MAD MOVIES [Nouvelle Formule]

Sous l’impulsion de Fausto Fasulo, le rédacteur en chef de Mad Movies, le magazine va être relancé à la rentrée de septembre.

Mad Movies s’apprête à vivre une mue historique visant à vous offrir un magazine encore plus beau, encore plus (im)pertinent et encore plus dense. Nous vous proposons de participer activement à cette métamorphose grâce à des offres d’abonnement à tarif privilégié, dont celles couplées à un abonnement à la plateforme de SVOD FILMOTV. Une nouvelle façon d’aborder le cinéma en illimité, et qui vous garantit un accès à de très nombreux films pour l’équivalent de 8 € par mois ! Et, par la même occasion, vous en saurez plus sur le futur de Mad Movies : nouveaux hors-séries CLASSIC, lancement d’une collection de livres Mad Movies en librairie, renouveau du site, Internet. Maintenant, c’est à vous de jouer : soutenez Mad Movies nouvelle formule !
Plus de renseignements sur le site de financement participatif [Pour en savoir +]
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Bon forcément il n’est question que de proposer plus de contenu, plus de pages, une plus belle maquette, etc., rien de très nouveau lorsqu’il s’agit de faire l’article d’une relance.

Reste qu’à entendre le rédacteur en chef, ses propos m’ont fait penser à la revue ATOM, consacrée à la BD japonaise, et dont il est aussi le rédacteur en chef.

Et si Mad Movies arrive à s’inspirer d’ATOM, je crois que c’est une très bonne nouvelle. Pour le dire autrement, je ne lis que très peu de manga, mais à chaque parution, c’est avec un plaisir certain que je lis ATOM. Comme ce qui est promis dans la nouvelle version de Mad Movies, les créateurs sont au cœur d’ATOM.

Bref, les 150 % ont été dépassés, et je crois que c’est une bonne nouvelle !

Il faut dire que c’est un magazine de qualité, avec de vrais (et conséquents) articles. Ça manquait vraiment dans le milieu du manga (il y avait bien eu l’expérience du Virus Manga il y a quelques années, mais ce fut un pétard mouillé… Et il n’atteignait pas la qualité d’ATOM).

Tori.

Je lis Mad Movies depuis 20 ans.
J’aime toujours ce magazine même si je le trouvais moins bien ces derniers temps.
Même si je préfère L’Ecran Fantastique.

Néanmoins,je reste un fidèle du magazine qui a beaucoup enrichi ma culture cinématographique.

Par contre le forum conspirationniste…Merci bien.
Je n’existe pas;je suis un compte bidon créé par le FN.
Oui,je suis un AKA du Fantôme Noir.

Tiens en parlant de la nouvelle formule, il y a eu un doc en cinq parties très passionnant sur l’histoire du mag

https://vimeo.com/283175236

Ce rédac. Chef, il voudrait pas se ré-intéresser aux comics, en proposant un nouveau magazine ?
(Je peux rêver à haute voix, non ?)

Quand j’ai découvert le premier numéro d’ATOM, c’est exactement à ça que j’ai pensé.

Vu la notoriété du sujet, je pensais que quelqu’un avait eu le temps de l’annoncer, en tout cas Mad Movies sort un hors-série sur Stephen King.
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Tous les renseignements sur ce financement participatif sont disponibles sur la page ulule dudit projet.

Petite précision pour ceux qui ne suivent pas cette collection de magazines, ils sortent également via le réseau presse.

Le hors-série est d’ores et déjà financé, bientôt dans le réseau presse (et chez eux, pour les souscripteurs) :
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Mad Movies lance une nouvelle campagne sur Ulule, mais pour Conan le Barbare :

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Lancé hier, le projet est à 41% (objectif : 400 préventes)

ça me fait penser que je dois récupérer les n°sur Stephen King et Terminator.

Sortie aujourd’hui :

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Encore une campagne Ulule pour Mad Movies, en mode SW :

[…] Le neuvième et dernier épisode, Star Wars : L’Ascention de Skywalker , vient de sortir en salles le 18 décembre 2019. Il vient clôturer cette immense saga, indissociable de l’Histoire du cinéma.

À cette occasion Mad Movies propose une nouvelle édition du hors-série Star Wars qui était paru en 2015. L’édition 2020, revisitée et augmentée, comptera 196 pages. Elle sera déclinée sous deux formats, comme pour tous les nouveaux Classic désormais : la reliure magazine traditionnelle et la très belle reliure cartonnée sous forme de livre. Cette édition Redux inclut donc les deux derniers épisodes de Star Wars qui n’avaient pu être traités en 2015, les deux spin-off Rogue One et Solo, ainsi que la toute nouvelle série en cours de diffusion aux USA, The Mandalorian, qui inaugure une nouvelle façon d’exploiter tout l’imaginaire de Star Wars à travers la plateforme de SVOD Disney+.

