ENCREUR, PLUS QU'UN MÉTIER

Non, je ne trouve pas. Au contraire, il reprend la situation (« je ne suis plus un super-héros, mais je peux aider ») et décrit une quête d’identité, une recherche de sa place dans le groupe, une place que les autres ne prennent pas le temps de lui accorder. Il passe donc par un creux de la vague qui l’aide à se recréer. J’ai bien aimé le fait qu’il ne sache pas quelle tenue adopter, celle d’un étranger fantomatique en trench-coat ou celle d’un ingénieur en bleu de travail (enfin, en rouge de travail…). Ça en disait long sur ses propres difficultés à se définir. C’est finalement assez moderne : un super-héros sans costume, qui se définit par sa fonction.

Jim