Ah ?
Tu as des exemples ?
Après, c’est peut-être aussi lié à tel ou tel éditeur, ou tel ou tel diffuseur, va savoir.
Jim
La Fabric Comics chez Delcourt n’a pas toujours eu droit à 'être chez eux. Après, y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis …
Ah tiens, étonnant, sachant que l’éditeur plaçait ses traductions chez eux.
Jim
N’est-ce pas.
Oui, doit y avoir des explications qui nous échappent.
Jim
Sûrement. Et visiblement, y a prescription, et c’est tant mieux.
J’ai appris hier, au téléphone, alors que j’étais dans le RER (merci Fredo) que Gérard Collard, libraire et chroniqueur, avait évoqué Fredric, William et l’Amazone dans le cadre de sa rubrique dans Le Magazine de la santé, sur France 5.
La vidéo est ici (c’est environ à 27 minutes) :
Dingue, non ?
Jim
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Je vais voir si ma Mutuelle rembourse l’achat de ce bouquin …
Cool cette petite chronique!
C’est à 27’10" pour ceux que ça intéresse.
Il va falloir que je le lise maintenant. 
Hâte de connaître ton avis.
Jim
Attends, la lecture, c’est homéopathique.
Sympa, ouais, un peu désordonnée, dans le style du chroniqueur, mais cool. Et on voit bien les planches, ça donne envie. L’éditeur est enchanté.
Jim
Euh … je dose pas comme ça, moi.
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Moi non plus… Ce serait plutôt une dose de cheval (enfin, pour peu qu’un cheval lise… Mais on va dire une dose de Jolly Jumper).
Tori.
Des tas de consommateurs de médecine homéopathique dosent pas légèrement.
Mais surtout, c’est que la lecture, qui est à base de plante comme l’homéopathie, n’est pas davantage remboursée…
Jim
En ce qui me concerne, ce serait plutôt de l’auto-médication et des remèdes de grand-mère !
Tori.
Ce qui n’est pas remboursé non plus.
(Je suis souvent dans le même cas : là, un mal de gorge, hop, deux jours de thé au miel, et c’est reparti.)
Jim
Je parlais toujours de lecture, moi…
Je ne suis jamais malade.
Tori.
Je suis à ça depuis jeudi soir, et alors que tous mes collègues étaient par ma toux (à coup de blague sur la Chine pour certains), voilà que ce week-end, elle est un peu éteinte et surtout plus aussi caverneuse.
T’es vraiment premier degré quand tu t’y mets, quand même. 
Toujours : c’est une saine manière d’aborder le monde sans se faire d’illusions.
Jim