ILLUMINATIONS (Alan Moore)

Oui je confirme pour les traductions précédentes et pour l’hommage à Moorcock., c’est bien cette nouvelle.
D’ailleurs @Photonik , est-ce que je me trompe si je pense que ce recueil sera au menu du premier numéro de la prochaine saison de Tumatxa (si tu l’apprécies évidemment)?
Et au fait, merci pour le clin d’oeil lors de ta chronique d’ « Histoires fantastiques espagnoles »! :wink:

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Ah j’avais pas saisi que c’était l’hypothèse. Je l’ai déjà en un ou deux exemplaires et je n’en ai pas un souvenir ému de ce récit. Même par Patrick Marcel.

Bon, je l’ai fini il y a 2 jours et je suis très déçu au final.
Je n’y ai pas trouvé grand chose de très intéressant. Sur les 9 textes, il y en a 3 seulement que j’ai vraiment apprécié.
Je n’ai pas retrouvé l’auteur de « Jérusalem » et même très loin de là…
Outre mon avis perso, je trouve que la 4eme de couverture et la présentation de l’éditeur ne prévient pas le lecteur de ce qu’il va réellement trouver.
Quasiment la moitié du livre est une sorte d’essai sur les comics mais sans citer les vrais noms des protagonistes (j’en parle plus haut). Aucun intérêt pour quelqu’un que le sujet n’intéresse pas (voire même pour les autres, j’attends vos avis à ce sujet).
Pas mal de tentatives ratées également comme ce texte sur les cerveaux de Boltzmann ou ce faux poème sur la Beat génération mélangé à la mythologie égyptienne envahi par les notes de bas de page. Idée déjà réalisée (et en mieux) par Nabokov dans son « Feu pâle » ou par David Foster Wallace dans « L’infinie comédie » (uniquement pour les notes dans ce cas là).
Pour la traduction, difficile de juger ne connaissant pas le texte en version originale mais le style m’a paru très plat en comparaison avec « Jérusalem ».

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Perso, même si le sujet m’intéresse, ça fait longtemps que ce que fait Moore ne m’intéresse plus…^^

Pour le coup, peut-être que ce sera l’inverse pour toi et que tu aimeras ce recueil. :sweat_smile:

Mmm…je ne crois pas. Et ce que tu dis des autres textes me confirme que le bouquin n’est pas pour moi…

Je vous avoue que je l’ai pris les yeux fermés à cause du titre et ce qui m’a fait penser à celui du recueil de Rimbaud… C’est complètement idiot, je sais. Mais en même temps, même si je serais déçu, je serai heureux d’avoir lu au moins du Moore en texte seulement. Ayant lu pratiquement tous ses œuvres en BD, il fallait bien que je le découvre au moins une fois un livre de lui sans images ou illustrations.

Je le lirai à partir du 10 juillet, jour où je partirai en vacances.

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Ça approche !

Je pense que c’est sûrement à cause de la traduction. Puisque ce n’est jamais le même auteur qui traduit. Je ne crois pas que Moore ait un traducteur attitré…

Tu n’as jamais essayé la voix du feu ?

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Pour son côté littéraire, il y avait Patrick Marcel pour « La voix du feu » et Christophe Claro pour « Jerusalem » bref du très lourd.
Difficile de passer derrière à mon avis… Mais c’est sûr qu’il n’y a pas que la traduction qui me pose problème dans ce recueil .

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Non, je n’ai lu aucun des deux. Enfin, Jerusalem, vu que vinch64 en parlait, je suis allé sur le net pour lire un long extrait et c’est bien du Claro. Le même traducteur pour La maison des feuilles, etc. - donc oui, je mettrais ces deux cités dans la liste. Merci !

C est vraiment un essai ? Avec analyse, démonstration, argument ?

Les yeux de nemo pétillent d’espoir.

Tu m etonnes !

Non, c’est plutôt une histoire romancée des comics vue par Alan Moore depuis les origines de Superm… Euh plutôt Thunderman à nos jours avec tous les noms de super héros et protagonistes modifiés…

Sniff

Ainsi que William Burroughs dans « Ghost Of A Chance », si je ne me trompe pas de texte… Idée assez géniale, parfaite pour la thématique du « langage viral » propre à Burroughs.

Intéressant et effectivement totalement cohérent avec « le langage est un virus ».
Ce texte ne me dit rien par contre, c’est trouvable en VF.
Ça fait partie d’un recueil de textes ?

Oui, ça se trouve en VF, sous la traduction littérale « L’ombre d’une chance » ; c’est un texte autonome, pas issu d’un recueil j’entends. C’est dans la collection « Titres » chez Christian Bourgois, le titre 135 pour être précis.