Il y a passé à l’arme à gauche
Quand les excès de la cancel culture entraîne la fin de toute modération, facebook suit.
Pas faute d avoir prévenu que ca arriverait.
On peut faire un crossover entre ce topic et celui des « Petits Bonheurs » ?
Ma meilleure amie a accouché d’un petit garçon hier soir et je me plais a croire que son arrivée a poussé l’immonde merde humaine qu’à été Jean Marie Le Pen, vers la sortie
J’ai raté une info ?
Le Pen est (enfin) mort
Ah ouais ?
Coïncidence de date.
Mouais j’ai dû mal à me réjouir vu les 29 ans de Jordan et son ménage avec une petite-fille du menhir. Le mal est fait depuis longtemps…
Les raisons de se réjouir sont tellement rares en ce moment qu’il faut en profiter
Entre lui et Allegre c’est quand même touchant ce début d’année
Pas mal
Y a quelqu’un qui a décidé de nous faire plaisir, c’est clair. Allez, encore un effort, janvier n’est pas terminé, y a encore de quoi faire…
Jim
Et encore
En 2008 à Évry il tenait quand même des propos qui sont aujourd’hui qualifié d’antisémitisme et d’apologie du terrorisme
Je suis perturbé par ces scènes de joie après la mort d’une personne.
Qu’on s’entende : je n’ai jamais apprécié ni l’homme, ni le camp, ni les dogmes de Jean-Marie Le Pen, et je le tiens pour responsable d’une partie de notre époque en ayant constamment tenté puis réussi à instiller du poison mental dans les esprits et les coeurs.
Cela étant dit, voir des gens se réjouir de la mort d’un être vivant… ça me perturbe. Ca me paraît déplacé et gênant, tout comme je l’ai ressenti en voyant une foule chanter Who Shot The Sheriff quelques minutes après la mort du terroriste Cherif Checkatt après l’attentat de Strasbourg. Il a attaqué et tué des gens dans le quartier où j’étais en soirée, et a été tué à deux rues de chez moi.
Cependant, malgré la peur provoquée par ceci et ma colère envers lui, j’ai été gêné comme je le suis maintenant de voir une foule se réjouir de la mort de quelqu’un. Je ne trouve pas ça « sain », même si je comprends le besoin d’avoir un exutoire ; bien que, concernant Jean-Marie Le Pen, cela soit un formidable « cadeau » à l’extrême-droite pour recentrer les partisans autour de ce même camp, en rejet de telles réactions publiques.
Oui
Ça ne mérite pas au-delà de quelques secondes de satisfaction primaire. Le combat continue. Plus que jamais
Plus la forme que celle-ci prend en ce qui me concerne.
Sans être aller jusqu’à déboucher le champagne parce que le papy il mangeait quand même des pissenlits par racine depuis quelques années et que c’est pas bien de frapper les hommes à terre ou bien parce que ce n’était plus qu’une tête d’une hydre, je dois dire que j’ai eu le smile quand l’homme qui a déclaré que des gens malade devait être mis dans des camps, que la mort de parents de copain n’était qu’un détail de l’histoire ou juste parce qu’il fait parti d’une frange chiant sur un passé familiale (sans compter plleiiinn d’autres trucs). Je me réjouis pas vraiment, par contre m’en marrer ça j’hésite pas.
Mais oui quelqu’un part je trouve ce genre de rassemblement peut-être pas gênant mais en tout cas vain. Surtout par leur médiatisation (parce que bon quand un des ennemis de Le Pen et sa horde clamsait c’était du même au pareil). La encore je m’interroge aussi sur le rôle médiatique de cela mais c’est autre chose.
Mais après ça rejoint, quelque part, l’incompréhension face à la médiatisation, l’appréciation voire l’adulation de Luigi Mangione et de son acte meurtrier. Dans une société où la violence et la mort sociale et institutionnelle est dilués, lissés ou cachés c’est toujours choquant de voir une expression violente directe qui s’affirme tant bien même (dans le cas du borgne) quand elle est bien moindre.
Ca rejoint aussi un défaut de confiance qui devient un rejet des lois, du « système », et une favorisation d’une forme de loi du talion (pour Luigi Mangione, et pour la réjouissance publique et festive de la mort de Jean-Marie Le Pen alors que ses dogmes gagnent encore).