KOMIC STRIPS et Cie : les émissions web, télé et radio

Clap clap.

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Je pense aussi que la différence entre ultimates et usm ou uxm est eussi qu à l epoque avengers est dans le ventre mou des ventes.
D ou déjà ultimates et non ultimate avengers. Ça permet ainsi plus de liberté et à Millar d imposer la JLAisation des séries de groupe.
Ellis avait indiqué que authority était sa façon de se remettre en question.
Stormwatch ne décollait pas… et ellis avait quand même assez d avoir un taux d échec commerciaux (malgré le succès critique) il le supportait déjà mal à ses débuts (courrier dans hellstotm ou druid).
Il a donc apporté à son stormwatch ce qu il pouvait du succès commercial de la jla de morrison…

D’ailleurs, il me semble que c’est Millar qui a conseillé à Bendis de créer les New Avengers avec au casting les gros noms de Marvel façon JLA, non ?
Et pour continuer dans les idées du bon Mark qui ont fait florès, n’oublions pas non plus les Marvel Zombies dont la popularité repart de plus belle en ce moment !

L idée de millar était avec dd et d autres tête d affiche.
C était à un summit

Merci énormément pour ton message Marti. Ca fait plaisir à lire. Je vais prendre le temps de répondre à quelques points intéressants ce week-end mais encore merci

(prochain épisode : on file au Canada)

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Merci, ça m’a fait tout autant plaisir à l’écrire !

Le plein de Super est en feu puisqu’après Avengers Rassemblement le podcast consacré au cycle de Roger Stern sur les Vengeurs, voila qu’arrive un nouveau spin-off :

Byrne, baby, Byrne !

Si vous suivez nos émissions, vous savez à quel point on voue un amour sans borne au dessinateur et scénariste star des années 80. A tel point qu’on a décidé de lui consacrer plusieurs émission dans lequel on reviendra sur certaines de ses œuvres. Dans ce premier épisode, on part au Canada rejoindre La Division Alpha. Entre 1983 et 1985, John Byrne va effet s’occuper d’une série assez spéciale : une série sur une équipe de super-héros dans laquelle l’équipe n’est jamais réunies.

Qu’elle est la genèse de La Division Alpha ? Pourquoi est-on jamais mieux servi que par soi-même ? Comment l’a t-on découverte ? Est-ce que la série la moins aimée de son auteur n’est-elle pas une de ses meilleures ? Pourquoi je me réveille en pleurs encore la nuit en hurlant « Mac ! » ? Il fait bien chier son monde le Beyonder non ? Pourquoi la Division est-elle si chère dans le cœur des lecteurs français ? Qu’elle est le meilleur épisode de tous les meilleurs épisodes ? Sasquatch c’est un peu un connard non ? Pourquoi La Division Alpha préfigure-t-elle les premières séries d’Image Comics ?

Et encore tout plein de questions auxquelles on tente de répondre tout en déclarant notre amour à ces 28 épisodes qui nous enchantent encore et toujours

Il va bientôt y avoir autant de spin-off du Plein de Super qu’il y a de séries sur les X-Men

Hail to Nobody’s Favorite/Le Préféré de Personne dans lequel nous revenons sur des saga à travers les opus les moins appréciés.

Dans ce premier numéro on va arpenter les gratte-ciels de New-York avec notre tisseur préféré et on va discuter des films Spider-Man à travers Spider-Man 3 de Sam Raimi et The Amazing Spider-Man 2 de Marc Webb. L’occasion pour nous de revenir sur l’histoire de la création de ces films, de leurs soubresaut et, bien sur, de parler de Spider-Man : No Way Home en long, en large, en travers (traduction : on spoile !)

Pourquoi Sam Raimi était parfait pour adapter Spider-Man ? Comment le Tisseur est arrivé dans le MCU ? C’est quoi ce costume noir ? Pourquoi Andrew Garfield n’a pas eu de bol ? Quel est notre vilain le plus poucrave et pourquoi Venom ? Arrivera-t-on à caser Roger Stern et John Byrne durant ces deux heures (réponse : oui) et est-ce que No Way Home est bien ?

