Oh oui, c’est absolument énorme le boulot que ce mec a abattu…
Merci pour le lien! 
Et hop dans mes favoris!
C’était ici, en 2014 !
Je crois qu’on aura l’occasion d’en reparler l’année prochaine, pour le long fil anniversaire qui sera consacré aux F.F. 
Ah, parfait ça !!
J’ai bien fait de stocker des liens et des images alors (manque plus qu’un billet de Jim sur les FF de Wolfman 
et on est parés).
Ah tiens, je ne connaissais pas ce mot. J’aime bien.
Je l’ai lu quelque part et l’ai gardé. Ca illustre bien cette vermine qu’on se doit d’exterminer
Quand on fait comme ça, il ne faut pas prendre le son de Skype : on fait le podcast via Skype, mais chacun s’enregistrant en même temps par un autre moyen. Ensuite, on reconstitue le podcast en prenant pour chaque intervenant sa source (qui, du coup, n’est pas soumise aux aléas de la connexion). Ça permet d’avoir un son plus clair et de meilleure qualité. Bon, ça nécessite un peu de montage, évidemment (et ça, ça prend du temps).
Tori.
Oh t’inquiète, j’aurais sans doute plein de trucs à raconter, et pas que sur Wolfman.
(Et je redemanderai à la cantonade le visuel promo de Pacheco que j’aime tant et que je perds tout le temps…)
Jim
Oui, bah on verra, hein. Si t’es gentil et poli !
Zut, je la récupérerai jamais !
Jim
Je viens de le lire dans une interview d’Élisabeth Roudinesco, qui l’applique à Onfray afin d’opposer l’intellectuel spécialiste à l’intellectuel généraliste, qui compense son manque de spécialisation par beaucoup de paroles et de bruits. C’est intéressant.
Jim
la confiture …
Je suis complètement sur cette ligne concernant Onfray. J’avoue que j’écoutais avec intérêt sa contre-histoire de la philo reprise plusieurs étés de suite sur France Culture, et je me disais que son champ d’action était sacrément vaste. Le problème, c’est que dès que je tombais sur un domaine que je connais un peu ou sur lequel j’étais bien documenté, je me rendais compte qu’il procédait à coups de grosses généralités, voire qu’il disait n’importe quoi…
Onfray me fait penser à ces philosophes que dénonçait Deleuze (ami de Roudinesco, d’ailleurs), qui donnent leur opinion comme on le ferait entre la poire et le fromage dans un repas un peu arrosé. Rien de très consistant là-dedans.
J’avoue que chaque fois que suis tombé, au fil des ans, sur des passages de sa « contre-histoire de la philosophie » à la radio, ça avait vite tendance à me faire bondir (ce qui n’est pas très recommandé quand on écoute la radio au volant de sa voiture). En cause, une vision du monde complète simpliste et binaire, partagée entre les gentils — ceux qui partagent toutes les mêmes valeurs que lui (attention, il suffit d’une seule case non cochée pour que ça ne marche pas) — et les méchants — à savoir tous les autres — voués à la condamnation sans retour.
La pensée d’Onfray ne connaît pas plus de zone de gris qu’elle ne semble capable de simplement prendre en compte l’altérité des contextes culturels et historiques, ce qui est un tout petit peu gênant quand on prétend faire de l’histoire des idées.
Et ça c’est le domaine dont il est censé être un spécialiste, alors, effectivement, quand en plus il sort de ce cadre-là…
C’est tout à fait ça.
Le Plein de Super - Épisode 1
Avec deux compères nous avons décidés de revenir sur des épisodes ou des cycles qu’on aime et qu’on veut (re)faire découvrir. Pour ce 1er épisode, notre choix fut très rapide, on est parti explorer dans le moindre détail la sublime mini-série L’Escadron Suprême de Mark Gruenwald.
Pourquoi les super-héros ne doivent pas changer le monde ? Pourquoi l’enfer est pavé de bonnes intentions ? Pourquoi Civil War et Secret Identity peuvent dire merci à L’escadron ? Qu’est ce qu’il fout là John Byrne ? Pourquoi le Wheezer à la classe ? Pourquoi Tom Pouce est-il autant ridiculisé ? Pourquoi Power Princesse est une connasse ?
Tout autant de questions auxquelles on tente de réponse mais s’il y a une chose dont vous pouvez être certain c’est qu’il faut lire L’escadron Suprême.
Cool ! Faut que j’écoute ça
pareil.
Hésitez pas à me faire votre retour. On l’a fait vraiment à l’impro avec les moyens du bords (a réécouter il y a peu de grésillement sorry).