Il me semble me rappeler avoir lu (sûrement dans Comic Box) qu’il y avait une sorte de surnom pour l’effet produit par l’arrivée de Byrne sur un titre, à l’époque : « l’effet des 50 000 », ou un truc comme ça. Dès qu’il arrivait sur un titre, y’avait 50 000 lecteurs en plus, en gros ; ça doit correspondre aux mecs qui le suivaient lui, pas un titre en particulier.
Même pour l’époque, c’est considérable comme apport.
Euh, tu me fais honte là.
Bah c’est quoi l’élément extérieur dans ce cas précis ??
Pour ant-man et wasp ? Tu demandes vraiment ?
Ben la violence conjugale ça aide généralement.
Et donc c’est quoi l’élément extérieur là ?
voila le point important
Comme dit Blacki, Hank et Janet me semblent le seul exemple (ah, oui, PseudoX nous rappelle que Clint et Barbara sont passés par cette case-là, même si leur cas a été retconné). Et complètement faussé parce que le portrait que Shooter a fait de Pym est complètement à charge.
C’est dit clairement dans Avengers 214.
Cela dit, ça nourrit aussi ce qu’on disait plus haut : les personnages de second plan, ceux qui n’ont pas de série régulière ou pas souvent, et qui évoluent dans les séries des autres (à ce compte, on peut donc lister Hank et Clint dans cette catégorie) évoluent parfois de manière plus durable que ceux qui occupent le devant de la scène. Et là aussi, je crois que ça peut s’expliquer par le fait que les maisons d’édition les prennent moins en considération.
Et y a moi au milieu, qui dis que le statu quo bousculé, il ne l’est jamais durablement. D’une part parce que sinon, ce ne serait pas un statu quo, d’autre part parce que nous savons qu’il y a constamment des décisions éditoriales pour revenir à un dénominateur commun vendable au cinéma ou dans les jeux vidéos.
Ce qui crée, au final, des mouvements de va-et-vient constants dans l’histoire des séries, alternant les périodes « novatrices » et les périodes « classiques ».
Ah dommage, une chute dans la dernière ligne droite, alors que la course avait si bien commencé !
Jim
En fait, je songeais surtout au premier épisode de DeMatteis, qui donne une explication sur l’apparition des parents Parker, et qui, d’une certaine manière, en quelques pages, confère plus de cohérence à l’ensemble que tous les épisodes de Michelinie.
Parce que ce dernier, qui a livré presque cent épisodes de Parker souriant et assez creux, s’en va en ayant secoué le cocotier et sur une dernière case où le héros promet de se venger. Ce que je n’appelle pas ranger les jouets.
(Et purée, j’ai relu l’épisode 389, et quelle qualité d’écriture.)
Après, je ne me souvenais pas que les parents mouraient sous Michelinie, effectivement, et encore moins que le premier épisode de DeMatteis était intégré à un cross-over.
Jim
“HERALD OF DOOM” continues with “FIRST-WORLD POWER”! Latveria is about to take its rightful place on the world stage. Thanks to the benevolence and ingenuity of your beloved leader, Victor Von Doom, Latverians will soon know a new age of peace and prosperity! All of this shall come to pass — as long as we can repel these four nefarious foreign invaders who have illegally entered our beloved country! Death to the Fantastic Four!
Written by : Dan Slott
Art by : Aaron Kuder
Cover by : Esad Ribic
Page Count : 24 Pages
Age Rating : 12+ Only
Release Date : March 27 2019
Source : www.adventuresinpoortaste.com
Eh bien, juste un petit mot pour vous dire que je me ferai très rare dans les 10 mois qui viennent because beaucoup de boulot. Beaucoup, beaucoup, beaucoup.
Je compte sur Marvel et DC pour motiver ma méchanceté ordinaire, à mon retour.
10 mois ! Fais un petit coucou de temps en temps, quand même !
Zut, va falloir dire du mal de tout à sa place. À nous tous, on va avoir du mal à y arriver.
Jim
Une sacrée astreinte à tenir, quand même !
Un beau challenge, non ?
Oui, je passerai. Mais beaucoup moins souvent.
Si Sylvain vient plus, moi non plus.
Grumble grumble # boude #
Période de sevrage.
Vous verrez. Un Statler ou un Waldorf, ça finit toujours par manquer.
Oh bah non
Mais.
Très franchement, je ne sais pas quoi penser de cet épisode… mais finalement du run de Dan Slott, aussi. Il y a plusieurs qualités, de bonnes idées, des caractérisations correctes - mais, aussi, des failles immenses dans ces mêmes caractérisations, une gestion bâclée des menaces, et un rythme très surprenant.
Là, après la défaite des F.F., Doom domine : en une nuit, il a vaincu Galactus et a mis en place pour drainer son énergie ; il s’en vante auprès des F.F., enfermés dans des chambres de torture, et devant le monde et toutes les galaxies. Et alors que Franklin fait sa crise d’ado’, en énervant Alicia mais en trouvant une ancienne connaissance de sa famille, Doom connaît une erreur… et si Galactus semble s’éveiller, Victor est littéralement mis à nu et humilié en public.
Bon. Franchement, non, je ne sais pas quoi en penser. La gestion des F.F. emprisonnée est plutôt bonne, la gestion de Franklin & Valeria également, et le rythme fonctionne bien, dans ce numéro. Mais le rythme est surprenant dans toute la saga, car il y a constamment des faux-départs, des blocages soudains, et des avancées trop brutales. Surtout, je suis assez déçu du traitement de Doom qui avait bien avancé avec Bendis ; même si je n’ai pas tout aimé, l’idée était bonne, mais le voir retomber dans le « lui d’avant » me déçoit, car il n’y a pas de transition. De même, son plan est tellement déjà-vu que tout est abominablement… prévisible.
Même si le final surprend, cette surprise est désagréable tant elle tape à côté ; elle est hors-de-propos, assez naze, et choquante dans l’idée. Et ça ne permet pas de sauver le côté prévisible de l’intrigue, dont la banalité pour la franchise est à pleurer.
Ho, Aaron Kuder est bon, et livre des planches très solides ; mais ça ne suffit pas à améliorer un numéro qui se lit bien, mais alterne entre une banalité triste, quelques bons moments, mais un final complètement loupé.
Bon sang. Le retour des F.F. méritait mieux que tout ça.
Dans le #12 de juillet, Marvel annonce une back-up sur la Future Foundation par Jeremy Whitley et Will Robson.
Ben and Alicia are off on their dream honeymoon in a remote tropical paradise…until someone decides to crash it. Or should we say SMASH IT?! Get ready for the biggest HULK VS. THING FIGHT OF THE CENTURY!
PLUS: The saga of the Future Foundation by Jeremy Whitley and Wil Robson!