Le monde est en train de sombrer depuis plusieurs mois. Alors que les catastrophes naturelles s’enchaînent, un professeur d’école rentre chez lui et remarque, sans y prêter guère attention, un panneau publicitaire remerciant Chuck pour ses trente-neuf années de travail…
Après Jessie et Doctor Sleep, Mike Flanagan vient de terminer le tournage d’une nouvelle adaptation de Stephen King, La Vie de Chuck, d’après la novella publiée dans le recueil Si ça saigne (et vu l’histoire en question, je suis très intrigué par ce que pourra donner cette version ciné).
Comme toujours, Mike Flanagan sait très bien s’entourer, entre nouveaux venus et habitués de son oeuvre : Tom Hiddleston, Mark Hamill, Matthew Lillard, Kate Siegel, Karen Gillan, Jacob Tremblay, Mia Sara, Carl Lumbly, Molly C. Quinn, Chiwetel Ejiofor, David Dastmalchian et Heather Langenkamp font partie de la distribution.
That’s a wrap on THE LIFE OF CHUCK. This has been a tenacious little miracle of a movie from the start & I’m forever indebted to this wonderful cast and crew. This film is deeply special to me, and I’m elated that it’s going to exist in the world.
J’espère qu’il te fera changer d’avis.
Ce n’est pas un maître (ça se voit quand on compare ce qui est comparable, comme Misery avec son Gerald’s Game)… mais des maîtres, il n’y en a plus beaucoup dans ce registre.
Il a progressé et fait partie du dessus du panier depuis quelque temps.
Ok. Sur Netflix. Mais bon…
Là, je le crois capable de transformer l’essai.
Il me chauffe plus que tous les blockbusters prévus cet été. Je me demande comment le film s’enrichit par rapport à la nouvelle. ( Mia Sara n’avait plus été vue au ciné depuis quand ? )
Ça aurait été un sujet en or pour Spielberg.
Pour faire court , ce que j’en disais à la sortie (on aura le temps de décortiquer la nouvelle, les légers ajouts et quelques choix visuels plus tard ) : " C’est fou ça : on a lu la nouvelle, le film la remet presque à la virgule près…et on se fait happer quand même. Je pense même que le film est meilleur que l’écrit. C’est pourtant sage et anti-spectaculaire. Mais on sent l’âme et le cœur pulser. Parfois,c’est tout ce dont on a besoin. "
Non, la même construction. Avec un jeu sur les ratio de l’image ( un jeu qui sera totalement lu de travers une fois que le film arrivera sur les écrans de télés ).
C’est la même, et je pense qu’éclater les récits aurait été un choix d’adaptation beaucoup plus pertinent que cette retranscription excessivement littérale. Là, le mystère est vendu bien trop vite, je trouve que ça limite grandement l’émotion au cours du film malgré quelques jolies scènes et de beaux moment d’acting…