On va répondre à tout cela et à encore bien d’autres questions tout en disant tout le bien qu’on pense d’un de nos super-héros préféré.

Dans ce podcast/YouTube est tentée une cascade ambitieuse : dégommer le spiderman trois de raimi qui contient la plus belle scène d un film de super heros et encenser le spiderman trois de watts qui n en contient aucune !

Alors bien sur, la colonne vertébrale du bon gout craque méchamment, mais pas sans avoir mis fougue et verve dans l argumentation.

Rien que pour ça, mention honorable. Et tenez le coup les gars, j ai appelé l ambulance.

C’est le sublime paradoxe, un film qui a des scènes parmi les plus fortes du genre mais qui dans sa globalité reste blindée de problème absent des deux premiers opus

:love_you_gesture:

Des problèmes qu il est possible de voir comme des points forts, à l image de ce scénario «plus proche d une serie que d un film» et qui rend palpable à l’intérieur même du film la nature en série du super héros.

Vous avez par ailleurs du reconnaître la pauvreté de la mise en scène de watts - comment faire autrement ? en la recouvrant d un pudique «les réalisations de comédie sont moins tapes à l.œil»

Je salue l inventivité de l argument et petite pensée à kubrick.

Sourire

Laquelle ?

À moins que nemo ne fasse référence à une autre scène…

Bon, faudrait que je le revois, ce film, quand même.

Oui, bien sur, celle là.

Et les deux combats contre harry, comme le sauvetage de gwen sont dantesques.

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c’est une belle scène, mais c’est pas la meilleure scène d’un film héroïque. Les 3 premières minutes de cette scène c’est pour moi la meilleure scène de super-héros.

Certes l idée est puissante mais moins la réalisation aux ralentis quelque peu envahissant et cette gestuelle mal maîtrisée, à mon goût, qui n évite pas parfois le ridicule.

L arrêt des balles par les bracelets peut donner l impression de moulinets sans tonus et snyder dans la jl, à ce jeu, s en sort mieux.

Je me régale à rattraper mon retard sur vos podcasts (qui se révèlent pour moi être d’un très grand soutien moral en ce moment pendant que je repeins les murs de ma chambre).

Quelques petites remarques en vrac sur les émissions suivantes :

Sword of the Atom : Vous m’avez vendu la série ! Dommage que le TPB ne soit pas trouvable à prix peu élevé.
Votre liste d’autre héros réinventés dans des nouveaux contextes contient des cas assez pertinents et significatifs, peut-être manque-t-il juste le cas très marquant de Hex, la série qui envoie le cowboy Jonah Hex dans le futur. Vous dites aussi très justement que cette ficelle avec Hulk lors de Planet Hulk, et si l’on suit en VO les aventures du Titan de jade c’est de nouveau une direction de ce genre qui est prise actuellement. Je suis par contre étonné que vous n’ayez pas parlé des aventures de Hulk dans les années 70 dans le royaume subatomique de K’ai aux côtés de la princesse Jarella ! On peut légitimement se demander s’il ne s’agit pas d’une possible inspiration de Sword of the Atom. Finalement, les changements de statu quo sont un peu dans l’ADN de Hulk, puisque rien que dans sa courte première série de six épisodes il change de couleur et plusieurs fois de manière de se transformer ou de personnalité. On oubliera pas non plus les différents changements opérés sur le perso durant le run de Peter David, avec e Hulk gangster Mr Fixit ou le plus intelligent Prof.

Alpha Flight : Merci à vous, je dois me retenir depuis plusieurs jours de faire chauffer la carte bleue pour me choppe la première intégrale ! Quand on a connu l’équipe que par ses apparitions et/ou incarnations très ultérieures (à partir des années 2000 pour ma part), il est difficile de s’imaginer à quelle point l’équipe a pu être aussi novatrice dans ses concepts que passionnantes à suivre dans ses aventures par le passé !

