l’époque où l’on savait en faire et surtout où l’on se donnait les moyens
(j’ai peu de film que je ne regarde qu’en VF mais Retour vers le Futur en fait partie)
(avec Die Hard et SOS Fantômes)
l’époque où l’on savait en faire et surtout où l’on se donnait les moyens
(j’ai peu de film que je ne regarde qu’en VF mais Retour vers le Futur en fait partie)
(avec Die Hard et SOS Fantômes)
Et les nouveaux doublages VF de ces mêmes films leurs sont généralement inférieurs (Le Parrain & Cie).
Je suis hardcore de quelques uns en VF, Retour vers le futur, Indy, Sos Fantômes et le surprenant mais excellent en vf (plus drôle qu’en VO) Hudson Hawk.
Ouais, je connais quelques passages en VO, mais l’avoir vu en entier en VO, je ne sais pas.
Jim
Ca me fait penser à une interview d’Astier qui disait que c’était son film favoris et qu’avec son père il pouvait se parler uniquement avec les dialogues du film tellement il le connaissait.
Ouais, je suis fan…
One overlooked aspect of Spielberg is that he’s actually a stealth master of the long take. From Duel to Tintin, for forty years, he has sneakily filmed many scenes in a single continuous shot.
Dans le port de Granville …
Il fallait en avoir l’idée !
Tori.
J’ai du mal à envisager qu’un petit malin ne se soit pas pointé avec un faux aileron x) .
ca se développe de plus en plus ce type de séance
Alexandre Astier parle des Dents de la Mer :
Et je ne résiste pas au plaisir de vous conseiller aussi ses propos sur Les Vieux de la vieille, de Gilles Grangier, parce que voilà, d’abord :
Jim
Merci pour le partage.
Pour ajouter à ce qu’il dit du plan sur le bateau, qu’on voit à la fin de la vidéo sur Les dents de la mer, ce qui change également dans le jeu des acteurs en fonction du rapprochement c’est le débit et la tonalité.
Au fond, les paroles se chevauchent, à mi-chemin, elles s’enchaînent, devant la caméra, elles s’espacent.
Et la voix devient de plus en plus posée, moins haute.
Ça ajoute à la clarté de l’information donnée par les personnages. Technique simple bien sûr et surtout efficace. La compréhension des enjeux se clarifie par la musique des dialogues et la position des personnages. L’association des deux rend la séquence très limpide pour le spectateur malgré le fait que ce soit bavard".
M’a donné envie de le revoir.
Alex Cormack
(on fait moins les malins, les mecs !)
Bon sang le stress ^^!
En attendant qu’il y ait un sujet sur le 2…
Laurent Durieux :