L’adaptation du corpus d’Edgar Rice Burroughs semble se préciser, puisque des infos semblent indiquer que Jean-David Morvan travaille avec Francesco Biagini sur une version bande dessinée du Cycle de Mars dont le héros est John Carter. Et tout commence avec La Princesse de Mars, qui serait un diptyque.
Un conquérant est né.
À la mort du chercheur d’or John Carter, on découvre dans ses papiers un manuscrit à la légitimité douteuse. Ses lignes composent un texte contant une suite d’étranges et fascinants événements que Carter aurait lui-même vécus il y a des années… Projeté mystérieusement sur la planète Mars après s’être réfugié dans une grotte, John Carter y découvre un monde merveilleux mais aussi terrifiant. Cette planète guerrière est divisée entre les martiens verts – étranges créatures à l’apparence reptilienne – et les martiens rouges – parfaitement semblables aux terriens. Pour survivre sur cette terre hostile, Carter réalise qu’il peut user de sa faible gravité. Elle décuple ses forces et amplifie considérablement son agilité. Ses incroyables facultés attisent la curiosité autant qu’elles forcent l’admiration des autochtones. L’aventurier intègre alors le clan des martiens verts, où il est certes respecté mais toujours captif. Son destin bascule le jour où il rencontre la princesse Dejah Thoris, une martienne rouge dont il tombe éperdument amoureux. Peu à peu, John Carter va apprendre les coutumes de Mars et finir par entièrement s’impliquer dans le violent conflit qui agite cette planète sans jamais oublier Dejah Thoris, qu’il va tenter de retrouver par tous les moyens…
La princesse de Mars est le premier tome du célèbre Cycle de Mars imaginé par le romancier Edgar Rice Burroughs. Dans ses récits de genre où l’aventure et le mystère sont rois, il ouvre les portes de mondes merveilleux aux parfums exotiques, riches d’incroyables bestiaires et de péripéties extraordinaires. L’adaptation de La princesse de Mars, menée par Jean-David Morvan au scénario et le jeune prodige italien Francesco Biagini au dessin, comptera deux tomes.
Jean-David Morvan sur son compte LinkedIn le 8 août 2023 :
Une page de chacun des 4 projet ERB à paraître au second semestre chez Glénat.
Par Rafa Ortiz, Fran Biagini, Roy Martinez et Gabor au dessin. Hiro Ooshima aux couleurs. Éric Corbeyran et moi, un peu… aux adaptations.
À la mort du chercheur d’or John Carter, on découvre dans ses papiers un manuscrit à la légitimité douteuse. Ses lignes composent un texte contant une suite d’étranges et fascinants événements que Carter aurait lui-même vécus il y a des années…Projeté mystérieusement sur la planète Mars après s’être réfugié dans une grotte, John Carter y découvre un monde merveilleux mais aussi terrifiant. Cette planète guerrière est divisée entre les martiens verts – étranges créatures à l’apparence reptilienne – et les martiens rouges – parfaitement semblables aux terriens. Pour survivre sur cette terre hostile, Carter réalise qu’il peut user de sa faible gravité. Elle décuple ses forces et amplifie considérablement son agilité. Ses incroyables facultés attisent la curiosité autant qu’elles forcent l’admiration des autochtones. L’aventurier intègre alors le clan des martiens verts, où il est certes respecté mais toujours captif. Son destin bascule le jour où il rencontre la princesse Dejah Thoris, une martienne rouge dont il tombe éperdument amoureux. Peu à peu, John Carter va apprendre les coutumes de Mars et finir par entièrement s’impliquer dans le violent conflit qui agite cette planète sans jamais oublier Dejah Thoris, qu’il va tenter de retrouver par tous les moyens…
La princesse de Mars est le premier tome du célèbre Cycle de Mars imaginé par le romancier Edgar Rice Burroughs. Dans ses récits de genre où l’aventure et le mystère sont rois, il ouvre les portes de mondes merveilleux aux parfums exotiques, riches d’incroyables bestiaires et de péripéties extraordinaires. L’adaptation de La princesse de Mars, menée par Jean-David Morvan au scénario et le jeune prodige italien Francesco Biagini au dessin, comptera deux tomes.
Ouaip c’est clair
JD nous en avait quelque peu parlé en off quand nous avions eu la chance de l’avoir en dédicace et c’est vrai que l’ensemble donne vraiment envie
Ouais.
J’aime pas trop, en général.
Je trouve qu’il parle très bien de son boulot et de ses albums, mais que ces derniers ne sont pas convaincants.
À quelques exceptions près à mes yeux, dont ça.
tout à fait et souvent au début de ce genre de collection tu as des auteurs prestigieux après ça commence à tomber un peu et puis tu reviens avec quelques gros noms que tu n’avais pu avoir avant.