FANTASTIC FOUR #1-48 (Dan Slott / collectif)

Quel épisode ?

Alors,de mémoire,n’ayant pas la possibilité de le regarder à l’heure où j’écris.

J’ai souvenir d’un épisode publié dans un Comic Box où Ben Grimm et Alicia se marient.
Ben y porte sur la tête un truc religieux juif dont j’ai oublié le nom.

Il y a plusieurs héros Marvel (logique);il me semble qu’il y a Stan Lee.

une kippa

Merci.

Il y a bien un numéro de la série The Thing de Slott dans lequel Grimm porte la kippa (Alicia est présente), et justement paru dans Comic Box (le #8 avec la partie de poker).

Ok.

Mais ils ne se marient pas dans cette épisode,alors?

J’ai un faux souvenir?
PKDick, sort de ma tête!!!

Dans cet épisode, Ben fait tardivement sa Bar Mitzvah…et il finit l’épisode en tête-à-tête avec Alicia. Mais ce qu’il se passe quand ils referment la porte ne nous regarde pas…:wink:

Ma mémoire me faisait donc défaut.

Au temps pour moi.

FANTASTIC FOUR #6

Written by: Dan Slott.

Art by: Aaron Kuder.

Cover by: Esad Ribic, Pasqual Ferry.

Description: Galactus has returned to devour the Earth…and only one man can save us: Doctor Doom!And where is that agitator, Reed Richards and his meddlesome family? What are they doing? They’re locked in battle against the brave new hero of the Latverian people, Victorious!

Pages: 32.

Price: $3.99.

In stores: January 16.

Source : www.comicscontinuum.com

Pour la première fois depuis le début de son run, Dan Slott me convainc complètement ici… même s’il faut bien avouer que sa saga est terriblement classique.
Alors que Alicia & Ben viennent de se marier, le groupe file en Latvérie pour gérer l’arrivée de Galactus, Dr Doom gère déjà l’événement… avec son propre héraut, un nouveau personnage qui plaît beaucoup à Johnny. Si Doom semble gérer l’événement, Galactus se lance dans un mouvement inattendu - et Doom n’y est apparemment pas étranger.
Du très grand classique, donc, mais Slott y est très efficace. Les caractérisations et dialogues sont très bons, les rebondissements sont prévisibles mais fonctionnent bien ; idem pour le final, qu’on voit venir de loin mais qui donne envie de lire la suite. Enfin, la curiosité est piquée, surtout.
Jusque-là, Dan Slott me « dérange » sur le titre car, si j’aime sa lettre d’intention, sa caractérisation et ses envies, je n’étais pas convaincu par ses numéros… qui sont « bons », mais sans plus. Pas de flamme, pas de vraie vie dans ces pages, et je restais sur ma fin ; comme une production bien calibrée, mais sans âme. Là, les défauts ne sont pas forcément tous compensés, mais ça bouge plus, ça vit plus, et ça se lance plus - j’en suis satisfait, ici.
Aaron Kuder a déjà fait bien mieux et bien plus beau ailleurs, mais ses planches sont correctes et dynamiques. Elles servent le récit rapide de Slott, et l’ensemble fonctionne. C’est mieux. J’espère que Slott trouvera la bonne formule, car je comprends et j’aime ce qu’il veut faire des personnages… mais il n’arrive pas encore, pas avant ce numéro en tout cas même s’il va falloir confirmer, à raconter quelque chose avec eux. Espérons que cette période est terminée !

La couverture du neuvième numéro par Ribic :

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Source : https://previewsworld.com

Faudrait vérifier sur les autres séries. Est-ce qu’il ne démarre pas par du classique, habituellement ?

On peut comparer sur Tony Stark : Iron Man, où ce n’est pas vraiment le cas.

Tout comme Tony Stark : Iron Man, les FF de Slott passeront également par la case War of the Realms (ci-dessous, la couverture du #10 par Matteo Scalera).

Tom Brevoort: That issue is set in and around Yancy Street, so we’re dealing with that environment when all kinds of crazy frost giants, trolls, elves, and whatnot come pouring down into it from interdimensional space via the Black Bifrost. We’ll also have a few moments to establish the Fantastic Four’s place on Yancy Street. We haven’t seen a whole lot of it yet, because right after we established that they’re moving into 4 Yancy Street, they ran off to get Ben married and then they immediately went off to deal with Doom and Galactus in Latveria. This will be the first time we’re dealing with them in and around the confines of their new home environment on the Lower East Side.

Par Slott ?

Yep !

Bonne nouvelle, alors !

FANTASTIC FOUR #7

Written by: Dan Slott.

Art by: Aaron Kuder.

Cover by: Esad Ribic, Mike McKone, Yongho Cho.

Description: « Herald of Doom, » part two. In a battle between Doctor Doom and Galactus, who would you favor: A man who is trying to be a hero to his beloved nation or an unstoppable cosmic force of nature? It’s a simple choice, unless you’re Mister Fantastic. This dilemma, plus a strange new development in the life of the Human Torch. And a long-forgotten threat from the Fantastic Four’s past resurfaces.

Pages: 32.

Price: $3.99.

In stores: February 27.

Source : www.comicscontinuum.com

Dan Slott s’en sort mieux dans sa deuxième saga, mais peine encore à me convaincre. Sa reprise du groupe n’est pas encore fantastique.
En effet, cette plongée en Latvérie est bonne et agréable, mais terriblement prévisible encore. Evidemment que Galactus a été attiré ici, évidemment que Dr Doom a un plan pour manipuler tout le monde, évidemment que les F.F. vont aider quand même, évidemment que la nouvelle domestique de Doom plaît à Johnny qui risque tout pour elle et va l’émouvoir, évidemment que les F.F. vont être piégés, évidemment que les gamins vont rappliquer… évidemment.
Ho, c’est très agréable : Slott gère bien, maîtrise bien ses personnages. Les dialogues sonnent justes, même s’ils ne sont pas brillants. L’ensemble est une lecture agréable, bien qu’assez… fade. Pas de folie, pas de vista, pas d’esprit d’aventure ici, pas même de répliques bien senties : tout est déjà-vu, prévisible, classique ; presque chiant. Slott gère bien, mais c’est ça le problème - il gère.
Sept numéros, déjà, et l’ensemble ronronne trop. Aaron Kuder offre de jolies planches, les designs sont bons, les principes sont bien vus, mais… c’est de la « gestion », ça n’a pas de folie ou de puissance. Les F.F. méritent mieux, et j’espère que Slott va se reprendre ou trouver la recette ; là, ça commence presque à devenir chiant.

En même temps, comment tu veux simplifier « simplement » après une étape de déification comme celle-ci. Laisser les personnages dans cet état et dire que l’éditeur se débrouillera, c’est aussi se laver les mains d’une éventuelle suite et rien ne dit qu’il avait des idées pour la suite de ces personnages.