Ce que nous faisons, mais souvent on découvre où non trop tard un très bon bouquin que l’on a pas eu le temps de lire perdu noyé dans la masse. Car il faut pas se leurrer, pour permettre à des titres d’exister en librairies il faut les lire et je ne connais personne capable de travailler et lire l’intégralité de la prod actuelle.
Et c’est tant mieux, mais j’admets être un peu sur la défensive, je suis devenu libraire après l’explosion de ces titres et aujourd’hui, de ce que je vois l’excitation n’est plus la même (après surement que ces titres sont pour un certains types de point de ventes comme les Sister qui fait ses plus gros chiffres dans les LeclercCarrefour et non en lib) alors oui il y a eu de l’appétence, pour ces titres, mais y en a t’il toujours autant ? Quand à plusieurs millions on parle de l’intégralité des plus de cent tomes des mondes ?
C’est un poil exagéré, je trouve, là c’est de la pur perte d’argent, c’est idiot. Même moi avec ma petite boutique (40m2), ça tient une semaine voir 2 dans les grosses périodes.
Ca c’est très rare, voir inexistant, dans ce cas là, le repré envoie les titres à travaillé par mail au libraire qui lui renvoi les quantités par mail. Par contre, le sabrage est beaucoup plus sévère de la part du libraire, car il ne voit qu’avec le pitch et les 2-3 planches données.
Tarde à leur répondre sur quoi ? Quel attaché de presse je n’en voit pas moi, jamais, ni n’en est au téléphone ou par mail.
Ca c’est pas de bol, ça arrive, mais pas si souvent parce que je pense que le gros du lectorat n’est pas si assidu que ça sur les sorties. A part sur un où deux titres/auteurs et encore.
C’est tout à fait vrai ça.