Dernier jour (169%)
12183 euros, soit 187% de l’objectif de base. 263 contributeurs.
Dommage pour les 200%…
Mais je me doutais un peu qu’on ne les atteindrait pas.
Tori.
Bon, je crois que c’est ça, la notification Mondial Relay qu’on a eu, @soyouz !
Tori.
Ah oui voilà. Bien deviné
Déjà récupéré dans mon cas, ma femme était contente de l’avoir maintenant faut qu’elle le lise xD
Il est mougnon,ce renard.
Il est juste énorme ce volume. Je ne m’y attendais pas.
Ah la version anglaise est déjà mastock. Pour peu qu’ils rajoutent des bonus ou qu’ils aient un façonnage plus épais, et ça fait un gros bébé, ouais.
Jim
En tout cas, la couverture a fait réagir positivement tout le monde à la maison. Même la toute petite.
Tu as choisi laquelle ?
Jim
La L.L
Effectivement, elle marque.
Jim
Je suis arrivé trop tard à Orléans… J’irai chercher mon (gros) colis lundi.
Tori.
MARNEY LE RENARD figure dans la sélection BD du Prix Maya 2023
Nous sommes ravis de voir que le chef d’œuvre de John Stokes et Scott Goodall figure parmi la liste des nommés pour le prix Maya !!! Une excellente occasion pour nous de vous rappeler que le titre est toujours disponible en librairie (et sur notre site internet) et que le prix a déjà été remis à de superbes publications.
Si vous souhaitez en découvrir plus sur les sélections passées : prixmaya.org/
Cool.
Jim
Cet album traînait dans ma PAL depuis un peu trop longtemps, je l’en ai enfin sorti et j’ai passé un très bon moment de lecture. J’aime beaucoup cette période de la bande dessinée britannique dont j’avais lu certains représentants à l’époque des petits formats et je crois même être tombé sur des pages de Marney puisque la couverture de Bengali postée plus haut (et reproduite dans cet album) me dit quelque chose.
J’ai juste adoré les dessins de John Stokes, d’une grande finesse, d’une grande minutie dans les détails (aussi bien pour la nature superbement décrite, la ville, les textures des costumes…) et très expressif sans verser dans l’anthropomorphisme.
Sur la longueur, certaines péripéties peuvent être un brin répétitives (et il en arrive des ennuis à ce pauvre renard, c’en est parfois déprimant) mais je n’ai pas trouvé cela rédhibitoire tant le parcours de vie de Marney est un beau et souvent palpitant récit de survie dans des conditions difficiles (et heureusement, tous les humains qu’ils rencontrent ne sont pas bêtes et/ou méchants). Son évolution est intéressante, notamment lorsqu’il devient le mentor de renardeaux (très beau passage) et après une terrible épreuve de plus, la dernière case fait plaisir.
Les articles bonus complètent très bien la lecture et la traduction est excellente (les dialogues sont fluides, les noms des différents animaux sont très bien trouvés…et Jim aussi glissé le genre de clin d’oeil qui me fait sourire comme le « tisane de tisane » prononcé par l’un des protagonistes ^^)…
Hahahahaha, m’en souvenais pas.
J’aime bien ce genre de jeu de références…
Un plaisir à faire : la trad, l’article…
Jim
Ca vient de quoi ?