C’est ça que j’aimais bien dans cette version : il était fidèle à ce qui avait été posé au départ par Lee et Kirby, et repris par Stern, à savoir que c’est un bourgeois coincé qui a du mal à vivre en dehors de son cadre d’origine (c’est tellement cohérent : c’est quand il commence à grandir, donc à compenser sa petitesse et son apparente insignifiance, que les emmerdes arrivent), mais qu’il a trouvé sa voie en enseignant, donc en mentor.
Et dans Mighty Avengers, j’aimais bien ce que proposait Slott : un scientifique qui trouve plein de solutions, mais qui s’obstine dans ses quêtes personnelles, qui agit en parallèle du groupe.
Dans le sens d’aller au-delà. D’aller plus loin. De montrer une séparation effective, de décrire l’après.
Le divorce, l’un des gros tabous des comics. On peut faire mourir un prince héritier, mais divorcer…
Là encore, Pym est le bouc émissaire : le héros divorcé qui portera à jamais la faute d’avoir violé le tabou narratif.
Jim