‘Although they say you can’t judge a book by its cover...’
The legendary Alan Moore on the cover artwork for his upcoming novel, The Great When. Illustration by the brilliant Nico Delort!✨ pic.twitter.com/LHRJE6iJ5k
— Bloomsbury Books UK (@BloomsburyBooks) July 18, 2024
Patrick Marcel, sur mon mur FB : Il est pas mal, j’en suis au tiers en VO, c’est très psychogéographie londonienne, dans le sillage d’Iain Sinclair et Arthur Machen.
J’ai le livre en main depuis quelques jours, une merveille, avec la tranche illustrée. Je ne me souviens plus du terme…
C’est très à la mode j’ai l’impression. Je suis passé voir mon libraire tout à l’heure et on avait une discussion à ce sujet (je constaté le truc sur l’édition anniversaire de Légende de David Gemmell, au passage si quelqu’un sait si les illustrations de Didier Graffet son inédite ou reprise de la précédente édition je suis preneur). Plein de livre en sont pourvu
Je me suis trompé, je ne pensais pas aux éditions de poche et je faisais référence à l’édition sorti pour les 10 ans de la première édition chez Bragelonne
Ouais je comprends. J’aime bien Le Lion de Macédoine (surtout la première partie en fait) mais le reste c’est du recyclée de chez réchauffée. Légende a pour lui un contexte créatif très personnel. Perso j’avais adoré le bouquin qui cumulé plein de truc que j’aime en particulier un siège massif et sans espoir de victoire pour ses défenseurs.
Moi non plus : je suis simplement allé voir quelle édition j’avais (je pensais l’avoir en grand format).
La quatrième de couverture de mon édition situe le bouquin quelque part entre Conan et Fort Alamo. Et c’est vrai. Et à mes yeux, moi lecteur qui n’aime ni les quête ni les constructions picaresques avec des successions de rencontres diverses et souvent déconnectées, c’était très agréable.
Avec l’idée de mettre en scène la dernière bataille d’un vieux soldat. Et ça c’est typiquement le truc qui m’a énormément plu (et Gemmell avait aussi un certain sens de la réplique qui faisait mouche).
Je me rappelle qu’a la même époque j’avais lu Les murailles de feu de Steven Pressfield, un récit historique sur la bataille des Thermopyles (mon premier contact avec cette histoire vu que je n’avais pas encore lu 300). J’ai vraiment un truc pour ses histoires. Ca remonte à mon premier visionnage vers 7 ans de Alamo de John Wayne. Le film et sa fin m’avait marqué