GEORGE PÉREZ

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La puissance des crayonné comparé à la version finale.

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La couverture variante de Star Trek/Planet of the Apes #1 :

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SPIDER-MAN HOBGOBLIN LIVES #1
(published January 1997)
Page 22.
Pencils by Ron Frenz.
Inks by Pérez.

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HULK FUTURE IMPERFECT #1
(published December 1992)
Page 18.
Pencils and inks by Pérez.

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La couverture du #4 de l’adaptation de Jurassic Park, par Gil Kane et George Pérez :

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Hawkman :

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Well, it’s the realization of how much impact I’ve made. It’s life-affirming.

Even my mother, at 90 years old… the greatest comfort she has is that I was a good man. I tried to live by the principles she taught me.

I’ve always treasured my life, but I didn’t realize how many people I’ve touched until a time like this occurred where everyone shows up. I’ve been reminded of my true friends. Neighbors are bringing rosaries, and some people are coming clear across the country to say ‹ hello › and help my wife. It’s an incredible feeling.

I really know now how much fans love me for what I’ve done, and the person I’ve tried to be. This makes it so crystal clear. It makes me strong, and it gives me peace. Like anyone put in this kind of situation, I cried and I screamed when I first got the diagnosis and the prognosis of the longevity. But after that, the friends who I immediately told became a close source of comfort. And my peers and fans have really stepped up and given me strength, and I am happy this many people love me. I have no regrets, and I’m just incredibly at peace.

I know I will experience a bit of fear and dread as the day counts down. I don’t know what it’s going to be like after I’m gone and off into the unknown. But I also have a feeling of dedication to doing the best I can in the time I have left.

For me, when I die it will all be over. But for my wife, my friends, and my family, they have to soldier on after losing me. I didn’t realize how much losing me means to them, and my goal now is to make this experience as relaxed as possible. I want them to see me smile, and I want to hug them; I want to give them the good memory of the man I was. That is something that will make the last years of my life the best.

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Quel grand monsieur.

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Je me suis intéressé assez tardivement à qui dessinait les séries que je lisais … enfin, disons que je ne cherchais pas vraiment à savoir/retenir qui dessinait, même si j’avais repéré quelques préférences (notamment Colan, Miller, JR², Byrne, Neal Adams, Kirby … je lisais du Strange et du Spidey, et un peu de Sp. Strange en fonction de sur quoi je tombais). Et donc ce n’est assez tardivement (ouais, je pense/estime que ma « puberté de lecteur » n’était pas en avance, si je puis utiliser cette expression) que j’ai repéré que je lisais et appréciais du Pérez depuis longtemps. C’était sur les Avengers de Busiek.

Sa capacité à dessiner autant de perso m’avait impressionné. Pourtant, j’aurais dû m’en rendre compte bien avant, notamment, comme vous l’évoquez, sur le Défi de Thanos ou son Hulk. Mais ça me paraissait tellement naturel qu’un dessinateur fasse ça (banalisation de l’extraordinaire). Et puis son design du costard de la Sorcière Rouge, avec son explication en itw, ça paraissait tellement évident que personne n’y avait pensé avant.
Et en fait, Pérez, j’aime depuis longtemps. Je le savais sur les New Teen Titans. Mais je n’avais jamais fait gaffe qu’il avait dessiné de M2i1 que j’adore et que j’ai lus et relus (celui avec Stingray est peut être l’un des premiers Sp Strange que j’ai dû lire). Et sûrement quelques vieux Avengers que j’avais chopé hors Lug.

J’ai lu Crisis (la seule, l’unique) plus tard, au moment de la sortie chez Semic (je me souviens, je pense que ça doit être en printemps 2004, j’allais en touk-touk à Cherbourg). Et là, quadruple claque piquée. Impressionnant, ça n’avait pas du tout d’aspect vieillot déjà à l’époque.
Et puis cette année, ses tant estimés WW, qui auraient pu être décevants, tant ils sont encensés. Il n’en est rien, ils ont aussi passé les années sans vieillir. Et là, on a pu voir sa capacité à scénariser.

Bref, sans m’en rendre compte, Pérez a quand même toujours été un peu présent tout au long de ma vie de lecteur.

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Et je tombe là-dessus, en fouinant sur comicsvf :

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Et là, toute proportion gardée évidemment, j’y vois (à tort peut être) une certaine ressemblance d’époque avec Mittton :

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