au niveau auquel tu pousses ? non. Au niveau qui me suffit oui et surtout ce sont des séries Character driver et non plot
.comme nous le sommes tous.
Donc, ce n’est pas grave parce que Namor n’a tué qu’une seule fois des milliards d’individus.
Ensuite, il a rejoint les X-Men. Mais comme Sinister, Apocalypse & co, ce sont des gens sympas et habitués aux massacres, ils pourront faire un scrabble ensemble.
« Namor, c’est à toi. Tu as quoi ? »
« G-É-N-O-C-I-D-E. »
« Joli. En plus, tu croises avec le O de S-H-O-A-H. »
« Merci. J’ai beaucoup travaillé pour en arriver là. »
« Et tu as fait quoi de notable ces derniers temps ? »
« J’ai tué des milliards d’individus. 6 ou 7… Vous savez, moi et les décimales… »
« Ah oui, quand même… »
« Ouais… en une minute, montre étanche en main. »
« Et toi, tu en es à combien, Sabretooth ? »
« Je vous emmerde, bandes de branleurs ! »
Non. Il ne fallait pas être à l’origine de ce dilemme.
Il fallait trouver une autre solution au lieu de dégrader tant de personnages. Au final, tous acceptent l’acte de Namor : Red, McCoy, Strange, Black Panther, Banner, Black Bolt, le roi du Wakanda…
Ou, pour le moins, ils l’ont laissé faire.
Il y a un terme pour ça : complicité.
Lis Ender’s Game et on en reparle.
…
L’honneur est sauf.
…
Dis, nemo, si tu avais vécu dans les années 40, que tu avais été pilote de l’US Air Force, tu aurais ce sentiment « d’honneur sauf » après avoir balancé une bombe sur Nagasaki ou Hiroshima ?
…
The necessary evil… c’est un concept d’enculés qui s’ignorent.
Il n’y a aucun honneur là-dedans.
Moi aussi. C’est l’éclate.
Oh non, elle n’a pas enterré le genre.
Elle l’a encouragé à creuser dans ce sens comme dans la série qui fait l’objet de ce thread.
« Peut-on tuer n’importe qui sans devenir soi-même un monstre ? »
C’est cool. Batinder ne lira pas ce forum. Le veinard.
Ouiiiii. C’est le point de vue de Snyder.
Batman doit tuer. Superman doit tuer. Parce que c’est comme ça dans le monde d’aujourd’hui. Faut grandir.
« Comment ils sont à la NRA, Zack ? »
« Ils sont super !!! »
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Je suis comme sylvain, ça m’emmerde profondément que les super-héros doivent se diminuer pour faire kiffer, ça m’emmerde prodigieusement de voir des Personnages comme Punisher Wolverine ou encore Batman encensé pour une partie de ce qu’il montre la violence et le meurtre.
Les super-héros sont censé être super, pour supérieur, ils doivent représenté la quintessence de ce à quoi nous pouvons inspirer. Les X-Men c’est les droits de l’homme afro américain, puis gays. Xavier est Martin luther King, mais non c’est tellement mieux de salir, de casser de montrer la part sombre.
Superman est un gros naze il est trop gentil, ill est parfait… Mais justement non il n’est pas parfait, mais il est symbole de ce à quoi nous devons tendre, a aller par le haut et non par les bas pour qu’on soit tous dans la fosse à purin.
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30 messages ont été fusionnés à un sujet existant : 1938-2018 : BON ANNIVERSAIRE SUPERMAN !
(W) Gerry Duggan (A) Lucas Werneck, Jethro Morales, Bryan Valenza (CA) Pepe Larraz
THE END HAS TRULY BEGUN! The X-Men have taken all they’re willing to take from Orchis… Now it’s time for them to do the dishing out. Unfortunately, just when it seems like one threat is over…another rises to take its place. The final battle of the Krakoan age rages as two series that are one move toward a crash that will echo across the universe…
Rated T+
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Du rangement de jouets efficace. Gerry Duggan règle les pans de la fin de la période Krakoa, efficacement. Alors que le Fléau protège le peu qu’il reste de l’entité Krakoa, en étant attaqué par Orchis, Apocalypse convainc les Arakkii de se battre, et Manifold les emmène en téléportant un vaisseau du S.W.O.R.D. à côté d’un autre, formant un X dans les cieux et libérant les Mutants. Emma et Shadowkat retrouvent et tuenr Dr Stasis, orientent Synch pour libérer Firestar, qui vient incinérer le corps de son bourreau. Le Dr Gregor libère Scott, Magik les emmène sur la Maison Summers de la Lune, devenue Sentinel City. Ils y trouvent Nimrod, qui tue Dr Gregor (alors qu’il est formé par l’essence de son époux mort) et file en vaisseau, car le plan avance…
C’est bien, oui. Pas formidable mais efficace, avec des personnages ici pertinents dans leurs rôles. Hormis Kitty toujours abusivement violente, les autres sont cohérents : Emma qui tue en provoquant un arrêt cardiaque via la peur, c’est légitime avec le personnage ; le Fléau qui tue, aussi. J’aime que Cyclope collabore avec Dr Gregor, j’aime qu’on pense qu’il laisserait Stasis vivre. C’est agréable, bien mené, mais Lucas Werneck fatigue. Jethro Morales aide, ça reste correct mais pas brillant.
