Making Contact…connu chez nous sous le titre Joey…
Will Smith n’est pas dans Independence Day 2. Voici ce qui est arrivé à son personnage, le capitaine Steven Hiller, entre les 2 films :
Il est bien bête, Smith, de bouder la franchise qui a participé à son couronnement pour aller essayer de vivoter au milieu d’autres têtes d’affiche dans Suicide Squad, film de franchise où la promo se concentre plus sur Leto que sur lui.
Il était peut-être plus gourmand que bête.
Entre sa communication et celle d’Emmerich, il y a comme une dissonance.
Encore un film copie carbone … Je m’en passerais.
Merci pour le titre américain. Ma mémoire défaille, c’est connu.
Et je ne savais même pas qu’il y avait un titre pour l’exploitation en France.
Jim
La nouvelle bande-annonce :
Engagez-vous, il disait !
Ca fait plusieurs fois que je me farcis la bande annonce au cinoche, mon dieu que c’est mauvais. Les dialogues sont pitoyables et les situations aussi. Et je ne suis pas certain que ce soit du 2nd degré en plus.
Box-office faiblard pour Independence Day 2, qui ne décolle pas aux States et qui en est à 372 millions de dollars de recettes mondiales.
Pour mémoire, le premier volet avait engrangé 817 millions en 1996.
Tiens, j’avions point commenté.
Bon, alors, grosso modo, c’est une grosse déception. Pas tellement que j’attendais un chef-d’œuvre de la réflexion, une discussion philosophique à base de concept finement adaptés à la forme visuelle… mais, le plaisir éprouvé devant White House Down me faisant oublier mon opinion sur Emmerich depuis de nombreux films, je m’attendais quand même à une bonne grosse montée de suspense, des enjeux bien amenés, une déferlante visuelle de fou…
Et en fait, c’est construit avec un classicisme post-seventies sans originalité, les raccords ne sont pas terribles, le surgissement de nouveaux intervenants est constamment mal amené, et l’ensemble n’a pas beaucoup de suspense.
Visuellement, le premier avait été une claque, à la fois à cause du jeu de surenchère et de l’utilisation des effets spéciaux assez neuf pour l’époque. Mais là, on a l’impression d’une suite écrite à la va-vite l’année suivante et ne proposant guère plus d’inventions graphiques.
Les idées SF sont soit rabattues (la conscience collective des méchants…) soit intéressantes et complètement évacuées (la race d’IA, la planète résistante, l’écosystème au sein du vaisseau…) et dans tous les cas laissent un sentiment de trop peu.
Enfin, l’aspect comédie est surjoué, et là où la Terre étaient sauvée par un Noir et un Juif (gros bon point de ce nanar à pognon), cette fois-ci, elle n’est même pas sauvé par un couple de vieux homosexuels, touchants mais un brin grotesques. Même l’aspect social intéressant du premier film, ils ne sont pas parvenus à le réitérer.
Bref, un soir, à la téloche, ouais. Le dimanche matin à cinq euros, c’est déjà un peu cher.
Jim
Je suis ébahi devant ta foi face à ce genre de film. 
Tiens, j’avais pas commenté non plus…
Mais bon, je vais faire très vite :
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Tu combles de ces retards… 
Eh eh eh, j’ai bien fait de ne pas perdre mon temps, pour une fois !