Voilà, terminé (et entamé un autre bouquin, sur le Coca-Cola, maintenant). Vraiment très chouette. Toujours cette écriture martelante, insistante, qui cogne, mais qui ne se soucie pas de l’élégance du style (dommage).
Les derniers chapitres sont consacrés aux conséquences de la fiscalité transfrontalière, ou encore aux bidouilles de propagande durant la période du COVID. Bien entendu, ça met le doigt sur des évidences auxquelles on ne pense peut-être pas (en tout cas, moi), et ça finit de dresser un portrait à la fois catastrophique et angoissant de l’industrie du tabac.
Jim