Un travail sérieux, à défaut de briller.
Et imaginons tout ceci sous la plume d hickman avec un sens de l epique du niveau d infinity.
Moui. Hickman n’a été épique, sur l’ère Krakoa, que sur X of Swords.
Il se reservait pour ce final.
Clin d’œil
(W) Gerry Duggan (A) Lucas Werneck, Jethro Morales, Bryan Valenza (CA) Pepe Larraz
MY ALLY, MY ENEMY!
They say a wounded animal can be the most dangerous kind of animal to face. As the fight between the mutants and Orchis reaches a deadly pitch, a startling revelation rocks the X-Men to their core. The two series that are one come together in one horrible betrayal as the Krakoan Age nears its conclusion!
Rated T+
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Clairement la mini-série la plus faible, face à Rise of the Powers of X, et qui livre ici un épisode mièvre. Apocalypse, les Arakkii et des Mutants exilés attaquent les Stark Sentinels et Orchis et font un massacre, mais l’incarnation de Krakoa a été torturée et meurt. Apocalypse donne son sang pour l’aider, car Krakoa se nourrit d’énergie mutante, et un vieux d’Arakko se sacrifie. Wrongside, créature née après la résurrection ratée de Rockslide, affronte Apocalypse dans une arène improvisée et meurt « poétiquement », ce qui suffit à revitaliser Krakoa. De leur côté, les X-Men attaquent Sentinel City directement, mais Charles Xavier forme un accord avec Nimrod pour permettre aux Mutants de survivre seuls dans une « réserve ». Cyclope rejette l’idée mais Xavier valide et le plan se lance…
C’est moyen, oui. Le segment Apocalypse rappelle l’arène sur Krakoa, concept dérangeant et toujours mal géré. Le sacrifice ee Wrongslide est beau en soi, mais l’ensemble reste soudain et brut. Comme l’alliance Xavier/Nimrod, ainsi que le rejet par les X-Men. Tout cela est en outre moyennement dessiné par un Lucas Werneck lessivé et un Jethro Morales faible. Ça ne rend pas bien.
Rebondissements moyens, dessins moyens, ensemble décevant.
(W) Gerry Duggan (A) Lucas Werneck, Stefano Caselli, Bryan Valenza (CA) Pepe Larraz
THE BATTLE FOR THE FUTURE!
It all comes down to this - Orchis versus the X-Men, winner take the future! Orchis has pushed mutantkind to their lowest point ever, but that just means the X-Men have had to fight back like never before. Will it be enough? We continue to barrel toward the conclusion of the Krakoan Age as the two stories that are one come to an end!
Rated T+
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Conclusion sans passion mais sans défaut. Gerry Duggan s’occupe de sa tâche dans Fall of X, en montrant la destruction de Orchis, incarnée pleinement par Nimrod. Ce dernier affronte plusieurs X-Men en même temps via plusieurs corps contrôlés par un seul esprit, concentré dans la station Orchis. Il malmène les X-Men, suit les multiples plans qu’il a imaginés en arrivant toujours à la conclusion que Cyclope serait le dernier à tenir. Mais… non, c’est Storm qui arrive et le tabasse. Son éclair se projette dans les autres corps, et Synch mais aussi Lorna & Magneto aident. Nimrod est vaincu, brisé et les X-Men quittent la station détruite, en emmenant Karima Shapandar, dont l’esprit humain est libéré de l’ordinateur par Kwannon. Charles Xavier se cache de Kitty et Kamala, et les X-Men sont aidés par une entité cosmique liée à Manifold pour prévenir que le coeur de Scott les sauvera tous. Revenus sur une Krakoa ressuscitée par Apocalypse, Cyclope suit et « appelle » son coeur… en demandant à Jean de revenir tout feu, tous flammes !
C’est correct. Gerry Duggan n’a pas la folie créative SF d’un Gillen ou la puissance d’un Hickman, il a un peu perdu des émotions qu’il gère bien pour livrer un récit correct, scolaire car prévisible… mais ça passe. C’est efficace, sans passion mais ça fait le job sans faillir. Lucas Werneck et Stefano Caselli livrent des planches un peu faibles, mais ça reste lisible.
C’est fini ici, bien fini mais sans briller.
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