THE FINAL DOCTOR STRANGE STORY! The Sorcerer Supreme makes his final journey through a cyberpunk sprawl that forgot about magic! Reteaming the critically-acclaimed creative team of LEAH WILLIAMS (GWENPOOL STRIKES BACK) and FILIPE ANDRADE (ABSOLUTE CARNAGE: IMMORTAL HULK)!
ERIK LARSEN (W) • ERIK LARSEN (A) • Cover by RAHZZAH
Variant cover by ERIK LARSEN
THE FINAL CAPTAIN AMERICA STORY!
Steve Rogers fights for survival in a post-apocalyptic wasteland populated by hordes of Red Skulls! Legendary writer/artist Erik Larsen (SPIDER-MAN, WOLVERINE, NOVA) returns to Marvel for an oversized last tale of Simon & Kirby’s American Hero!
C’est sympa’. Un peu rapide sur la fin, mais sympa’.
Kelly Thompson s’amuse à reprendre le principe du biper et de l’appel à Captain Marvel perdue dans l’espace… pour acter le destin de Carol, en 2051. A une époque où la Terre a été ravagée depuis des années, et une catastrophe où Carol était absente. Carol s’occupe depuis, rongée par la culpabilité. Mais des survivants sont encore là, l’appellent, et elle découvre plusieurs héritiers et jeunes héros devenus grands. Elle croise même une Jessica Drew vieillissante. Elle aide tout le monde à vaincre un monstre, mais voit que le monde est ravagé par l’absence de Soleil. Carol se sacrifie ainsi, en relançant le soleil, consciente que si elle n’était pas là quand ses amis sont morts… c’est pour être là pour donner une chance à l’Humanité, là.
Ca se lit bien. Ca peut sonner comme une forme d’au revoir de Kelly Thompson au personnage et à la série, car elle reprend beaucoup d’éléments de ses numéros. Ca m’embêterait, car j’aime sa prestation, mais c’est un bon numéro, là. Un peu trop rapide et « facile », en fait, car l’absence d’explication sur la raison du massacre est un peu gênante, comme le name-dropping un peu trop lourd, parfois. Mais ça reste très agréable, très maîtrisé dans la caractérisation et les interactions. Le final est ultra prévisible, mais ça fonctionne ; c’est touchant.
Carmen Carnero illustre ça joliment et efficacement. Un bon numéro ; pas le meilleur The End, pas une fin parfaite, mais une fin qui comprend bien son personnage et le sert. C’est déjà bien.
Un numéro raté. Leah Williams écrit mal un The End lourd, maladroit, désagréable. Le contexte futuriste est à peine évoqué, j’ai eu l’impression de n’avoir pas tous les éléments pour comprendre… et surtout, ce qui est raconté n’est vraiment pas intéressant. D’autant que Stephen est très mal écrit, aussi.
Tout tombe à plat, tout est mal fichu. Filipe Andrade illustre ça joliment, c’est le seul point positif de ce machin vraiment raté. Pouah.
Dans un futur pas daté, Dr Strange est un vieil homme seul, avec une IA féminine qui essaye de le conseiller. Des bandes de jeunes viennent l’emmerder, car ils le prennent pour un bouffon après une « fameuse » vidéo où il aurait été humiliée ; on n’en saura pas plus.
Dr Strange se rend compte que la Magie disparaît pleinement, et veut la ranimer. Il récupère les ossements de Dr Voodoo, Wanda et d’autres pour revenir dans le monastère de l’Ancien, pour ranimer la Magie… en se sacrifiant lui-même, après avoir sacrifié aussi la statue mystique de Wong.
Cela ramène la Magie, mais libère aussi Illyana, l’apprentie de Dr Strange retenue dans une dimension cosmique sans qu’on sache pourquoi ou comment. Illyana retrouve le Sanctum Sanctorum, prend la suite de Dr Strange, désormais sous la forme d’une statue mystique, comme Wong.