HISTOIRES ABOMINABLES (Enrique Sanchez Abuli / Darko Perović)

Toutes les oeuvres de Darko Perovic que nous avons le plaisir de publier, de « Brek » à ces « Histoires Abominables », sont des projets qui lui sont très chers, et qu’il est heureux et fier de voir atteindre un public francophone.

https://fr.ulule.com/histoires-abominables/

Quand nous lui avons proposé le visuel de l’ex-libris qui doit accompagner le passage des 200%, tiré des archives qu’il nous avait transmises, il nous a répondu : « Non, non, c’est un vieux dessin. Je vais en refaire un nouveau, car les lecteurs qui soutiennent ce projet méritent mieux. ». Et pourtant, vous pouvez nous croire sur parole, il n’y avait vraiment pas à rougir du dessin que nous avions choisi, une étude crayonnée d’un des personnages que vous retrouverez dans cette anthologie.

Voici donc le visuel de cet ex-libris, réalisé spécialement par Darko pour cette campagne de financement.

Ces histoires, écrites par Abuli, ont été publiées dans de nombreux pays, Espagne, Italie, Serbie, Croatie, Slovénie, République Tchèque, Brésil, Colombie, pour n’en citer que quelques uns. Nous sommes heureux de pouvoir faire enfin découvrir cette oeuvre à un public francophone.

Il reste 10 jours avant la fin de cette campagne, et il reste encore de belles contreparties, de quoi permettre à ce compteur d’atteindre au moins les 150% et pourquoi pas les 200% si vous souhaitez ajouter ce ex-libris à vos envois.

Merci à toutes et tous pour votre soutien !

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Dernière semaine

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"- Qu’est-ce qu’il veut ?

  • Il veut jouer."

Et vous ? Avez-vous envie de jouer avec Chaco ?

https://fr.ulule.com/histoires-abominables/

Retrouvez Chaco dans l’une des 12 « Histoires Abominables » de l’anthologie des récits noirs, absurdes, acides, de Darko Perovic et Enrique Sanchez Abuli, actuellement cours de financement sur Ulule.

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Dernière semaine
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Il reste 3j et le palier 150% est passé.

« Histoires Abominables » de Darko Perovic et Enrique Sanchez Abuli !

Plus que 4 jours avant la fin de cette campagne !

https://fr.ulule.com/histoires-abominables/

Il est temps de vous dévoiler L’ULTIME DÉFI !!

Si à la fin de la campagne, le compteur affiche 200% au plus, nous effectuerons un tirage au sort pour deux contributeurs qui verront alors leur contrepartie augmentée.

Comment ? C’est simple.

Si vous avez contribué pour une version standard de l’album, vous recevrez une version collector,

Si vous avez contribué pour une version collector de l’album, elle arrivera enrichie d’une dédicace,…

Et même si vous avez contribué avec un pack dédicace en complément, nous avons de quoi vous faire plaisir.

Alors ne tardez plus, il est grand temps de relever cet ultime défi !

2 derniers jours.

Dernier jour
(158%)

Reste 5h et palier 175% passé.

Ca a fini avec 76 contributeurs, 183%, soit 5129 euros collectés.

Road to Halloween…

Bon, je suis assez fan du travail de Darko Perovic, et ce que j’ai vu là ne va pas me faire changer d’avis.
C’est vraiment très joli, avec un trait fin, beaucoup de mouvements (l’épisode avec le chien en est la preuve), et aussi, de l’expressivité en veux-tu, en voilà. Et dans les histoires racontées par Abuli, c’est vraiment nécessaire. Parce qu’il marrie une certaine ironie, ou un certain humour, au milieu de moments par moments, abominables. Il y a peut être deux ou trois histoires qui sont très premiers degrés, mais pour le reste, c’est plutôt rigolo.
L’auteur nous trimbale en divers endroits du monde, varie beaucoup, ce qui fait qu’on n’a pas l’impression de répétition dans cet exercice pas très simple de l’histoire courte. C’est donc plutôt efficace et toujours réussis. Alors, il y a un fil rouge qui est le sexe, quasiment toujours, évoqué ou de manière physique. Mais là aussi, même si on voit bien que ça y revient tout le temps, ça ne prend pas la place du récit… voire même ça l’intègre, dont une fois de manière plutôt douloureuse.
Alors, ça se lit vite, mais c’est aussi parce que les deux compères n’ont pas besoin de tonnes de dialogues pour tout raconter (y a même une histoires sans une ligne).

Donc, un bien bel album, avec un peu de rédactionnel pour resituer un peu le contexte éditorial de ces récits.

Jim