Ouais, mais il passe par une étape de reconstruction. Faire la paix, c’est bien. Trouver sa nouvelle place, c’est mieux.
Il ne pouvait pas refaire la même chose, suivre le même parcours (ce qu’Englehart a compris, ce que ses successeurs, à part Slott, ont ignoré : faire de lui un enseignant, c’était pas con du tout). Donc il revient dans la partie mais ne trouve pas sa place. Il se sent exclus. Mais il trouve une nouvelle place, une nouvelle définition de lui-même. Byrne en fait un chef, un héros pur jus : il « reconstruit » ce qui a déjà été reconstruit et casse le reste. Va comprendre.
C’est d’ailleurs assez étonnant de la part de Byrne, qui est quand même le créateur de deux personnages homosexuels précurseurs, Jean-Paul Beaubier et Maggie Sawyer : il est capable de façonner des personnages aussi attachants, mais pas capable de gérer le divorce de Clint et Bobbie.
(Ouais, j’aime pas trop ses WCA, même si j’aurais aimé lire son projet en entier.)