L’auteur, être solitaire évoluant sur les steppes arides de la bande dessinée… Seul ? Vraiment ? Pas si l’on compte sa femme, fiston n°1, jumeau n°1, jumelle n°2, le chat et puis tous les personnages de fiction avec qui il partage son quotidien ! Jerry Alone est loin d’être un lonesome cow-boy, devant faire face à mille dangers : réunion parent-prof, parties de cache-cache intempestives, bricolage malheureux du dimanche ou encore règlement de l’URSSAF…Jerry Alone c’est personne, et un peu tout le monde à la fois.
L’auteur, être solitaire évoluant sur les steppes arides de la bande dessinée…
Seul ? Vraiment ? Pas si l’on compte sa femme, fiston n°1, jumeau n°1, jumelle n°2, le chat et puis tous les personnages de fiction avec qui il partage son quotidien ! Jerry Alone est loin d’être un lonesome cow-boy, devant faire face à mille dangers : réunion parent-prof, parties de cache-cache intempestives, bricolage malheureux du dimanche ou encore règlement de l’URSSAF…
Jerry Alone c’est personne, et un peu tout le monde à la fois.
Je dénonce pas. Je dis juste qu’une aide qu’on a habituellement n’a pas été perçue. Après, est-ce que ma sénilité a aussi mis de côté cette observation …
Un chouette petit article retraçant une généalogie rapide de cette image :
Avec le repas de Thanksgiving (« À l’abri du besoin » / « Freedom from Want »), c’est une des peintures les plus parodiées dans la production de Rockwell (voire dans la peinture américaine récente : je songe au « Nighthawks » d’Edward Hopper ou au « American Gothic » de Grant Wood…).
Je ne résiste pas au plaisir de vous montrer une version que j’ai découverte ce matin et qui plairait assurément à un certain Blacki :