HEROES IN CRISIS (Tom King / Clay Mann)

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Heroes in crisis

Au cours de leurs nombreuses aventures et combats, il n’est pas rare que des événements catastrophiques surviennent dans la vie des plus grands super-héros.

Ceux-ci peuvent avoir alors besoin d’une période de convalescence afin de se reconstruire autant physiquement que psychologiquement et le Sanctuaire, un endroit secret où ils peuvent se réfugier, symbolise ce havre de paix pour des héros traumatisés. Mais ce secret se retrouve exposé au grand jour après qu’une violente tuerie s’y produit.

INFOS

SCÉNARISTE : KING TOM - DESSINATEURS : GERADS MITCH, WEEKS LEE
  • Public : 12+
  • Collection : DC REBIRTH
  • Date de sortie : 15 novembre 2019
  • Pagination : 240 pages
  • EAN : 9791026816768
  • Contenu vo : Heroes in Crisis #1-9
    Prix : 22.5 EUR

Non finalement, je crois que je suis trop vieux pour ces conneries.

On en est là, alors…

C’est chouette, de vivre à une époque où Frank Frazetta serait victime de combustion spontanée avant même qu’on ait le temps de dresser le bûcher, hein ?

Et vive la modernité !

Plutôt ouais. Il n’est pas tellement question de fustiger un artiste mais plutôt d’arrêter de proposer, à une large frange de lectorat, une représentation à outrance de la femme-objet qui se cambre quand elle fait mine de réfléchir. Surtout quand il s’agit de midinettes qui ont généralement entre 14 et 17 ans.

J’avoue que je n’ai jamais été attiré par cet aspect dans les comics dit « mainstream » (ou « pas d’auteur ») - c’est probablement ce qui me détourne d’une grande partie de la culture BDiste nippone où des ré-pressés sexuels saignent abondamment du nez à chaque fois qu’ils aperçoivent une croupe voilée - alors que je suis lecteur d’auteurs comme Adam Warren, Larsen et Frank Cho qui, eux, ont au moins la liberté de se répandre sur le sujet (de manière souvent franchouillarde).

Mais là, je dirais que ces représentations tiennent d’avantage de l’immaturité chronique dans un genre qui n’est pas appelé à faire mieux que ça.

Et ceux qui vivent dedans !

Et moi je crois que tu es assez vieux pour t’en tenir à ton avis même s’il n’est pas partagé par d’autres. Je trouve ça donc dommage que tu aies réagi au commentaire de Jay en effaçant ton message…

Pour en revenir à Clay Mann, j’avoue que je n’avais jamais remarqué une éventuelle sexualisation de son dessin.
Je ferai gaffe la prochaine fois (par exemple, j’ai pas ce genre de souvenir pour ces Gambit ou pour ses X-O Manowar … ou peut être comme Jack, ça ne m’a jamais réellement attiré, donc comme pour les églises dans les villages, je ne les vois pas)

A vrai dire, perso je l’ai toujours vu ainsi, ça fait partie de son style, ça ne me dérange pas perso, masi je comprends que ça puisse gêner par contre.

Mais ce n’est pas le propos.
À aucun moment dans mon propre message, je ne parle de « modernité », de « bûcher » ou de Frazetta.
Et que les gens soient d’accord ou pas avec moi, ça ne m’intéresse pas de toute façon.

Reste que je me suis inscrit pour la première fois sur un forum, celui de Superpouvoircom, en 2005 si ma mémoire est bonne, pour dire tout le bien que je pensais d’une aventure de Mickey que j’avais acheté pour mon fils, et que j’avais également lu. Jay en était l’un des scénaristes.
Je recommande d’ailleurs ce cycle (dit Mickey à travers les mondes), qui mériterait largement d’être commercialisé en album.
J’ai donc publié mon premier message sur la Toile™ dans sa rubrique.

Donc quitter le forum (celui-là et les autres, où de toute manière je n’ai plus grand chose à dire) sur un commentaire de Jay, a un côté élégant.
Quasi ouroboroughsien. [-_ô]

Et puis j’ai un blog pour continuer à dire des conneries. [-_ô]

Ça fait bizarre : j’étais en train de lire ton message quand tu l’as édité… Du coup, ça l’a effacé de mon écran (bon, étant modo, j’ai pu accéder à l’ancienne version et lire ton propos).

Tori.

Entièrement d’accord.
Tu devrais le remettre.

Jim

Je rebondis sur la critique et sur le titre que je trouvais vraiment mauvais de chez mauvais. J’y repensais dernièrement en relisant Flash de Williamson, Heroes in Crisis est finalement un récit à remettre dans le contexte du personnage et de son retour.

Ca ne rend pas le récit meilleur en soi mais ça aide à mieux suivre la destinée de ce personnage malheureusement broyé par les éditeurs (le voila devenu une sorte de Doc Manhattan…)…

Wally Metronhattan.

Je n’ai lu ce récit que récemment, notamment parce que je ne sais pas encore vraiment quoi penser de la prestation de Tom King sur Batman (je suis au rythme VF en kiosque, pardon en magazine… :cry:…) et que j’avais lu aussi des critiques tièdes sur ce forum.
J’ai beaucoup aimé. Je me retrouve pleinement dans ta critique Blackiruah. J’ai retrouvé en partie du plaisir que j’avais eu en lisant Crise d’Identité.
Je m’intéresserais aux autres récits auto-contenus de l’auteur plus tard.

Ah mince.
J’aurais dû lire la critique avant de l’acheter ! :wink:

Un homme de gout.
Ce cycle est juste passionnant.
J’espère qu’on aura l’intégrale en album à défaut d’avoir la fin…

J’aimerais beaucoup aussi.
La fin, en fait, n’a jamais été prévue. L’idée étant qu’ils sont toujours en vadrouille.

Jim

Une fin ouverte,en somme.

Je m’en souviens.

Minnie rejoint Mickey.

Y a aussi des gens qui ont aimé (et moi adoré) le run de King.

Et même que je me frotte les mains de lire Batman/Catwoman dès décembre!!! Miauoooooo!!!

Pas grand chose à dire de laudateur sur cette histoire qui ne fonctionne pas vraiment tel que.

Je retiens tout de même, hormis la loïs en culotte, le passage sur l homme préhistorique avrc un debat hobbes/Rousseau sans contre sens sur le sens de la bonté de la nature chez ce dernier, ce qui est rare. Moment touchant.

Autre chose : a la sortie et apprenant le coupable, je m etais demandé l interet de ramener wally comme symbole de rebirth pour le plomber ainsi aussitôt. Or j ai été surpris que ce soit abordé à ce niveau même dans la bd, au point d inverser ce qu on peut reprocher à dc dans le traitement du perso. Pas tant d en faire le coupable et donc de plomber le perso et le renouveau qu il incarnait editorialement parlant, mais plutôt d oser en faire un symbole de renouveau alors qu il revient tout en ayant sa famille effacée. De quoi se dire pour le perso qu il est victime d une bien mauvaise blague.

On comprend qu il pete un cable et c en est même assez comique si on prend un instant au serieux, et c est ce que fait la bd, et le symbole editorial qu il incarne et que le gars a en fait tout perdu.

Ca m a bien fait rire. Pas vraiment le but recherché.

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