Pareil.
Ça c est l argument 38.
On connaît.
Je te répond avec l argument 13.
Oui mais je n’ai que le même son de cloche :3
Si tu as aimé le rythme de ultimate spiderman, il n y a pas de raison que les avengers te déçoivent de ce côté là.
Je pense encore que ses avengers traitent du propre sentiment d illegitimite de bendis quant à scenariser l equipe.
Ainsi une thématique court sur son run : l hubris de s approprier le nom des vengeurs.
Ainsi l on suivra successivement stark, osborn, luke cage tous cherchant à s accaparer le nom puis echouant du manière ou d une autre à en rester le detenteur, seul cage echappant à la chute en renonçant de lui même à porter le nom.
Ce fil rouge donne une unité bienvenue à la prestation qui peut etre inegale par ailleurs.
Mes preferences vont aux periode post secret invasion, dark reign et heroic age, ainsi qu au retour final d osborn.
Au delà du goût personnel, le run de bendis inaugure une periode historique chez les big two : jusque là, l univers partagé etait un espace où cohabitaient différentes histoires narrees dans les séries. Durant cette periode les rapports entre le temps/histoire et l espace/lieu s inversent. Desormais, l univers partagé sera l histoire et les différentes series deviennent des lieux, des point de vues pour la suivre.
On peut aimer ou non, mais cela est une vraie nouveauté dans le comics de superslip et on ne peut pas la balayer d un simple j aime, j aime pas.
Dans ce nouveau dispositif narratif, les series de bendis jouent un rôle clef en fixant le rythme non d une serie mais d un univers narratif et personnellement, je trouve l évolution assez organique d une phase à l autre.
Pour ce qui est du coeur émotionnel des avengers qui, un temps dans la serie, tournait autour de vision et wanda, puis par exemple pour un run plus court autour du black knight et circé, durant la periode bendis, le rôle est devolu à cage et jessica jones.
Pour le coup, bendis arrive à integrer la qualité dans la description des rapports humain propre à la serie alias à l interieur des avengers vis à vis de tout ce qui concerne le couple. C est une reussite du run, les personnages ayant une vraie évolution, se confrontant pour de vraies raisons, s eloignant puis se rapprochant en fonction de considerations melant à la fois l humain realiste et le super heroique.
Enfin, jim note que bendis ne sait pas utiliser la technique des subplots si utile pour alimenter la dimension feuilletonante du superslip, c est vrai d un côté et faux de l autre.
Vrai, parce qu il n y a pas de subplots à l interieur d un episode, faux parce qu à l echelle de la décompression, il y en a bien, mais consituer d episode entier amorçant des histoires qui ne se poursuivront que bien plus tard, notamment concernant sentry et ultron.
Pas sans defaut, propre à l ecriture de bendis qui se degrade entre dd et avengers, mais qui est du niveau de ses ultimates spiderman, le run de bendis est donc bien un run historique et pas seulement pour son nombre de numéro, mais egalement pour l introduction d une nouvelle forme de narration dans le genre super heroique tant au niveau de la forme, la décompression, qu au niveau editorial, l univers partagé comme histoire continue.
À ce titre, difficile de passer complètement à côté.
Euh … si !
(argument 28)
Une mini-série de trois numéros aurait suffi.
(Ils sont fatiguants, ces scénaristes qui écrivent des comics afin d’éviter de payer un psy…)
Jim
Et ça me coute de l argent au lieu de m en rapporter, en plus !
Tu n’aime pas Tom King toi j’imagine
Y a Remender aussi …
Jim
C est nick fury vs shield en moins bien et qui va te faire d’hydra un truc qui remonte a l antiquite ou je saus plus (bref le shield, les invaders quels nazes… n importe qui a battu hydra)
On te sacrifie val de fontaine pour … euh rien
Faut pas aimer non plus claremont, dematteis, gerber, starlin…
Diable, qui a réveillé le Mallrat ?
Il me parait tout énervé.
Avec des personnages assis qui sont débriefés.
Parfait pour les insomnies.
Hé bin ça se voyait quand même vachement moins. Ouais, Starlin est obsédé par la Mort, ouais ouais. Mais il en tire des histoires denses et généreuses. Et plus variées qu’on ne croit. Etc etc.
Jim
Stzrlin ca se voit
Watlock c est une periode depressive
Claremont ou dematteis reviennent toujours sur les memes trucs
D ailleus sur les 20 dernieres annees ca se voit autant sue les nouveaux
Et gerber ou mcgregor aussi des qu ils ont en indés
Je pense que le souci c est plus les ediyors et publishers…
A chercher du pitch… tu vois beacoup plus les obsessions
Mais revenir sur les mêmes sujets, ce n’est pas comme établir un discours sur le personnage qui devient une projection des angoisses. Slott qui grandit ses personnages, par exemple, ce n’est pas pareil que Remender qui met en scène des complexes de paternité et de filiation. D’un côté, il y a un discours de l’auteur sur le genre, sur le personnage. De l’autre, il y a un discours de l’auteur… sur l’auteur.
Qui plus est, chez Remender, ça prend aussi une forme narrative : la construction en course-poursuite perpétuelle, par exemple, ça devient rapidement gonflant. Soit tout le monde court, soit les méchants papoptent.
Remender, c’est l’exemple typique du scénariste à qui l’on devrait interdire l’usage de la voix off.
Jim
Tu fi is quand meme par un boulot d editeur
Pour moi c est eux qui encadrent pas assez
« Tu fais fi » avec le clavier de mallrat, c est quelque chose ou je n ai rien compris ?
Tu as mal écrit. C’est « tu fi is ». C’est quand même plus clair.
Le « par » m intrigue.