Hahahahahahahaha
(pardon)
Oui, je sais. Mais moi, voir le ministre déambuler dans la boutique de Versailles, ça me ferait bien rire de voir la tête du Kabraire énervé en train d’essayer de lui vendre un Superman qu’il a commandé en 3 exemplaires.
J’ai potentiellement un futur conjoint présidentiel.
Attends … j’essaie de voir ce que ça veut dire, ça.
j’ai le conjoint d’un candidat à la présidentielle dans mes clients.
Ah ok … je comprends mieux.
Punaise, après l’eau des rois, la Kabrairie du président. C’est beau.
Non pourquoi, c’est un mail envoyé à tous les professionnel du livre, le ministère doit surement recevoir le mail aussi.
En fait, souvent, dans un courrier ou un mail, quand tu veux mettre un peu de poids, tu mets qui est aussi destinataire du courrier.
Après, je n’affirme pas, loin de là.
Tu vas te marier à un président ?
Tes clients sont consentants ?
Tori.
Ahahahahahahahahahah … tu m’as fait ma soirée. Y a bien quelque chose qui me gênait dans ces formulation, mais je ne mettais pas le doigt dessus, si je peux me permettre.
Disons que « parmi » serait mieux que « dans ».
Tori.
Hehe
C’est une subtilité que j’ignorais.
Bon, admettons que je fasse une dédicace de mon album. Le libraire en commande vingt. Je rappelle que l’album a presque deux ans, donc c’est du réassort. On en vend dix. Le libraire doit pouvoir retourner les dix exemplaires qui restent, non ?
Ah oui, oui, je comprends.
D’où, pensais-je, une action concertée, via un collectif, ou un syndicat, ou ouatéveur.
Je pense que tu en dis une : MDS est une filiale de Média Participations, qui certes possède les entreprises que tu cites. Donc ouais, difficile de quitter le navire. Mais je pensais plutôt à Bragelonne, par exemple : ils peuvent ne pas reconduire leur contrat, quand ce dernier arrive à échéance. Enfin, je pense.
Jim
Pour une séance de dédicaces, le libraire est, en général, en contact avec l’éditeur et ils se mettent d’accord au préalable des modalités. C’est un cas spécial.
Le principe (dans le cas général : il y a des exceptions, apparemment : c’est peut-être le fait d’être « super-libraire » auprès de MDS, dans le cas de Kab), pour le réassort, c’est que les retours ne sont possibles que pour les défectueux ou lors des arrêts de commercialisation.
Il y a parfois des exceptions temporaires, lors d’opérations commerciales, par exemple (qui peuvent être, en quelque sorte, un « office de réassort », une remise en vente).
Tori.
C’est dingue, ça, quand même.
Jim
C’est ce qui explique le gros démarrage de certains titres : les libraires en prennent beaucoup, en se disant qu’ils retourneront l’excédent, et commandent ensuite au compte-gouttes, pour être au plus près de leur besoin réel et limiter les risques.
Bon, après, il y a aussi des titres (ou des éditeurs) pour lesquels c’est de la vente ferme, y compris pour l’office.
Tori.
Ça nous a bien gonflé ce courrier aussi.
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Oui oui sans soucis.
Non ça marche pour tous à l’exception de Makassar, Harmonia Mundy et Belles Lettres soit les petits. Avec les gros type Hachette, UD, Interforum, MDS, il y a un accord non verbal et tacite qui permet de tout retourner (sauf si arrête de commercialisation ou album en vente ferme), ça permet de renouveler le fond de permettre à certaines série de l’intégré au profit d’autres qui ont un peu trop vieillit ou ne se vendent plus.
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Pour répondre à diverses choses:
MDS et Amazon, comme beaucoup, ne bosse quasi exclusivement avec du CDD ou de l’intérim sur plusieurs types d’activités donc autant vous dire que côté convention collective c’est la nébuleuse. Plusieurs se chevauchent et évidemment ça prend toujours les éléments les moins favorables.
Aussi des choses comme les pauses pipi ça rentre pas dans le cadre des conventions collectives.
Pas que pour MDS et pour l’aspect « mieux » payé mais les échos que j’ai eu c’est qu’Amazon, comme pour les stocks, avait surtout anticipait plus rapidement et fait une razzia dans les boites d’intérim en proposant des durées de contrat plus longue pour ne pas être démuni dans la période.
J’imagine que ce seuil de 3 pour la quantité doit correspondre à un seuil d’automatisation. Parce sinon pourquoi pas 2 ou 4 ou 5.
Enfin j’imagine. Peut-être que c’est juste un chiffre fixé au doigt mouillé en fait.
Alors oui ceux qui ont la place pour stocker et l’envie de commander pour rien 2 exemplaires supplémentaires auront leurs commandes particulières. Nous on va devoir refuser des commandes.
Et il y a aussi qu’à la base MDS a continué à grandir sans rajouter de force de travail aussi bien matériel qu’humaine et qu’à un moment les journées ne font toujours que 24h.
Ouaip pour les retours.
Et nous y a que Belles Lettres qui nous demande d’envoyer au préalable la liste des titres que l’on retourne pour nous dire si c’est accepté