Pour cette série, j’avais trouvé que c’était plus de la méfiance envers Constantine et certains de ces acolytes.
Sinon,
Bon, bah c’est encore une fois d’un très bon calibre. En fait, Rucka prend les jouets de Pérez, mais pas forcément pour raconter une suite. On retrouve les éléments, mais ce n’est pas la même chose. le putsch d’Athéna rappelle un peu celui d’Arès mais est amené de manière complètement différente (et les femmes du panthéon deviennent d’un coup bien plus manipulatrices que sous l’ère Pérez, ça équilibre un peu le côté homme/femme, je trouve), on aperçoit les Kapatelis, mais ce qui est vraiment intéressant, c’est l’exploitation de son rôle d’ambassadrice. Et si les poins étaient avancés dans le tome 1, le tome 2 passent à la vitesse supérieure, avec deux sagas (dont une bien poignante), avec la dernière qui ne m’a pas fait lâcher l’album, même à une heure tardive de la nuit. Et là, vu les interactions entre les dieux et les humains, on pourrait reprendre le titre des albums de Pérez sans problème.
Après, dommage que le dessin ne suive pas toujours. Johnson a quelques manques au niveau de l’animation des combats et Raiz en fin d’album, c’est vraiment pas terrible.