Ce N°1 est de nouveau disponible en kiosque…
Il y a deux couv’ différentes, avec chacune sa pièce, comme pour le numéro 574.
J’ai pris la deuxième.
Tori.
Dans l’ensemble, un numéro meilleur que le précédent. Le passé de Picsou semble être une source d’inspiration inépuisable pour les auteurs et Kari Korhonen et le duo Barbieri/D’Ippolito s’en sortent très bien dans l’exercice, c’est énergique et ça ne manque pas de rebondissements. Les Carl Barks sont toujours agréables à lire et la dernière histoire du sommaire dessinée par Cavazzano est une amusante aventure à travers le monde…
Avec Stefano Turconi (pour Orgueil et préjugés) et Paolo Mottura (pour Sherlock Holmes - Une étude en rouge) au sommaire, cet album déroule quelques unes des plus belles planches des bandes dessinées Disney. C’est beau, détaillé, expressif, entre les cases élégantes du premier et le style plus rond et les silhouettes plus élancées du deuxième. Graphiquement, c’est excellent…pour les histoires, ma préférence va tout de même au pastiche de Sherlock Holmes, très bien ficelé (et Paolo Mottura fait partie de mes dessinateurs Disney préférés, j’adore son style). La première BD adapte Jane Austen et rayon écrivains britanniques, ce n’est pas vraiment ma tasse de thé. Du coup, même si c’est bien fait, je n’ai pas totalement accroché et j’ai eu hâte de passer à la deuxième partie de ce Picsou Mag HS Deluxe (et j’espère que Enna & Mottura reformeront leur duo pour d’autres adaptations de Conan Doyle)…
C’est beau, ça.
Jim
Ce que j’ai préféré : Les Années Rugissantes de la 313/Fantomiald et le Vol Historique (j’ai bien aimé le principe de raconter la même histoire selon deux points de vue différents…avec celui de la 313 pour commencer), 313 : Strips en stocks (toujours chouette d’ajouter des strips au sommaire), Mini ordi Maxi Appli et Défi pour 4 roues (du Barks toujours efficace), Le premier western de l’histoire (pas mal de bonnes idées dans cette histoire pleine de références), Cornélius Ecoutum (bonne série que j’ai plaisir à retrouver).
Sympa, sans plus : La course des croulants (fun…mais le style vieillot de Marco Rota donne toujours l’impression que la BD a beaucoup plus d’années au compteur).
Bof, bof : Donald Superbalèze (il y a eu du meilleur Van Horn dans le récent Trésors de Picsou), Oncle Picsou et L’amulette sur mesure (l’histoire est moyenne et je ne suis pas le plus grand fan du style de Scarpa).
Oui, mais c’est dommage qu’ils soient si petits…
Tori.
C’est pas faux. Vu le sommaire bien fourni, ils n’avaient peut être pas assez de place pour « aérer » ces strips…
Après, ça ne me gênerait pas qu’ils réduisent la partie magazine pour laisser plus de place à la BD mais ce n’est peut-être pas si facile que ça…
Les aventures de Daisy, Grand-mère, Miss Frappe et Brigitte ne sont pas ce que je préfère…j’ai toujours l’impression que les histoires auraient pu être emballées en moins de pages et c’est encore le cas ici. Pour le reste du sommaire, il y a du bon (Pascal Neutron, avec aussi une plongée patrimoniale avec la réédition de sa première apparition), du moins bon (les deux autres histoires dessinées par Silvia Zilche, pas ennuyeuses mais sans surprises) et du très bon (la suite de l’histoire du cinéma, très bien ficelée et pleine de belles références au cinéma muet).
À croire que les auteurs ne savent pas quoi faire avec les personnages féminins (à l’exception de Miss Tick).
Tori.
Ce que j’ai préféré : Donald Dawks et les mystères du studio 13 (histoire savoureuse et super clins d’oeil à l’Âge d’Or d’Hollywood et aux monstres classiques que j’adore), Cornélius et les Fleurs de Pommier (avec un Johnny Pépin de Pomme à l’apparence différente du cartoon des années 40), Picsou et le Pic-6000, Picsou et le cheval de fer, Club 313.
Sympa, sans plus : Donald Leurre de la victoire, Picsou Robot Blues.
Bof, bof : La partie mag (pas ce que je préfère…la partie sport n’est pas vraiment ma came par exemple…même si je lis tout), Oncle Picsou et le Mécarapetou (je n’accroche vraiment pas aux histoires dessinées par Scarpa).
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Quand j’ai vu la figure du canard masqué en couverture, je me suis demandé s’ils allaient publier la série la plus récente. Et en fait, il s’agit du Darkwing Duck de 1991. J’avoue que je ne connais le personnage que de nom, je suis passé complètement à côté à l’époque car je ne regardais que La Bande à Picsou. Pour ce qui est de ce comic-book, le dessin est très énergique mais j’ai trouvé les dialogues souvent lourdingues, l’humour n’a pas totalement fonctionné sur moi.
Dans ce sommaire, j’ai préféré l’aventure de Mickey & Dingo bourrée de références au cinéma italien et le classique de Carl Barks. Pas le Scarpa, j’ai comme d’habitude du mal à accrocher aux BD de cet auteur…
Ah, je viens seulement de le trouver.
Je l’ai rapidement feuilleté, j’ai bien aimé le focus sur Chrono trigger, un jeu qui le mérite vraiment.
Et parmi les couvertures non retenues, j’aurais préféré celle où Darkwing Duck cache en partie son visage avec sa cape.
Moi de même. Je me souviens qu’il y avait un jeu vidéo, mais je n’y ai pas tellement joué.
Tori.
