Je l’ai donc trouvé et acheté. Et je m’aperçois que, dans le dernier rayon de ma partie Marvel de la bibliothèque, là où j’ai les titres en « W », ce cartonné ne rentre que s’il est penché. Ah zut.
Mais bon, bref : tracas de collectionneur, c’est pas bien grave.
En attendant, une lecture bien sympathique, qui m’a replongé dans une ambiance très années 1980 (quand Stern et Englehart étaient sur la franchise Vengeurs), avec un tandem de héros que j’aime bien.
L’histoire est assez sympa (bon, je n’ai pas tout lu de la série Wonder Man des années 1990, mais les flash-backs de Stern m’ont tout expliqué ou presque : comme quoi, l’écriture à la papa, ça a du bon), et s’appuie sur la continuité (avec son lot de flash-backs mais aussi de retours inopinés de personnages secondaires qui font toujours plaisir à revoir).
Le premier épisode, en plus de résumer la vie des deux héros (et c’est sympa de revoir des moments classiques sous les crayons dynamiques de Mark Bagley), raconte un détournement d’avion déjoué par le tandem, qui sont forts appréciés des passagers et des journalistes.
Les deux chapitres suivants voient les héros renouer avec la faune hollywoodienne. Stern s’appuie pas mal sur la série Wonder Man des années 1990, mais c’est facile à suivre. C’est d’ailleurs Simon Williams le moteur de l’intrigue et celui dont le portrait émotionnel est le plus travaillé.
Vraiment, une histoire sympa bien implantée dans la continuité, avec la présence de It et de Lady Lotus. Classique comme j’aime, et souriant.
Jim