emballe, et ça enchaîne les révélations mais aussi les bons moments, comme une Belinda en pleurs légitimes de terreur et d’isolement et surtout un Docteur plein de rage, de fureur et de vengeance. C’est bien fait, bien amené, bien réalisé, un peu « trop » mais ça correspond à ce Docteur avec toujours un trop-plein d’émotions.
La résolution est basique mais réjouissante, les sourires sont présents avec une chanson touchante dans son contenu et son message. Et la projection vers le double final est bien amené, avec dans l’ensemble une belle réalisation de Ben A. Williams.
Et… wow, les révélations/événements tant attendus arrivent ! Déjà, je dirais, car j’attendais ça à la fin. On a le retour de Susan avec l’actrice elle-même, ce qui est très cool et bien amené et surtout la révélation sur Mrs. Flood ! Et c’est très cool ! Même si je suis surpris par la soumission de Flood, « une » Rani, face à La Rani. Bon, je dois quand même dire que je n’ai pas été emballé par le Docteur qui survit en tirant des confetis, ou le fait que évidemment le couple vivant est doublement compétent pour tout faire, et cette biregeneration que je trouve toujours ridicule en concept.
Mais ça ne gâche pas mon plaisir… et ça me fait bien plaisir d’en avoir après cet épisode, qui m’emballe pour le sprint final !
Oui moi aussi, je suis un peu surpris/gêné par ça.
Pour le reste, je vois que tu as tiqué sur les mêmes passages que moi, et que, comme moi également, l’épisode t’a emballé.
Ah, et programmer cet épisode le jour de la finale de l’Eurovision… Un petit clin d’œil de plus !
Tori.
Je garde toujours une pièce sur le fait que Mrs Flood joue sur les théories des fans. Et que la bi-generation est en lien avec cette réalité ou la mavité à remplacé la gravité
Bienvenue au 803ème Concours de Chant Interstellaire !
Très bien pensé, ce gros clin d’oeil à l’Eurovision diffusé le jour même de l’événément. Avec des références amusantes comme la présence de Rylan Clark, qui a présenté le show en Angleterre, et qui est ici décongelé des siècles plus tard pour devenir un « immortel » sourire ultra-brite. L’épisode commence de façon légère, avec des sourires émerveillés et la célébration du côté kitsch/camp de ce genre de concours avant que la menace éclate. L’intrigue est rondement menée, allant jusqu’à réveiller un certain « côté obscur » du Docteur et le message est touchant, avec une note d’espoir lors de l’ultime prestation (c’est joli le rapprochement des peuples par la musique…même si ce n’est pas près d’arriver dans la réalité). Avant le grand final, certains rebondissements intriguent, comme la révélation sur Mrs Flood et la réapparition de personnages historiques de la série. On va donc enfin savoir ce qui s’est passé ce fameux 24 mai 2025…et ça sera justement le samedi 24 mai…^^
Par contre, faut vraiment etre au fait de qui sponsorise l’eurovision pour comprendre le sous texte politique du scenariste.
Oui, il y a beaucoup d’éléments qui peuvent échapper au spectateur lambda (encore plus si celui-ci n’est pas britannique, d’ailleurs).
Il y a aussi le symbole du coquelicot, qui est dans le Commonwealth l’équivalent du bleuet en France, et donc un symbole de la commémoration et de la solidarité envers les anciens combattants et les victimes de guerre (et leurs familles) ou d’actes de terrorisme…
Tori.
Ah, je suis pas au courant. Tu peux étayer ?
Poppy Honey = Moroccanoil et les controverses autour de la participation d’Israel au concours de l’Eurovision.
Tori.
Wow.
Voilà.
Résultat, je n’ai jamais suivi l’Eurovision de ma vie mais je comprends que Morccanoil à financé l’Eurovision ; Eurovision où Israël n’est pas représentée mais où Morrocanoil a perpétré des crimes sur le sol Israélien ?
(Je pourrais chercher sur internet mais je me dis que c’est plus sympa de lancer la discussion avec ceux qui ont déjà une forme de réponse ici).
Israël est représenté, ce qui fait polémique, en raison des offensives à Gaza (la Russie, par exemple, a été exclue).
Et Moroccanoil, en tant que sponsor principal de l’événement, aurait fait pression pour des actes de censure : les seuls drapeaux autorisés sont ceux de pays participants (et les artistes ne peuvent utiliser que celui du pays qu’ils représentent… Ce qui exclut de facto les drapeaux palestinien, ukrainien (sauf pour l’artiste d’Ukraine), régionaux ou LGBT)…
Je n’ai des informations que parcellaires, mais elles me suffisent pour comprendre que la situation est compliquée.
Tori.
Il me semble que la candidate israélienne de cette année est une rescapée du 7 octobre.
Merci pour la réponse.