The Untold Legend of the Batman : Très bel hommage à Len Wein, un auteur effectivement un peu trop négligé aujourd’hui, mais pas totalement oublié comme en témoigne la sortie de ses Swamp Thing chez Urban Comics. On a en effet un récit des origines qui se donne un droit d’inventaire qui a dû être une matrice pour pas mal de projets de ce genre qui ont suivi. Concernant le Alfred de Terre-2, il ne reste en fait pas longtemps avec de l’embonpoint puisqu’un an après son apparition dans Batman #16 (1943) il a droit littéralement à une cure d’amaigrissement dans Detective Comics #83 (1944) !

Grands merci pour vos retours. Ça nous fait chauds aux cœurs et ça fais du bien dans ce contexte morose

et rien de mieux qu’une tranche de rire pour lutter contre la morosité

Attention, attention, message de service. Suite à un problème indépendant de notre volonté, ce nouveau numéro du Plein de Super sera consacré à la plus nulle des ligues de justice, servie par une équipe créative médiocre et aussi peu drôle qu’un youtubeur parlant de comics avec comme résultat des histoires qu’on pourra difficilement oublier. Encore toutes nos excuses.

Qui sont J.M DeMatteis, Keith Giffen et Kevin Maguire ? Comment ont-ils créés la plus surprenante itération de la Ligue de Justice ? Qui sont leurs héritiers ? Est-ce Sue Dibny est enceinte ? Quel est la base du métier de super-héros ? Pourquoi le revival de l’équipe au début des années 2000 est une grande réussite ? Batman peut-il faire de l’humour ? Manga Khan a t-il bien pris ses pilules ? Booster Gold est-il sexy en costume de Wonder Woman ?

Et encore tout un tas de questions auxquelles nous répondrons dans ce nouvel épisode du Plein de Super placé sur le signe du BWA-HA-HA-HA

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J’ai justement fini l’écoute de cette émission cette après-midi, vous nous avez encore une fois régalé les gars !

Si la mise en place d’Infinite Crisis semble effectivement avoir stoppée les projets de retour de la Justice League International par Keith Giffen, John Marc DeMatteis et Kevin Maguire, le premier des trois n’en a pas tout de suite pour autant fini avec eux. Keith Giffen va en effet scénariser une série Booster Gold, mais aussi participer aux sept premiers numéros (sur vingt-quatre) de Justice League: Generation Lost ! Cette dernière sortait en 2010-2011 une semaine sur deux, alternant avec Brightest Day, et revenait notamment sur la relation de la JLI avec le Maxwell Lord revu et corrigé durant les préquels d’Infinite Crisis.

On notera une nouvelle tentative de relance du titre Justice League Interbational en 2011 dans la première salve de titres New 52. Dan Jurgens et Aaron Lopresti sont aux manettes, mais la sauce ne prend pas et la série s’arrête après douze numéro et un annual.

New 52 toujours, si la série Justice League 3000 est un rendez-vous raté entre la paire de scénariste formée par Giffen et DeMatteis avec Maguire, elle marque par contre la dernière pierre à l’édifice de la Justice League International par ces auteurs qui finissent pas y introduire des versions futuristes (et pas que !) de leur équipe fétiche. Cette série et sa suite Justice League 3001 sont inédites en France et c’est assez peu probable malheureusement qu’elles nous soient proposées un jour. A noter un cameo d’une version des personnages de Camelot 3000 se produit dans au moins un épisode !

Enfin, si vous voulez retrouver un peu de la saveur de la JLI, Giffen et DeMatteis ont réalisé chez Boom! Sutdios durant les années 2000 plusieurs mini-séries Hero Squarred rassemblées depuis dans un omnibus. Le ton rappelle beaucoup celui de leur série culte, avec un jeune homme confronté à une version super-héroïque et horriblement parfaite de lui-même venue d’un autre univers. En France la première mini-série est parue aux édition Bamboo, et c’est une véritable pépite à lire et relire qui n’a malheureusement jamais vu ses suites débarquer dans notre langue. A y réfléchir, il s’agit peut-être là du chaînon manquant entre JLI et The Wrong Earth d’Ahoy Comics qui cartonne pas mal en VO et, espérons-le, assez chez Delcourt pour que nous ayons ses suites.