mm?
oui oui… 
Je ne me lasse pas des aventures de Ginko. Dans ce cinquième tome, cinq nouveaux chapitres qui nous font voyager. Toujours 4 pages couleurs par chapitre d’une beauté exceptionnelle. Les graphismes sont toujours aussi particuliers mais collent parfaitement à l’esprit du manga : léger, enivrant et poétique. Je le répète, ce manga est à posséder ! Vous lirez des récits frais, magiques avec une pointe de mystère. Cette série peut se suivre à n’importe quel volume, et nous narre les différentes rencontres de Ginko au rythme de ses voyages.
Les sujets abordés avec subtilité dans ce tome, sont : la résurrection, la prescience, l’importance des liens familiaux, l’amnésie et le fait de faire du mal alors que l’on voulait faire le contraire.
Mushishi du grand art.
Après 9 ans de publication, Mushishi se terminera dans le numéro d'octobre du magazine Afternoon (Kodansha).
Eh bien, moi qui m’attendais à une série longue, c’est assez surprenant ça ^^.
Enfin bon ça veut dire qu’il ne reste plus que 2 tomes à sortir en France, vivement leur sortie !!
J’étais sûre d’avoir déjà lu cette news. ça ne devait pas être ici « o »
[quote=« Bloodysatch »]Eh bien, moi qui m’attendais à une série longue, c’est assez surprenant ça ^^.
[/quote]
Oui enfin 9 ans de publication quand même hein 
Mais ca reste bien dommage, j’aurai aimé en avoir un peu plus, voilà une bonne série qui s’arrête alors que des trucs moyens voire pire continuent encore et toujours 
et ça continue encore et encore, c’est que le début d’accord d’accord…
Content de l’avoir arrêtée au tome 5, cette série. J’aurais jamais tenu jusqu’au 10.
Oui enfin 9 ans de publication quand même hein
Mais ca reste bien dommage, j’aurai aimé en avoir un peu plus, voilà une bonne série qui s’arrête alors que des trucs moyens voire pire continuent encore et toujours [/quote]
mais c’est pas négatif la fin d’un manga ! je préfère 100 fois un manga court avec une histoire qui se tien bien qu’un manga long qui se perd dans toujours plus d’arc inutiles juste parce que ça rapporte !
si mushishi s’arrête c’est surement que Yuki Urushibara n’a plus rien a dire sur le sujet, elle vas pouvoir chercher un nouveau concept et revenir avec une série encore mieux
non… pas Francis Cabrel… ImageShack - Best place for all of your image hosting and image sharing needs
quoi, c’est très bien francis cabrel…
(lol le smiley)
T’as bien raison car ça n’évolue pas beaucoup, donc si t’aimes pas le début…
M’enfin Caius n’a pas tort non plus, ceci dit 2-3 trois volumes de plus n’aurait pas été pour me déplaire. J’espère que la conclusion sera bonne, les mangas avec une bonne fin étant presque rare
Peut-être que Ginko va se transformer en mushi ^^…
Si c’est le cas, je pense que je me débrouillerais quand même pour lire le dernier chapitre…
Si si, ici^^
Ah ouiiiii, merci ^^ Je ne suis donc pas si folle 
Oui, enfin, ça prouve rien 
J’aime beaucoup cette série, mais paradoxalement je suis contente qu’elle se termine … J’espère que la fin sera à la hauteur du reste .
Double post, je sais mais c’est pour la bonne cause
Mushishi 1 à 10 (intégrale):
Voilà un manga qui contraste complètement du reste de ma collection. Pourtant, cette série est loin d’être en reste tant elle regorge de qualités.
En dehors du dessin très joli et personnel (c’est assez rare pour le souligner), sa qualité principale est sans conteste possible l’ambiance qu’elle dégage, à la fois calme et envoutante.
L’histoire, ou plutôt les histoires, bien qu’axé fantastiques de par la présence en masse des mushi (créature ni mortes ni vivantes, du domaine du surnaturel) ont également un côté réaliste, surtout au niveau des intervenants, de leur caractère et de leurs réactions face à la découverte des mushi. Bien sûr, toutes les histoires ne sont pas du même niveau mais il n’y en a pas une seule dans laquelle je me sois ennuyé.
Bien que la plupart des histoires ne font qu’un chapitre, cela n’empêche pas qu’elles soient, pour la plupart, bien exploitées.
La lecture est donc plutôt souple bien qu’il soit difficile de s’arrêter en plein milieu d’un tome tellement on est plongé dedans.
Le rythme est lent, je me suis donc mis à lire plus lentement que d’habitude pour adapter mon rythme de lecture à celui de la narration. D’ailleurs, je pense qu’on passera complètement à côté de l’ambiance dégagée par le manga si on se met à le lire vite.
Et oui, Mushishi est un manga qui se savoure et à chaque fin de tome, c’est le même sentiment d’apaisement qui ressort.
Bref, je ne taris pas d’éloge à l’égard de ce manga, mais il le mérite vraiment selon moi. Un manga totalement atypique, envoutant, magnifique et donc excellent voir même indispensable.
9/10
Mushishi tome 1 à 5
Un manga comme on en fait peu, tout à fait dépaysant et rafraichissant. Généralement, je suis vite lassé par les mangas qui ne se composent que d’une succession d’histoires indépendantes, sans aucun fil conducteur. Et Mushishi est sans hésitation l’exception qui confirme la règle : chacune des histoires est une aventure à elle toute seule, un voyage onirique et sensible, qui enjoint le lecteur à arrêter sa lecture et à réfléchir quelques instants sur ce qu’il vient de découvrir.
Si au départ l’imagination foisonnante de Yuki Urushibara peut dérouter, on s’habitue très rapidement à l’atmosphère de Mushishi, au point même de regretter parfois de ne pas vivre dans le même monde que Ginko, de ne pas suivre ses traces comme apprenti mushishi. Un univers envoûtant, donc, qui séduit par la musicalité et la paix qui s’en dégagent, parfaitement retranscrites par un graphisme à la fois soigné, simple, et magnifiquement incertain, fragile, comme peuvent l’être les plus grands poèmes. Mushishi est également un manga qui, s’il s’éloigne énormément de la réalité que l’on vit quotidiennement, s’y raccroche par les messages que son auteur cherche, par ci par là et sans aucune insistance ou redondance, à transmettre.
Bref, tant sur la forme que sur le fond, Mushishi m’a enivré. Très belle acquisition de la part de Kana, dont l’édition, loin de dénaturer l’oeuvre originale, la sublime : des couvertures superbes, une traduction irréprochable, plusieurs pages couleurs pour chaque chapitre …
A posséder.
9/10
Ah tiens, le tome 5. C’est justement là que je me suis arrêté pour revendre la série (je n’ai même pas eu la force de lire ce tome 5 jusqu’au bout et j’ai tout revendu sans même l’avoir terminé).
Je n’ai définitivement pas une âme de poète.
Mais je ne dirais pas que c’est mauvais pour autant. Je ne faisais juste pas partie du public-cible, c’est tout.