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Visiblement, cela fonctionne bien puisque Mad Movies remet ça à partir d’aujourd’hui, cette fois sur James Bond :

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Créé dans les années 50 par Ian Fleming (1908-1964), dandy anglais conservateur et misogyne, le personnage de James Bond, affublé du matricule 007 qui indique son permis de tuer, est l’un des meilleurs agents du MI6, le service secret de Sa Majesté. Un espion endurant, cynique et sans états d’âme, capable d’affronter tous les dangers et les pires ennemis, quelles que soient ses missions. Mais il est aussi hédoniste, amateur de bonne chère et de très jolies femmes. Il s’épanouit pleinement dans les univers les plus luxueux et les plus exotiques.

Bons baisers de Russie

Dans les années 60, la compagnie de cinéma anglo-saxonne Eon Productions s’empare des droits des romans de Fleming et décide de développer la franchise James Bond au rythme d’un film par an. Cette société de production a toujours été dirigée par le même clan familial, celui d’Albert R. Broccoli et Harry Saltzman, auxquels ont succédé Barbara Broccoli, la fille du premier, et Michael G. Wilson, son demi-frère.

Goldfinger
Aujourd’hui, ce ne sont pas moins de 25 films qui ont été produits autour du personnage de Bond, mêlant action trépidante et aventures extrêmes, avec une bonne dose humour so british et des effets spéciaux dignes des meilleurs blockbusters américains. Avec ses divines James Bond Girls, ses méchants cruels et ses multiples gadgets, l’agent 007 est devenu le héros récurrent de la plus belle franchise du cinéma d’espionnage. Portés par un thème musical unique entré dans l’inconscient collectif thème et composé par Monty Norman – puis magistralement réorchestré par John Barry pour James Bond 007 contre Dr. No –, tous les films de la saga ont mis en vedette de célèbres artistes musicaux à l’occasion de leur générique, de Shirley Bassey à Billie Eilish en passant par Madonna.

Rien que pour vos yeux

Plus de 4 milliards de spectateurs à travers le monde ont vibré au rythme des aventures de James Bond, incarné par de talentueux comédiens qui ont apporté leur personnalité à l’agent 007. De Sean Connery à Daniel Craig, l’espion au permis de tuer n’a cessé d’évoluer avec son temps.

L’Homme au pistolet d’or

Mad Movies a voulu vous raconter toute l’histoire et les secrets de cette immortelle saga à l’occasion de la sortie, le 8 avril 2020, de son tout dernier opus , Mourir peut attendre . Le réalisateur Cary Joji Fukunaga signe là le 25e James Bond , qui marquera également la dernière apparition à l’écran de Daniel Craig dans le costume de 007.

Casino Royale

Ce hors-série Classic James Bond viendra enrichir la collection des Mad Movies Classic, et sera édité en deux versions, comme il est désormais de coutume : la première en couverture magazine souple, la seconde en édition COLLECTOR à couverture reliée et cartonnée.

Un volume de 180 pages de textes inédits et de photos sélectionnées avec soin pour un ouvrage appelé à devenur une référence majeure dans votre bibliothèque d’amoureux du cinéma de genre sous toutes ses formes.

Les gars, le Slaher, ça vous parle ? Mad Movies lance un HS sur le sujet, en commençant par la case Ulule :

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SLASHER (n.m.) Définition :
Expression anglo-saxonne désignant un sous-genre du cinéma d’horreur apparu en Amérique du Nord au milieu des années 70. Tirée du mot To slash , verbe qui signifie taillader, balafrer, ou frapper à l’aide d’un objet coupant, la « formule » slasher repose sur des codes précis et trois éléments constitutifs :
1/ Un tueur, le plus souvent masqué, imposant et traumatisé, adepte de la pose iconique et dont les motivations personnelles oscillent entre la vengeance crasse et/ou le sadisme pur.
2/ Une arme, principalement blanche, dont la symbolique phallique n’est plus à démontrer et qui permet de pénétrer les victimes avec plus ou moins d’efficacité suivant les aptitudes physiques du meurtrier et le type de lame choisi.
3/ Une victime, féminine ou masculine, même si la frustration hétérosexuelle du tueur le dirige plus volontiers vers des cibles du sexe dit faible. Souvent volages, les proies potentielles sont le reflet de tout ce que le meurtrier ne peut être ou ne peut posséder.
Lectrices, lecteurs, regardez donc bien derrière vous…

LE SLASHER PAR MAD MOVIES

En avril 2011, un hors-série SLASHER signé Mad Movies était apparu dans les kiosques, armé de ses 116 pages aiguisées et de l’intention inflexible de réhabiliter un genre horrifique mal-aimé et parfois sous estimé, mais pourtant essentiel pour le cinéma de genre. Aujourd’hui, comme dans toute saga à base de psychopathe masqué et armé, ce hors-série SLASHER revient lui aussi dans une nouvelle édition augmentée, corrigée, remaquettée et actualisée. Encore plus fort, encore plus complet.

