Une reine désespérée veut obtenir le don de métamorphose. Elle engage la sorcière Gray Alys - qui exauce tous les vœux, même les plus fous. La reine envoie alors Gray Alys sur les terres perdues en compagnie du mystérieux vagabond, Boyce. Ensemble, ils doivent déjouer et vaincre l’homme et le démon…
Aventures/fantastique Ecrit et réalisé par Paul W.S. Anderson, d’après la nouvelle « Dans les Contrées Perdues » de George R.R. Martin Avec Milla Jovovich, Dave Bautista, Arly Jover… Année de production : 2024 Date de sortie non communiquée
Tout n’est pas à jeter et comparéà Rock ou Cena, sa filmo elle est premium. Il a été le vilain d’un Bond, Beast Rabban pour Villeneuve dans Dune, un bon Drax pour James Gunn, il joue très bien dans un Shyamalan, un eptit polar avec glass Onion, il a deux petits rôle dans deux films indé qui ont l’air top et même si à côté il fait de grosses daube, je trouve ça pas mal.
Je ne dis pas qu’il a une mauvais filmographie, je dis juste que ses récentes déclarations, et sa « transformation physique » étaient liés à une volonté de jouer dans des films plus « prestigieux » que ceux de The Rock ou Cena justement. Jouer dans un film de Paul Anderson… bon… ce n’est pas le réalisateur qui va lui permettre de briller quoi. Mais il va certainement s’amuser avec l’hystérique Milla…
C’est pas faux, ceci dit perso je le trouve très souvent mauvais comme un cochon. Il est par contre étonnamment excellent dans le Shyamalan, et pas trop mauvais on va dire dans le très bon « Bushwick », qui est peut-être un des films indé auxquels tu faisais référence.
Même plutôt bon.
Il s’en sort souvent en surjouant : c’est le cas dans Les Gardiens de la Galaxie, où il en fait des caisses dans le registre de l’attardé musculeux (et il partage la vedette, il n’est pas en solo).
Quand il est plus sur la retenue, ça marche moins, fatalement.
Dans Bushwick, il incarne un ancien soldat inadapté et déclassé, ce qui cadre bien avec son physique et sa présence à l’écran. On pourrait justement remarquer que c’est le résultat d’un excellent choix de casting, le contraire absolu du contre-emploi qui parvient à tirer un bon sel narratif.
Oui, le choix des faux plans-séquence caméra à l’épaule qui constituent l’ossature du film permet de tirer un bon parti de cette masse hors-normes qui surgit bord cadre de façon parfois étonnante. Et il y a évidemment la différence de gabarit avec l’autre perso principal, une femme.
Sans besoin d’en faire beaucoup, il est très bien du coup.
Si j’ai plutôt aimé sa performance dans « Bushwick », c’est précisément parce que pour moi il est proprement insupportable dans « Les Gardiens de la Galaxie ».
Ah moi, il me fait rire, tellement il est con.
Spontanément, j’aurais préféré qu’ils adaptent le Drax obsédé par la vengeance de ses débuts dans les comics, mais il faut bien avouer qu’un tel choix aurait très vite tourné court. Là, c’est plus riche.
Oui, moi aussi, d’où peut-être ma réaction négative à ce choix, qui peut se comprendre dans le contexte global du projet de Gunn.
Je dois bien avouer que le traitement un peu comparable de Warlock dans le troisième volet m’a plus refroidi encore, même si je préfère ce troisième film au deuxième, et de loin.