Epuisé depuis belle lurette, le premier hors-série SLASHER renaît donc aujourd’hui de ses cendres . Agrémenté de 32 pages supplémentaires (ce qui en fait donc un beau bébé de 148 pages ), parmi lesquelles un panorama du slasher entre 2011 et aujourd’hui, une étude des mutations télévisuelles du genre, et un rappel de ses excursions vidéoludiques. Autant de nouvelles entrées qui viennent complêter les dossiers existants, dont certains ont été revisités de fond en comble. Le tout soutenu par une maquette plus actuelleet une iconographie repensée. Enfin, une double édition de cet ouvrage sera disponible au choix, soit en couverture magazine souple, soit en Collector à reliure cartonnée .

Et comme tout boogeyman qui se respecte, ce hors-série SLASHER dispose d’une arme de prédilection : un pack avecle DVD de l’excellent The House on Sorority Row de Mark Rosman, édité par Extralucid Films et qui était était jusqu’alors totalement inédit en France. C’est la première fois qu’un hors-série Mad Movies sera présenté en pack avec un DVD. Une façon de saluer la reprise volontaire des parutions Mad Movies après la crise.

LE SLASHER, UN GENRE ULTRA POPULAIRE

Né officiellement en 1974 avec le précurseur Black Christmas de Bob Clark, définitivement intronisé en 1978 par le cultissime Halloween de John Carpenter, « industrialisé » en 1980 par le roublard Vendredi 13 de Sean S. Cunningham, le slasher a marqué les années 80 par son approche frontale et ouvertement commerciale et populaire de l’horreur. Les racines du slasher sont pourtant plus anciennes : dès 1971 dans le culte La Baie sanglante , un certain Mario Bava décimait sadiquement son casting à grands coups de meurtres ultra graphiques (qui feront de célèbres émules du côté de Crystal Lake). Et en 1960, le maître du suspense lui-même, Alfred Hitchcock, mettait en scène une mystérieuse tueuse décimant à l’arme blanche les occupants d’un motel dans le célébrissime Psychose . L’art du meurtre est cinématographique, par essence. Le slasher en a fait un produit de consommation à destination d’une jeune génération avide de frissons, avec une formule quasi immuable : un groupe de victimes confronté à un tueur insaisissable adepte de toutes sortes d’armes tranchantes, perforantes ou contondantes. Ses ingrédients les plus communs : un body count généreux, des mises à mort gore, d’habiles montées de suspense, des actrices dénudées. Un cahier des charges qui n’a pas manqué de faire réagir les ligues de vertu et les comités de censure. Et qui n’a jamais cessé de se faire le reflet de l’évolution des mentalités et des modes cinématographiques.

Le slasher a depuis fait son trou : il ne cesse de revenir, par vagues successives. Aux films cultes des années 80 ( Rosemary’s Killer , Meurtres à la St-Valentin , Carnage , Massacre au camp d’été , The House on Sorority Row …) a succédé dès 1996 une nouvelle vague menée par le Scream de Wes Craven, qui a enfanté à son tour une foule de néo-slashers plus ou moins métas, dont les plus célèbres demeurent Souviens-toi… l’été dernier ou Urban Legend .
L’avènement des séries télé a ensuite permis au genre de s’engouffrer dans la petite lucarne : les séries Scream , Scream Queens ou American Horror Story: 1984 perpétuent la tradition en maniant un langage scénaristique renouvelé.

De ses icônes les plus célèbres (Michael Meyers, Jason, Ghostface) à ses représentants les plus obscurs, de ses démêlées avec la censure à ses déclinaisons les plus exotiques, de ses racines insoupçonnées à ses avatars télévisuels contemporains, vous saurez tout sur le genre grâce à ce hors-série SLASHER révisé et augmenté, disponible en couverture souple et en édition collector cartonnée, accompagné en option du DVD The House on Sorority Row . Une plongée au cœur d’un genre horrifique majeur, 148 pages d’ultra-violence, de sexe et de pure folie !

Exemple d’article :

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Réédition avec mise à jouir.

Hâte de le (re)lire.
Hâte pour le Bond aussi.

joli lapsus… ~___^

Tori.

Une de mes blagues récurrentes.

Avec « j’ai la vue qui baise »…

Sa place est dans un musée … ou pas.

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Celui-là et le James Bond…
J’ai hâââte.

Et maintenant, Clive Barker :

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